Danse du Soleil

MUSIQUE, et à la danse, thème récurrent dans les peintures de Matisse. La musique et la danse étaient des plaisir du peintre. Le sujet de la mélancolie et de la musique est inspiré d’un tableau de Rembrandt, DAVID JOUANT DE LA HARPE DEVANT SAÜL, sur lequel Matisse ajoute le thème de vieillesse et de souvenir du temps passé. Il c'est aussi inspiré du poème de Baudelaire, LES FLEURS DU MAL, sur le thème de la vie antérieur : J’ai longtemps habité sous de vastes portiques Que les soleils marins teignaient

parlait de la mer, ça ne l'intéressait pas longtemps. Il écoutait un moment, il demandait deux ou trois choses, puis il s'apercevait que ce n'était pas vraiment de la mer qu'on parlait, mais des bains, de la pêche sous-marine, des plages et des coups de soleil. Alors il s'en allait, il retournait s'asseoir sur son banc ou sur ses marches d'escalier, à regarder dans le vide. Ce n'était pas de cette mer-là qu'il voulait entendre parler. C'était d'une autre mer, on ne savait pas laquelle, mais d'une autre

cacha dans une caverne céleste. Quand le soleil fait place à la nuit Amaterasu terrée dans sa caverne, la nuit régna alors sur les Hautes Plaines Célestes (royaume des déités), ainsi que sur le Pays Central de la Plaine des Joncs (domaine des mortels). Les huit cents myriades de kamis décidèrent donc de sa réunirent près de la dîtes caverne afin de trouver une solution au problème qui se posait à eux. Ils supplièrent la déesse du soleil de bien vouloir sortir de sa cachette mais cette

............................................. 128 Des sages illustres................................................................... 133 Le chant de la nuit ...................................................................137 Le chant de la danse ............................................................... 140 Le chant du tombeau .............................................................. 143 De la victoire sur soi-même .................................................... 148 Des hommes

parlent cependant de l’éloge de la femme et placent celle-ci au centre de leurs poèmes. Baudelaire continue ainsi ce voyage poétique avec l’un de ses plus beaux poèmes sur l’être féminin. Et oui, le quatrième poème de mon anthologie est  serpent qui danse  extrait du recueil Les Fleurs du Mal,. Dans ce poème, on découvre le désir ardent des hommes pour la femme, pour son corps qui s’ondule, sa démarche gracieuse et les charmes d’un corps nu, « que j’aime voir chère indolente de son corps si beau ».

château de Versaille ainsi que la vie du roi Soleil et de sa cour, n'est que synonyme d'un apprentissage rébarbatif quelconque parmi tant d'autres, il n'en reste pas moins qu'ils inspirèrent et intéressèrent bon nombre de gens qui ont sû nous prouver qu'il y avait toujours plus à découvrir et à comprendre de cette vie et de son époque. Ainsi était l'avis de Philippe Beaussant, auteur du « régal d'intelligence « française » léger et profond à la fois » Le Roi-Soleil se lève aussi. Le critique qui a qualifié

clapotements furieux des marées, Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courrus ! Et les Péninsules démarrées N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants. Q3 La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots ! Q 4 Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des

vie de l'abeille. Cette dernière après chaque récolte rentre à la ruche et communique alors avec les autres abeilles, leur indiquant la direction du champ qu'il faudra prendre et cela grâce à leur danse. Selon la distance et la position du soleil par rapport à la fleur, la danse ne sera pas la même: danse en ronde pour une distance courte et en 8 pour une distance longue caractérisée par des battements d'ailes plus intenses (+ de 100m) (→ faire tourner les abeilles en disant que + on tourne vite,

Le serpent qui danse : Ce poème est composé de 9 strophes composé de quatrains de huit et cinq syllabes à rimes croisées. Notons également l’alternance des rimes féminines et masculines. Cette régularité de la strophe et du vers concourt à donner un rythme régulier, comme celui d’une danse justement. Ce poème m'as marqué car j'ai trouvé le rythme très intéressant, et entraîneur, c’est certainement sa maîtresse Jeanne Duval que Baudelaire décrit dans Le serpent qui danse. Le champ lexical

Anthologie sur le corps La poésie du corps de 1800 à nos jours Le serpent qui danse (1857) Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain. Tes yeux