Dans Quel Mesure Le Progrès Technique Libère T Il L Homme

L’art Introduction : éléments d’histoire de l’art 2 Une très brève histoire de l’art (Gombrich) 2 La suppression des temps morts (Kundera) 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 4 La question du progrès (Hegel) 4 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à

fondées sur l’idée qu’un acte a des conséquences qui le légitiment ou l’oblitèrent. Dans le monde absurde la valeur d’une notion ou d’une vie se mesure à son infécondité Un homme est plus un homme par les choses qu’il tait que par celles qu’il dit Il vient toujours un temps ou il faut choisir entre la contemplation et l’action. Cela s’appelle devenir un homme. Ces déchirements sont affreux Dans l’univers du révolté, la mort exalte l’injustice. Elle est le suprême abus. Dans cet univers l’œuvre est

réside dans la constitution de la chose en elle-même, on a coutume de dire qu’il lui manque, non pas la liberté, mais le pouvoir de se mouvoir ; c’est le cas lorsqu’une pierre gît immobile ou qu’un homme est cloué au lit par la maladie. D’après le sens propre (et généralement admis) du mot, un HOMME LIBRE est celui qui, s’agissant des choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, n’est pas empêché de faire celles qu’il a la volonté de faire. Thomas Hobbes, Léviathan (1651), II

réside dans la constitution de la chose en elle-même, on a coutume de dire qu’il lui manque, non pas la liberté, mais le pouvoir de se mouvoir ; c’est le cas lorsqu’une pierre gît immobile ou qu’un homme est cloué au lit par la maladie. D’après le sens propre (et généralement admis) du mot, un HOMME LIBRE est celui qui, s’agissant des choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, n’est pas empêché de faire celles qu’il a la volonté de faire. Thomas Hobbes, Léviathan (1651)

permit à Pépin Le Bref de renverser le dernier mérovingiens Childéric III. Il meurt en 768 et selon la coutume franque devait partager son royaume entre ses deux fils Charles et Carloman. Ce dernier meurt en 771. Problématique : Dans quelles mesures Charlemagne est-il parvenu à établir un empire européen ? Et quel en fût son héritage une fois ce dernier retiré ? Plan : I) Charlemagne, de son ascendance à la constitution de son empire. II) L' administration de l' empire. I)

culturel (Kant) 9 3. Le développement culturel, progrès ou régression ? 9 B. La culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 11 1. Le malaise dans la culture (Freud) 11 2. Répression et révolution (Marcuse) 12 III. Culture particulière et culture universelle 12 A. Le relativisme culturel 12 1. Le relativisme de Montaigne 12 2. La critique de Lévi-Strauss 14 B. La critique du relativisme : la tartine et les mathématiques 15 1. L’idée de progrès et de supériorité 15 2. La valeur de la pensée (Finkielkraut)

que parce qu’on nomme une chose cela veut dire qu’elle existe.) # Ne pas confondre rapport de corrélation et rapport de causalité. Rapport de corrélation : lien entre des phénomènes, d’autre fait qui font que. Ex : un jeune homme noir a un QI inférieur à celui d’un jeune homme blanc. Ils ne viennent pas du même milieu social. Il y a une variable cachée. Ex : corrélation faite entre la conso de cannabis et le développement de problèmes psychologiques. Parce que j’ai des problèmes psychologique je fume

(chargée négativement La culture : Sens 1 : L’action par la quel l’homme extrait de son environnement grâce à la technique ce qui lui est nécessaire pour survivre.Sens 2 : L’ensemble des connaissances acquises me permettant de développer mon sens critique, mon jugement et mon goût.Sens 3 : Ensemble des usages, des représentations, des valeurs communes à un groupe donné. Sens 4 : Être un homme de culture qui est donc civilisés, par conséquent, cela s’oppose à l’idée de nature. La Culture désigne l’état

le sont elles-mêmes. Car la cité est la fin de celles-ci, et la nature d’une chose est sa fin, puisque ce qu’est chaque chose une fois qu’elle a atteint son complet développement, nous disons que c’est là la nature de la chose, aussi bien pour un homme, un cheval, ou une famille. En outre, la cause finale, la fin d’une chose, est son bien le meilleur, et la pleine suffisance est à la fois une fin et une excellent. Ces considérations montrent donc que la cité est au nombre des réalités qui existent

Le prologue pointe 2 faits de civilisations qui ont posé problème : * L’envoi du premier satellite dans l’espace en 1957 qui a montré le décalage énorme entre les progrès techniques, scientifiques et leur potentiel pour l’Humanité, ET notre incapacité à les comprendre * Le progrès de la robotisation devrait libérer l'homme de la pénibilité du travail MAIS au contraire, elle va créer une « société de travailleurs sans travail ». * Le but de l’œuvre est donc de « PENSER CE QUE NOUS