Dans Le Cimetière De Victor Hugo

Hôpital-Clinique Cimetière Église Stade Piscine Gendarmerie 2 de nt ée 5 7 Malvallon Mavallon 19 Bleuets 25 Gardanne R P a ass St e 10 Roustane 23 La Foux Rouvière AB50 Mourillon 3 Rue de aulle G 91 Planquette Darboussèdes Blache Blache Blache 10 Observatoire 11 Montserrat 11B 12 La Baume Terminus de la ligne 3 18 Fontanieu 9 Pilon 8 Salvatte LE REVESTLES-EAUX 21 2 Hu V. ue go m Sa ge rd Victor Ba sch x roi

aurait-on pu admettre un fragment de la Pitié, par exemple, le passage relatif à la captivité du petit Louis XVII au Temple. Outre que le morceau ne manque pas d’intérêt, on aurait découvert, en le lisant, une des sources où puisait le jeune Victor-Marie Hugo quand il composait ses premières odes. Mais je n’insiste pas. Il suffit qu’on n’ait rien omis d’essentiel. La seconde raison de M. Lemoyne est d’ordre esthétique et vaut qu’on s’y arrête. La voici dans toute sa force : « André Chénier est

sa cellule, pleine d’écritures, de dessins et de figures bizarres. Il découvre des noms d'anciens condamnés, dont on a pu connaître leur crime. Cependant, il s'identifie de manière insolite à ces derniers:“j'irai à mon tour les rejoindre dans le cimetière de Clamart, où l'herbe pousse si bien”. C’est à ce moment que j'espérais connaître le crime du personnage, mais toujours rien, je commençais à perdre espoir. Le personnage se rappelle d'un événement particulier qui a eu lieu il y a quelques jours

spleen, l’idéal, la mortSpleen LXXVI- 2 strophesun vers introductif- des vers en alexandrins- Baudelaire fait le bilan péjoratif de sa vie sur un ton mélancoliquefait l’inventaire de ses souvenirsexprime son ennui face à sa mémoire; allégorie d’un cimetière le poète ne voit que par mort, il est comme paralysé et omniprésent - adressé au lecteur- le spleen, les souvenirs, la mortSpleen LXXVIII- 5 quatrains- des vers en alexandrins - rimes croisées- mise en place d’un univers lugubre, angoissantexpression

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Victor HUGO (France) (1802-1885) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Claude Gueux’’, ‘’La légendes des siècles’’, ‘’Les châtiments’’, ‘’Les contemplations’’, ‘’Les feuilles d’automne’’, ‘’Les misérables’’, ‘’Les rayons et les ombres’’, ‘’Lucrèce Borgia’’, ‘’Marie Tudor’’ et ‘’Ruy Blas’’ qui sont étudiés dans des dossiers à part). Bonne lecture ! Né à Besançon, le

mélancolique, ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique. Le romantisme peut être présent dans les romans du XIXe siècle comme chez Hugo, Chateaubriand, Stendhal, et chez les Allemands également au XVIIIe siècle comme Eichendorff, Goethe, Hoffmann… Définition Le romantisme émerge en Allemagne à la fin du XVIIIe siècle. Novalis en définit le programme dès 1798 : « Le monde doit être

sensibilité à travers son recueil, « Les fleurs du mal ». Face à un monde matériel violent et décevant, marqué par l’industrialisation, le poète crie son désespoir et révèle sa soif d’idéal et d’amour absolu, ou plonge dans la contemplation : de Victor Hugo (1802-1885) à Paul Verlaine (1844-1896) la poésie laisse toute liberté pour exprimer sa sensibilité et fait une part belle à l’irrationnel et à l’individualisme. Le 20ème siècle prolonge ce chemin vers la liberté qu’offre la poésie pour parler des

Voir Victor Hugo, « Napoléon le petit » [1963], in Œuvres complètes, Paris, Laffont, « Bouquins », (...) 30. Dans Les Aïeux. 26Quand Penderecki déchiffre l’histoire des camps de la mort selon ce schéma de spirale ascendante, il poursuit une tradition de la littérature romantique polonaise qui, chargée de compenser le partage et l’anéantissement de la patrie, s’appuyait sur le mythe christique pour promettre et pour annoncer une restauration : « La Pologne, Christ des Nations ». De Hugo qui la

Baudelaire fait ses débuts dans le monde de la littérature, deux grands mouvements s’opposent : le parnasse et le romantisme. Il est partagé entre ces deux mouvements littéraires car il est romantique par tempérament, par admiration (notamment pour Victor Hugo), et il n’a jamais cessé d’en admirer et d’en revendiquer nombre de qualités et de principes; mais il se laisse aussi séduire par les théories « formalistes » du Parnasse : le travail, la maîtrise et la rigueur ; « l’art pour l’art ». C’est d’ailleurs

rejoignit son régiment en Silésie. Madame Labrunie mourut, âgée seulement de vingt-cinq ans, le 29 novembre 1810, des suites de fièvres malignes contractées – selon Gérard – en passant sur un pont où s’amoncelaient des cadavres. Elle fut enterrée au cimetière catholique polonais de Gross Glogau. L’enfance et la première adolescence de Gérard se déroulèrent chez son oncle, Antoine Boucher ; là, raconte-t-il, il lisait, caché dans le grenier, les livres d’hermétisme et de magie que son oncle y avait entassés