Dans Quelle Mesure Ces Portraits Prennent Ils Appui Sur Le Réel Dans Quelle Mesure Le Transposent Ils

________  ÉCRITURE   I. Vous répondrez d'abord à la question suivante: Dans quelle mesure ces portraits prennent-ils appui sur le réel, dans quelle mesure le transposent-ils ? Votre réponse n'excédera pas une trentaine de lignes. II. Vous traiterez ensuite l'un des deux sujets suivants: Commentaire : Vous ferez un commentaire du texte de Balzac (texte A) en vous aidant des axes d’étude proposés : I. Le portrait en mouvement d’un riche vieillard. II. L’inquiétude de Nicolas Poussin. III. Le lieu

pour guider le candidat dans la définition de son parcours de lecture : les mots clés du sujet « Dans quelle mesure ces portraits prennent-ils appui sur le réel, dans quelle mesure le transposent-ils ? » invitaient à examiner le réalisme du texte ainsi que son évolution vers le fantastique. Je tenais à signaler également que certains candidats se sont trompés en voulant opposer l’irréel au réel. L’irréel est un fait qui n’existe pas, Ici, les termes qui permettaient d’exprimer la différence étaient

Imiter le réel ? Documents A – Honoré de Balzac, Le Chef-d’œuvre inconnu, 1832. B – Victor Hugo, L’Homme qui rit, 1869. C – Émile Zola, L’Assommoir, 1877. D – Marcel Proust, Le Temps retrouvé, 1927. m Dans quelle mesure ces portraits prennent-ils appui sur le réel, dans quelle mesure le transposent-ils ? (30 lignes). Après avoir repondu à cette question, vous traiterez au choix un des sujets nos 34, 35 ou 36. Document A L’action de ce roman se déroule en 1612. Fraîchement débarqué à Paris

mains, ne dansait pas un chahut de bastringue(10), les guibolles(11) emportées par-dessus les jupes ; elle s'enlevait, retombait en cadence, comme une dame noble, l'air sérieux, conduisant quelque menuet(12) ancien. Les talons de Fifine tapaient la mesure, gravement, et ils s'enfonçaient dans le fer rouge, sur la tête du boulon, avec une science réfléchie, d'abord écrasant le métal au milieu, puis le modérant par une série de coups d'une précision rythmée. Bien sûr, ce n'était pas de l'eau-de-vie que

ses deux mains, ne dansait pas un chahut de bastringue1, les guibolles2 emportées par-dessus les jupes; elle s'enlevait, retombait en cadence, comme une dame noble, l'air sérieux, conduisant quelque menuet3 ancien. Les talons de Fifine tapaient la mesure, gravement, et ils s'enfonçaient dans le fer rouge, sur la tête du boulon, avec une science réfléchie, d'abord écrasant le métal au milieu, puis le modérant par une série de coups d'une précision rythmée. Bien sûr, ce n'était pas de l'eau-de-vie que

Fifine, danssesdeux mains,ne dansaitpas un chahutde bastringuel,les guibolles2 par-dessus jupes; elle s'enlevait, emportées les retombaiten cadence, cornme une damenoble, I'air sérieux,conduisantquelquemenuet3 ancien.Les talons de Fifine tapaientla mesure, gravement,et ils s'enfonçaientdans le fer rouge, sur la tête du boulon, avec une science réfléchie,d'abord écrasant métal au milieu, puis le moderant une sériede coupsd'une le par précisionrythmée.Bien sûr, ce n'etait pas de l'eau-de-vieque la Gueule-d'Oravait

Énoncé : Préparer la question sur le corpus : « Dans quelle mesure les portraits prennent-ils appui sur le réel, dans quelle mesure le transposent-ils ? » Textes • Texte A - Honoré de Balzac, Le Chef-d’œuvre inconnu, 1832. • Texte B - Victor Hugo, L’Homme qui rit, 1869. • Texte C - Émile Zola, L’Assommoir, 1877. • Texte D - Marcel Proust, Le Temps retrouvé, 1927. Texte A - Honoré de Balzac, Le Chef-d’œuvre inconnu. L’action de ce roman se déroule en 1612. Fraîchement débarqué à Paris

ses deux mains, ne dansait pas un chahut de bastringue1, les guibolles2 emportées par-dessus les jupes; elle s'enlevait, retombait en cadence, comme une dame noble, l'air sérieux, conduisant quelque menuet3 ancien. Les talons de Fifine tapaient la mesure, gravement, et ils s'enfonçaient dans le fer rouge, sur la tête du boulon, avec une science réfléchie, d'abord écrasant le métal au milieu, puis le modérant par une série de coups d'une précision rythmée. Bien sûr, ce n'était pas de l'eau-de-vie que

deux mains, ne dansait pas un chahut de bastringue10 , les guibolles11 emportées par-dessus les jupes ; elle s'enlevait, retombait en cadence, comme une dame noble, l'air sérieux, conduisant quelque menuet12 ancien. Les talons de Fine tapaient la mesure, gravement, et ils s'enfonçaient dans le fer rouge, sur la tête du boulon, avec une science rééchie, d'abord écrasant le métal au milieu, puis le modérant par une série de coups d'une précision rythmée. Bien sûr, ce n'était pas de l'eau-de-vie que

fait de montrer les faiblesses d'un personnage de roman conduit nécessairement le lecteur à le mépriser ? 5. Dans le roman, peut-on dire que les scènes de la vie sociale nous en apprennent autant sur les personnages que leur portrait physique et psychologique ? 6. Dans quelle mesure le personnage de roman donne-t-il au lecteur un accès privilégié à la connaissance du cœur humain ? 7. Julien Sorel, Milady, la Thénardier : nombreux sont les personnages de roman qui n'inspirent pas de sympathie. Ce type