David Ricardo

causes de la richesse des Nations » (1776) 5 Le rôle de l’Etat une institution nécessaire une non-intervention dans la sphère économique La valeur Quelles est la source de la valeur? la nature des biens l’offre : la clé de la valeur d’échange David Ricardo, le libéral pessimiste oeuvre de référence : Des principes de l’économie politique et de l’impôt, 1817 Une croissance non durable la théorie de la valeur-travail Le rôle de la monnaie : la base de la théorie quantitative de la monnaie les hypothèses

: une industrie est plus spécialisé (=leader) dans un pays que dans un autre, elle rapporte plus de valeur ajouté à son territoire d’origine. De nombreux pays considèrent que l’échange ne sert l’intérêt que du pays dominant. La théorie de David Ricardo de l’avantage relatif : Il démontre que l’échange offre progressivement des avantages à tous ceux qui participent. Il a un ambition politique et son parti devient le parti leader en grande Bretagne. L’approche de cet économiste est beaucoup plus

base sur le fondement même de cette institution : réduire les inégalités dans les échanges internationaux. L’OMC est fondée sur les modèles néoclassiques du commerce international qui reprennent la théorie des avantages comparatifs (théorie de David Ricardo et du modèle Heckscher-Ohlin-Samuelson). Cette théorie est utilisée pour justifier le libre-échange : L'échange international permet de relancer la croissance économique par les exportations. En effet, les débouchés extérieurs stimulent les investissements

Smith faisait de la division du travail un acte politique fondateur du marché : la division du travail vient susciter corrélativement l’échange dans un jeu gagnant – gagnant du fait de la quantité accrue de biens échangeables. Rappelons aussi que David Ricardo fera la transcription de cet aspect là sur le plan de l’échange international en en retournant la proposition, l’échange venant en retour susciter la division du travail – internationale cette fois – dans un même jeu gagnant – gagnant. Division

________________________________________________ 10 11 11 11 12 12 12 13 13 13 13 14 14 8. 8.1. La loi des coûts comparés __________________________________________________________ 14 8.2 Le déclin de la loi et ses conséquences ______________________________________________ 15 David Ricardo (1772-1823) et John Stuart Mill (1803-1873) _______________________ 14 9. 10. 11. 12. 13. Karl Marx (1818-1883)______________________________________________________ 16 Ferdinand Lassalle (1825-1864)_____________________________________________

les résultats ne sont pas optimaux mais les meilleurs possibles. A) Le libre échange est source de croissance économique. ▪ Le libre-échangisme s’appuie sur la théorie économique dominante. De nombreux économistes y sont favorables. David Ricardo (1772-1823) complète l’analyse d’Adam Smith, dans son ouvrage, Des principes de l’économie politique et de l’impôt (1817). Il établit la loi des avantages comparatifs (ou relatifs). Cette dernière suppose que les pays ne disposant pas d’un avantage

salariés survient inévitablement. Smith soutient la législation sur le salaire minimal, il accepte même d'augmenter les gages des meilleurs employés, mais refuse l'idée des corporations (les guildes), pour ne pas fausser le marché du travail. David Ricardo (1772-1823) "Les salaires doivent être livrés à la concurrence franche [...] et n'être jamais entravés par l'intervention du gouverneur" (1817). L'ancien agent de change londonien fait de la répartition des revenus un enjeu majeur. Il prône un

multinationales et sur la logique des échanges intra-firme, un point qui devra évidemment être approfondi dans le devoir. Sur le plan des connaissances théoriques, il faut maîtriser l’incontournable « théorie des avantages comparatifs » de D. Ricardo. On pourra également mobiliser la théorie de la dotation des pays en facteurs de production (appelée parfois « théorème HOS ») et la critique qui en a été faite (W. Léontief). Cela doit permettre de dégager l’idée que d’autres logiques expliquent

économiste américain argumentait qu’un pays a intérêt à échanger avec un autre s’il y a un avantage absolu dans la production d’un bien par rapport à l’autre pays. Smith prônait ainsi, en premier, la division du travail international. Rapidement, David Ricardo précisait, dans sa théorie de l’avantage comparatif, que même si un pays avait un avantage relatif dans la production de plusieurs produits par rapport à un autre pays, les deux avaient intérêt à échanger. Il suffirait, dans un tel cas de figure

prend ses racines dans une approche de type économique et trouve ses fondements dans la théorie de la valeur – utilité. Elle correspond à la valeur d’échange, notion mise en lumière par un certain nombre d’économistes (notamment, Adam Smith et David Ricardo). S’inscrivant dans une vision rationnelle et transactionnelle du marketing, la valeur d’achat est purement cognitive (résultant d’un calcul algébrique), précède la consommation et réside principalement dans les attributs du produit (Desmet et