Débauche

pensée. DJ, un être débauché et diabolique -Son libertinage de pensée se traduit par un libertinage de mœurs. L 21 « mariage ne lui coûte rien.. » puisque c’est un stratagème, un moyen pour parvenir à son but. Idée reprise avec énumération décroissante : « toi son chien son chat ». - l 23, « épouseur à toutes mains » prouve que le mariage ne rep rien pour lui. Exp réductrice pour les femmes car elles sont réifiées ce qui nous amène à dire que DJ peut être perçu comme un débauché : l 24 énumération

permis à leurs semblables d’avoir des droits et une certaine liberté. C’est l’histoire d’une avocate iranienne Narsin Sotoudeh, une militante des droits de l’homme. Emprisonnée le 12 mars 2019, elle a été déclarée coupable pour incitation à la débauche et à la prostitution et a été donc condamnée au total à 38 ans et six mois d’emprisonnement, ainsi qu’à 148 coups de fouet. Et tout ça pourquoi ? Pour avoir défendu la liberté des femmes contre l’obligation du port du voile imposé par l’Iran. Nesrin

Tenorio mais nulle part il n'est fait mention d'une disparition suspecte, encore moins du miracle de la statue de pierre qui s'anime pour punir un débauché. Il est beaucoup plus vraisemblable de croire que le succès de la pièce du moine espagnol frère Gabriel, plus connu sous le nom de Tirco de Molina, (qui met en scène un personnage de jeune débauché avide de jouissance, personnage assez habituel dans les comédies espagnoles des XVIe et XVIIe siècles) est à l'origine de la légende. Mais ce sont

Bosch critique les mœurs dissolues du clergé, la débauche de la vie monastique et la folie humaine cédant aux vices. Le tableau met en scène un moine, une religieuse ainsi que huit autres passagers réunis sur une barque, qui festoient, mangent et font de la musique. Tous veulent mordre dans une galette qui pend par un fil. Ils ne pensent qu’au plaisir terrestre sans se soucier de leur salut. Le convive qui vomit montre la débauche de celui qui succombe à l’alcool. Une cruche serait

51 ( l.39 à 41 ) : public attend son portrait → Débauché : comparé à des animaux : « bête brute », « chien », « pourceau » → DJ cède à ses instincts. Chien > cf. cynique → cf. Diogene ( qui incarne le cynisme ) qui satisfait en priorité ses besoins naturels ( en public aussi ) «  pourceau d’Épicure » ( dérive de l'épicurisme ) hédonisme → plaisir avant tout. cf.. Sardanapale ( roi immoral, débauché ) Dom Juan : Au sommet de la débauche ( comparaison avec des personnages importants ) →

de l'Arsenal. Il sympathise alors avec Sainte-Beuve et Vigny, et se refuse à aduler le « maître » Victor Hugo. Il moquera notamment les promenades nocturnes du « cénacle » sur les tours de Notre-Dame. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché ». En décembre 1830, il écrit sa première pièce de théâtre (seul ce genre littéraire apporte notoriété et beaucoup d'argent) : sa comédie La Nuit Vénitienne est un échec accablant (comédie arrêtée après deux représentations au théâtre de l'Odéon

Dans l'acte I,1, on se retrouve en pleine nuit lors d'un clair de lune. Cela indique que dès le début de la pièce, on est plongé dans les abimes de l'enfer. Nous n'assisterons donc pas à la descente de Lorenzo en direct car il est déjà corrompu et débauché au début de la pièce; les gens de la ville le nomme déjà Lorenzaccio; il est déjà en enfer. Cet enfer est en fait une recherche, c'est à dire une une suite d’efforts pour retrouver quelque chose que l’on a perdu. Lorenzaccio essaye de retrouver

dans un bain de sang. Un remord général par rapport à la vie politique se fait sentir. Ainsi, la Florence du XVIe siècle et son peuple de marchands permet la satire de la doctrine économique française de l’époque. Ses politiciens sont corrompus et débauchés, son peuple a l’opinion changeante. Par cela, Musset critique indirectement la société française de son époque. Florence est l’emblème de la tyrannie. Assassinats, bannissements ou enlèvements se succèdent. Toute résistance y semble impossible

alors que les exilés Florence, au nombre desquels Maffio, qui vit très mal la débauche de sa sœur, partent pour les grandes villes italiennes, en maudissant une dernière fois, cette ville maudite. Acte II Scène 1 Chez les Strozzi Philippe Strozzi, le père, déplore la déchéance du peuple et regrette la corruption qui gangrène Florence. Il est également attristé par la complaisance de la population face à la débauche. Pierre et Thomas, ses deux fils, apprennent que leur sœur Louise a été insultée

conduit pas comme un aristocrate reconnu pour ses valeurs de fidélité mais comme un égoïste qui méprise les femmes. Enfin Sganarelle le présente comme un débauché, qui suit-on instinct « bête brute », qui recherche son plaisir « pourceau d’Epicure », « un vrai Sardanapale ». On a donc le portrait du parfait libertin : sans foi ni loi, immoral et débauché.