Danse des abeilles

austérité - vétusté - invalidité - jeunesse - beauté - postérité - calamité - rapidité - brièveté ……………………………………… 7. tango - rumba - valse - rock'n'roll - cha-cha - claquettes - volée - slow - bourrée - samba - twist - paso double - quadrille - jerk - danse des canards - sirtaki - boogie woogie - pavane - rigodon - lambada ……………………………………… 8. béquilles - infirmière - hôpital – voiture - opération - anesthésiste - malade – dentiste - chirurgien - canapé - thermomètre - radiologue - bistouri - formule sanguine

droit on ne devrait appeler art que la production par liberté, qui met la raison au fondement de l’action. On se plaît à nommer une œuvre d’art le produit des abeilles (les gâteaux de cire régulièrement construits), mais ce n’est qu’en raison d’une analogie avec l’art (§ 43). Le gâteau de cire n’est donc pas une œuvre d’art : "(…) Les abeilles ne fondent leur travail sur aucune réflexion proprement rationnelle". C’est l’instinct, et non l’intelligence ou la volonté de fabriquer quelque chose de beau

forêt d’Ennuyeuse Tristesse, il confronte l’amour et la nature et m’a inspiré de la tendresse et de la pitié. De plus, du même auteur, le mélancolique poème Plus penser que dire, qui par la suite est devenue une devise.  Et pour finir j’ai choisi La danse macabré des femmes de Marcial d’Auvergne, c’est un discours sur la mort mais c’est aussi la vision de cette dernière au Moyen Age. Ici, la mort annonce à plusieurs femmes (toutes dans une étape de la vie) qu’elles vont mourir. Le XVIème siècle est

qui commençait à l’ennuyer. Son fils le rejoint puis l’abandonne bientôt. Moran voudrait atteindre sa destination Bally quand il reçoit de Gaber d’autres instructions. Et, sur le chemin de retour chez lui, il s’interroge sur ses poules et ses abeilles. Malone meurt, 1951 En attendant Godot, 1952 Résumé : Au pied d’un arbre sans feuilles, sur une route qui ne mène nulle part, deux êtres singuliers, mi-clochards mi-clowns, Vladimir et Estragon, se rencontre. Ils se disputent et Vladimir annonce

 théâtre  que  pour  la  danse.  Au  théâtre  il  travaille  la   création  de  lumière  avec  Lazare,  Zakariya  Gouram,  Frédéric  Leidgens,  Jérôme  Hankins,   Guillaume  Allardi,  Catherine  Tartarin,  Laurent  Maurel,  Catherine  Riboli,  Véronique  Caye,   Lucie  Berelowisch,  Alice  Laloy,  Jean-­‐Pierre  Baro.  Pour  la  danse,  avec  Nathalie  Gatineau,  

personnage d'Holopherne. Il donne forme, une image de la castration, à la fois fantasme et phobie pour l'auteur. Duncan Isadora p.109 Isadora Duncan Dans son œuvre, Michel Leiris parle d’Isadora Duncan. Jeune il avait assisté à l’un de ses galas de danse qu'il avait trouvé sublime. Isadora Duncan, grande révolutionnaire et féministe, de son vrai nom Dora Angela Duncan, est née à San Francisco le 26 mai 1877 dans une famille de quatre enfants en proie à des difficultés financières. Elle est décédée

avait enflamm le sel, et maintenant chaque prisme scintillait autour de Daniel et dans son corps. Alors il y avait cette sorte divresse, cette lectricit qui vibrait, parce que le sel et la lumire ne voulaient pas quon reste en place ils voulaient quon danse et quon coure, quon saute dun rocher lautre, ils voulaient quon fuie travers le fond de la mer. Daniel navait jamais vutant de blancheur. Mme leau des mares, mme le ciel taient blancs. Ils brlaient les rtines. Daniel ferma les yeux tout fait

dans mon cerveau Mes beaux rêves mort-nés en tranches bien saignantes Et mes souvenirs faisandés en godiveaux Or ces pensées mortes depuis des millénaires Avaient le fade goût des grands mammouths gelés Les os ou songe-creux venaient des ossuaires En danse macabre aux plis de mon cervelet Et tous ces mets criaient des choses nonpareilles Mais nom de Dieu! Ventre affamé n'a pas d'oreilles Et les convives mastiquaient à qui mieux mieux Ah! nom de Dieu! qu'ont donc crié ces entrecôtes Ces grands pâtés ces

cerveau Mes beaux rêves mort-nés en tranches bien saignantes Et mes souvenirs faisandés en godiveaux Or ces pensées mortes depuis des millénaires Avaient le fade goût des grands mammouths gelés Les os ou songe-creux venaient des ossuaires En danse macabre aux plis de mon cervelet Et tous ces mets criaient des choses nonpareilles Mais nom de Dieu! Ventre affamé n'a pas d'oreilles Et les convives mastiquaient à qui mieux mieux Ah! nom de Dieu! qu'ont donc crié ces entrecôtes Ces grands

dans mon cerveau Mes beaux rêves mort-nés en tranches bien saignantes Et mes souvenirs faisandés en godiveaux Or ces pensées mortes depuis des millénaires Avaient le fade goût des grands mammouths gelés Les os ou songe-creux venaient des ossuaires En danse macabre aux plis de mon cervelet Et tous ces mets criaient des choses nonpareilles Mais nom de Dieu ! Ventre affamé n’a pas d’oreilles Et les convives mastiquaient à qui mieux mieux Ah ! nom de Dieu ! qu’ont donc crié ces entrecôtes Ces grands pâtés