Dans Quelle Mesure Le Modèle De La Légitimité

business et institutionnalisation  2.1. Comportement défensif :  Ignorer : L’entreprise n’est pas concernée  Evitement : apparaître comme conforme ou arrêter l’activité  Contestation et Manipulation : tentative d’influencer, montrer sa propre légitimité ou de détourner l’attention  2.2. Comportement de conformité : pro-actif (les pionniers) ou réactifs (suite à une crise), compromis février 2013 HEM M2 F.QUAIREL 2.1.Comportements défensifs  Evitement : « conformité symbolique »  Greenwashing

et enfin la prise en compte des conséquences prévisibles. On choisit les objectifs qui nous convienne plutôt que les objectifs qui ne sont pas satisfaisant. En économie, on va considérer que l'individu recherche le profit et que c'est la mesure de son avantage. La recherche pure du profit peut ne pas être équivalente selon les individus. (maximisation du profit, diminution des coûts). Ainsi la rationalité se distingue de l'homo economicus qui calculent tout en fonction du coût et avantage

justifiée par l’efficacité et la qualité des services rendus aux citoyens ainsi au travers la rationalisation des ressources. Pour répondre à ces multiples exigences, l’organisation publique doit désormais doté d’un système de gestion permettant de mesurer les résultats attendus et faire des ajustements le cas échéant. En effet la performance est devenue la préoccupation majeure de tous les décideurs, c’est dans cette perspective, la question tourne autour du contrôle de gestion qui peut être perçu

des autorités politiques Dans ce modèle, un seul pouvoir politique s’exerce sur l’ensemble du territoire, une seule puissance s’exerce, un seul patron, un seul gouvernement, une seule autorité. Ce modèle postule l’unicité des autorités politiques : un parlement, un gouvernement, une autorité judiciaire. Il s’efforce d’intégrer dans un même ensemble national des communautés très hétérogènes par les langues, cultures : coïncidence entre Etat et Nation. Ce modèle tend vers la centralisation, c’est-à-dire

juridiques de se neutraliser : ils doivent disposer d'une faculté d'empêcher (possibilité de s'opposer aux mesures prises par les autres pouvoirs, du moins en ce qui concerne le législatif et l'exécutif). 1 En effet, même si son raisonnement paraît placer les pouvoirs sur un pied d'égalité, Montesquieu établit une hiérarchie entre eux. Le pouvoir législatif qui tient sa légitimité directement du peuple souverain est naturellement le premier d'entre eux : d'ailleurs, son importance est

parlementaire. Nous verrons donc, dans un premier point, que le régime mis en place par le Gouvernement « de Gaulle » possède les caractéristiques du régime parlementaire (A). Toutefois, les Gaullistes avaient certaines craintes, et refusaient le modèle classique du régime parlementaire britannique. C'est ainsi que nous avons vu apparaître un certain « parlementarisme à la française » (B). A) Les caractéristiques propres au régime parlementaire. Le régime parlementaire se caractérise par une

ce sens : « Un bulletin de vote est plus fort qu’une balle de fusil ». Or, pour que le vote existe, il doit être pratiqué. Sa protection en tant que droit dépend de son expression en tant que devoir moral. On peut donc se demander dans quelles mesures on peut dire qu’il est nécessaire de faire du vote un devoir civique afin de le conforter dans sa position de droit fondamental. Nous verrons d’abord que si le vote est bien un droit d’un point de vue juridique (I), il faut s’assurer de son exercice

prisonniers retenus à Guantanamo, suite à l’attentat qualifié de terroriste du 11 septembre, ne bénéficient pas du statut de prisonniers de guerre prévu par la Convention de Genève, ne sont pas non plus criminels mais sont sous le coup d’un statut et de mesures d’exception. Il s’agit donc de nous interroger sur ce qui caractérise un état de guerre, un acte terroriste, mais également sur ce qui différencie les terroristes de belligérants en essayant d’en dresser des typologies et des définitions. Or,

permettent le renouvellement du pouvoir syndical. Le pouvoir syndical dans l’économie mondiale 3 Au départ, il faut souligner deux limites de cette analyse. D’abord, nous n’offrons qu’une lecture fragmentaire du pouvoir syndical. Dans la mesure où le pouvoir traduit une relation entre les acteurs et leur contexte, nous analysons ici uniquement une partie de l’équation, celle concernant l’acteur syndical. Une lecture dynamique du pouvoir, forcément appliquée à des contextes particuliers,

matériels assurant l'exercices des activités administratives. définition fonctionnelle de l'Administration : "administrer c'est faire" . L'administration correspond à la prise de décision et à l'exécution des lois . Pas un pouvoir élu mais sa légitimité réside dans l'inaction. A contrario, son inaction est source de responsabilité. La constitution de 58 début de la Vème République , a voulu instauré un pouvoir administratif fort en réponse aux républiques dite parlementaires- marquées par une