Dans Toute Société Un écrivain Demeure T Il Un étranger

Jeanne Benameur, « Les Demeurées » L’Auteur  Jeanne Benameur est une écrivaine française née en 1952 en Algérie, d’un père tunisien et d’une mère italienne. Dernière d’une famille de 4 enfants, elle va en France avec sa famille pour des raisons liées à la guerre. Son enfance est bercée par deux langues : l’arabe et le français. Elle introduira les sonorités et rythmes de ces langues dans son écriture. Très tôt, elle écrit de petites histoires, des contes, des pièces de théâtres, et des poèmes.

Cadet d’une famille d'aristocrates bretons, il vit une enfance calme, étudiant sans grand enthousiasme, passant de l’armée à la marine, ainsi que par un monastère durant quelques mois. Ne sachant quelle orientation prendre, il rentre à Combourg où demeure sa famille. Dans le château féodal racheté par son père, l'adolescent est la proie d’une mélancolie troublante et d’un total désœuvrement. Le jeune est profondément déprimé et vit en permanence un malaise dû au cadre, au milieu familial et à l'inactivité

principal acteur. On le voit successivement apprenti, garçon, maître, chef de jurande, apothicaire, chirurgien, avocat, juge, moine, pape, mais ne cessant jamais d’être renard, toujours gambadant, toujours sautant, en quête de méfaits et de drôleries. Toute la ville vient l’applaudir. Jusqu’au soir il se démène ainsi, déchaînant l’ivrognerie et la luxure. Les mystères pieux étaient, eux, consacrés à la vie du Christ, aux légendes bibliques, à la glorification de Dieu le Père. Commencés avec quelque gravité

Belleville).L'association y a présenté, dans l'exposé suivant, la relation de l'écrivain à son village Mouloud Féraoun est lié à son village natal, Tizi-Hibel, par une relation intime et féconde. Le village est son point d’ancrage au sein de la société kabyle. Il est la source de son inspration et le creuset de son œuvre littéraire. Humble villageois parmi les siens, Féraoun est à la fois l’infatigable instituteur du bled, l’écrivain au talent reconnu et l’intellectuel témoin de son temps. Un

picaresques espagnols B) Ecrire pour raconter une histoire, pour représenter la société, le réel a) raconter une histoire, des aventures : tout cela nécessite un plan global avec une idée préalable si l’on ne veut pas se perdre dans les méandres de la narration : le Comte de Monte-Cristo de Dumas par exemple b) Représenter la société à un moment donné : étude préalable donc schéma directeur en amont de l’écriture, surtout si la société en question n’est pas celle de l’auteur, ou si ce n’est pas son époque

également, et surtout, à découvrir des choses nouvelles qui, bien souvent, amènent à réfléchir sur sa propre façon de vivre ou, plus généralement, sur la condition humaine. D'autre part, dans toute une veine du récit de voyage, le déplacement n'est qu'un artifice qui permet de transposer l'analyse de sa propre société dans une région imaginaire; les îles, et autres "monts inaccessibles", dans cette perspective, deviennent des laboratoires politiques ou satiriques selon les intentions de l'auteur. Ainsi

genres pourrait amener au dépassement des limites imposées par ces deux rhétoriques de la littérature. Gracq marque la différence entre deux sortes de catégories en distinguant typographiquement les genres ou sous-genres (fantastique, merveilleux, étrange) et les périodes et mouvements. Todorov opère dans son Introduction à la littérature une distinction entre le fantastique proprement dit, caractérisé par l’hésitation entre réel et surnaturel, le merveilleux, fondé sur le surnaturel accepté, et l’étrange

africain marqué par les traumatismes successifs de l’esclavage, la colonisation et les coups d’états militaires, la violence apparaît comme le dénominateur commun de la majeure partie des œuvres artistiques. Constante dans la production littéraire des écrivains africains, la violence se décline différemment selon certaines périodes de leurs carrières. En 1921 déjà, René Maran avec la préface de Batouala, faisait office de précurseur. Ferdinand Oyono et Mongo Beti avaient, dès les années 50, expérimenté

deux) ? 3. Citez trois écrivains réalistes (sauf Maupassant), en donnant pour chacun deux œuvres essentielles. II. Le naturalisme 1. Qu’est-ce que le naturalisme, quelles idées rajoute-t-il au réalisme (donnez-en deux) ? 2. Quel écrivain fut le chef de file de ce mouvement littéraire, et quel était son principal projet dans son œuvre essentielle (dont vous donnerez en même temps le titre) ? III. Maupassant 1. Qui fut le premier « maître » de Maupassant, et de quel écrivain se rapprocha-t-il par

revue Ellery Queen’s Mystery Magazine. Cette livraison sera suivie de nombreuses autres, toutes sur le même modèle et présentant les mêmes protagonistes : six personnages qui ne sont ni veufs ni célibataires mais se réunissent chaque mois hors de toute présence féminine pour dîner, boire et bavarder. Chaque fois, un invité différent s’adjoint au groupe et livre une énigme que le domestique Henry résout brillamment ! Édition de Virginie Fauvin. Texte intégral / Collège 9782081202849 4,40 € • 128