De Quoi La Culture Nous Libère Telle

nous en approcher, il nous faut chercher le vrai à travers l’exact. Il nous faut demander : qu’est-ce que le caractère instrumental lui-même ? De quoi relèvent des choses telles qu’un moyen et une fin ? Un moyen est ce par quoi quelque chose est opéré et ainsi obtenu. Ce qui a un effet comme conséquence, on l’appelle cause. Mais ce par le moyen de quoi une autre chose est opérée n’est pas seul à être une cause. La fin, selon laquelle la nature des moyens est déterminée, est aussi regardée comme cause

ouvrage sur le yoga : « Les yogis connaissaient la psychanalyse deux mille ans avant Freud.» Si l'enseignement de Swâmi Prajnânpad pouvait être considéré comme très complet, très élaboré, nourri à la fois de sa formation scientifique moderne et de sa culture de brahmane érudit, sans parler même de son propre accomplissement personnel, la théorie des lyings était on ne peut plus simple. Elle reposait sur ce que Freud, dans les premiers temps de la psychanalyse, dénommait ce que nous traduisons en français

Nathan, 2012 1 Persée ou le regard de pierre Auteur : Hélène Montardre Fiche pédagogique élaborée par Adeline Pringault Leguy, professeur certifiée de Lettres Modernes, Docteur en Littérature française. La lecture de l’histoire de Persée, telle que la raconte Hélène Montardre nous emporte dans une terrible quête, un voyage initiatique qui donne à Persée l’occasion de connaître le monde et de se connaître lui- même. Cette narration se suffit si bien à elle-même qu’on aurait envie de la livrer

aux œuvres d’art entre en contradiction avec le fait que l’œuvre est sensée être le reflet d’une individualité qui exprime son originalité. Elle ne peut donc spontanément se conformer au goût majoritaire. Nous avons tous l’impression de savoir de quoi nous parlons lorsque nous faisons référence à certains objets d’art, à une histoire de l’art, à notre propre goût esthétique qui, malgré les disputes et jugements divers, semble être un critère déterminant pour nommer ces objets . Parmi les trois

que les femmes souhaitent s’extirper à tout prix de leur rôle traditionnel qui est peu valorisant. Elles désirent s’émanciper et se libérer de l’oppression des hommes et de la place qui leur est réservée dans la société. Le théâtre est un excellent moyen de diffuser ces idées féministes, car « le théâtre s’affirme au point de devenir un référent essentiel de la culture québécoise moderne en voie de constitution[1]. » La dramaturgie permet une « auto-conscientisation des femmes[2] » et de « théâtraliser

dans la vie elle-même. Il faut laisser l’abstraction pour s’intéresser aux choses elles-mêmes. L’abstraction est souvent une solution de facilité pour les philosophes : d’une théorie très générale et très abstraite, on peut faire découler n’importe quoi, et comme elle est très générale et très vide, finalement, quelque soit ce que l’expérience concrète montre, il sera facile de dire que c’était déjà dans l’idée générale. De plus, quand les idées sont très abstraites, on peut facilement raisonner dessus

commerce à l'époque des Lumières (1 octobre) À l’époque des Lumières, le thème de la “nature” s'oppose à celui de la raison: rationalité économique, rationalité citoyenne ou rationalité tout court. Jusqu'à quel point notre capacité de raisonner nous libère-t-elle des contraintes de la nature ? *Fiche de lecture (3) à déposer au début de cette séance sur le texte d’Immanuel Kant, «Qu'est ce que les Lumières ?»(1784). Répondez à la question suivante : Pour Kant, «la sortie des hommes hors de l’état

images et les représentations qu’ils avaient d’eux-mêmes et de leur place dans la nature » - Une culture historique et une raison critique. « Histoire s’oppose ici à nature, qui suggère le caractère immuable, éternel ou intemporel de toute réalité, éventuellement aussi l’idée que les choses sont inchangeables, intouchables, « sacrées » par conséquent. (…) La culture moderne est aussi, foncièrement, une culture critique » La modernité a donc plusieurs dimensions interdépendantes : - la montée de l’individualisme

d'un crâne et/ou d'une horloge, références au temps qui passe et à la vanité des possessions. Sous l'influence de Rembrandt, figure majeure de l'école hollandaise, des nouveautés stylistiques se mettent en place : clair-obscur intense, touche qui se libère, augmentant le mystère et la dimension lyrique de l'œuvre. XVIIIe siècle : Il suffit de lire les textes de Diderot consacrés à Chardin pour s'apercevoir que le plaisir mimétique pur, inavoué au XVIIe siècle dans les vanités, s'affirme pleinement

m’y laisser prendre. Bref, la nécessité d’écouter et de répéter sans lire conduit l’auditeur à s’identifier au message qu’il répète, donc à y croire, ce qu’utilisent fort bien la propagande et la publicité. Le simple fait de lire, au contraire, nous libère du message et nous en fait juges. »( p.18) L’auteur rentre ensuite dans le vif de son sujet : les valeurs. A quels critères les reconnaît-on et quel est leur rapport avec la réalité, sans parler des rapports entre elles ? Quelques extraits : Sur la