David Ricardo

émergence de nouvelles puissances économiques Fin 2000 : Krach Financier équivalent à celui de 1929. 4. 4. Les courants économique (4) 1. Le courant classique Adam Smith (philosophe) Jean baptiste Say, David Ricardo, John Stuart Mill,… Théorie de la valeur du travail (Smith & Ricardo) Division du travail comme source d’augmentation de la production (Smith) Laisser faire & main invisible (Smith) Les individus sont poussés par leur propre intérêt à agir dans l’intérêt de la société Loi des

la main invisible stipule que l’intérêt égoïste de chacun conduit à maximiser l’intérêt collectif. Cela pousse à conclure à une autorégulation du marché (l’Etat n’a pas à intervenir). David Ricardo : Les avantages comparatifs relatifs. Contrairement à la théorie mercantiliste qui prévalait jusqu’au 17° siècle, Ricardo, reprend la théorie d’A. Smith sur les avantages absolus et la généralise en concluant que tout pays à intérêt à se tourner vers le commerce international. C’est le principal père fondateur

COÛTS ABSOLUS. Avec cette loi, Adam Smith en 1776 se lance contre le protectionnisme. A ses yeux, l'autosuffisance (← mercantilistes) est dommageable pour un pays. 2. Quid? Lorsque les coûts d'un pays sont supérieurs dans tous les domaines? David Ricardo (début du XIXe): il n'est pas nécessaire qu'un pays bénéficie d'un avantage absolu pour pouvoir exporter un bien avec profit. L'avantage relatif suffit. ⇒ Chaque pays gagne à se spécialiser dans le domaine le plus avantageux ou le moins désavantageux

 David Ricardo (1817) Des principes de l’économie politique et de l’impôt Traduit de l’Anglais par Francisco Solano Constancio et Alcide Fonteyraud., 1847 à partir de la 3e édition anglaise de 1821. * * * Augmenté des notes de Jean-Baptiste Say Chapitres I à XVI Un document produit en version numérique par Pierre Tremblay, Collaborateur bénévole Courriel: muishkin42@hotmail.com Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

Faut-il tjs opposer Marx et Ricardo ? Ricardo (1772-1823), figure du courant classique. Ardent défenseur de l’éco de marché, ce courant a réussi à imposer ses analyses th et ses préoccupations pratiques jusque 1870s soit pdt près de 100ans. Marx en revanche (1818-1883) est le fondateur du courant marxiste dont les prises de positions sont aux antipodes de celles de classiques et qui s’est battu pr éradiquer les mécanismes de marché. A priori, rien en commun. Les historiens de la pensée éco présentent

I Exercice d’application | |USA |Maroc | | | | | | | | | |Quintaux de blé (B) en heure de MO

fertilisée par de l’angrais chimique. Il y aura dans ce cas moins de salariés (donc moins de capital avancé). La baisse du coût de production rendra le blé moins chère et donc une diminution de la rente [le prix fait la rente et non le contraire (Ricardo)] et par conséquent un relèvement du taux de profit. Considérons la terre C : Supposons que le capital avancé est passé de 220 à 215. Donc produit net (terre C) = 300 – 215 = 85 ; Rente (terre C) = 0 ⇛ Profit = Produit net = 85 ; taux de profit

Ricardo prolonge l’analyse de Smith, la théorie des avantages absolu. Il va démontrer que la spécialisation de chaque produit dans une production et l’ouverture vers le commerce international sont essentiels pour la croissance économique. C’est cette analyse qui va impulser la spécialisation de pays sous-développé dans des mono production, mono culture. Chaque pays à intérêt à se spécialiser selon ces avantages comparatifs (avantage le plus grand / désavantage le plus faible). Selon lui, l’ouverture

aussi bas qu’il est possible. C’est l’idée que développeront Ricardo, Malthus et John Stuart Mill. À l’état stationnaire, le taux de salaire est réduit à son niveau de subsistance et le taux de profit est si faible que l’épargne nette est nulle. Cependant, l’argumentation est différente. Smith explique le faible niveau des salaires et des profits par la concurrence entre les travailleurs d’un côté, entre les capitaux de l’autre. Ricardo, au contraire, explique la baisse parallèle du pouvoir d’achat

comptabilité en partie double et de la comptabilité modern.De nombreux économistes ou philosophes, comme John Locke ou David Hume, ont critiqué les idées mercantilistes bien avant qu'Adam Smith ne développât une analyse économique destinée à les remplacer. Les critiques ont souligné l'échec des mercantilistes à comprendre des notions comme l'avantage comparatif que développera David Ricardo avec son exemple fameux sur la spécialisation internationale : le Portugal était un producteur beaucoup plus efficace