Débauche

nous remuent! ») - Nombreuses évocations du diable (« Satan » st3 v1) - Beaucoup de vices (« viol » st7 v1) Conclusion : Par cette évocation du mal et des démons, Baudelaire cherche à justifier et montrer les actes de lâcheté, de débauche, vicieux de l'Homme. Il veut donc nous faire réfléchir à l'attitude que l'on a sans forcément s'en rendre compte . c) L'idée de destin et de fatalité Idée: L'homme , Baudelaire

vocabulaire du festin :  « attablés, la bouche, la soif, buvez, coupe, verre, mangez… ». Le mot « orgie », signifie « Débauche », « profusion = abondance ». Ici l’orgie nous renvoie à l’Antiquité, car durant ces repas, il y avait beaucoup de débauche. L’adjectif venant qualifié l’orgie, à savoir « splendide », donne un effet d’amplification, pour montrer à quel point « la débauche » est énorme ! On remarque, que le ton employé par Hugo, est ironique. Tous les Courtisans sont représentés par un seul

1) avant de dire à Philippe deux scènes plus tard: « Tout ce que je te demande, c'est de ne pas t'en mêler [...] Laisse-moi faire mon coup.» 2. Un antihéros 2.1. Un personnage méprisé de tous - IV, 1 : sire Maurice « le modèle titré de la débauche florentine » Cardinal « Les chiens de cour peuvent être pris de la rage comme les autres chiens. » Le duc rit « aux éclats » et l'appelle « Lorenzetta » qd il s’évanouit. Sa mère « Quelle femme voudrait s'appuyer sur son bras pour monter à cheval

de la dramaturgie classique et crée des personnages complexes aux émotions contradictoires. Ces héros sont souvent à la fois idéalistes et débauchés, ce qui les rend particulièrement humains. C'est le cas de Lorenzo, héros de la pièce éponyme Lorenzaccio, qui afin de tuer un tyran, le Duc Alexandre de Médicis, se plonge dans le monde du vice et de la débauche. Dans cette scène située vers la fin de la pièce à l’acte IV, Lorenzo donne des ordres à son valet pour le tyrannicide qu’il projette de

ce moment qu’entre en jeu la tirade de Sganarelle. I. Autoportrait de Sganarelle A. Un personnage lâche et faible B. Un personnage naïf C. Sa relation à Dom Juan II. Esquisse de Dom Juan A. Le libertin débauché B. L’impie C. L’aristocrate I- Autoportrait de Sganarelle A. Un personnage lâche et faible Sganarelle, en se livrant ainsi dès l’ouverture de la pièce, esquisse malgré lui son propre portrait. Celui-ci ne joue d’ailleurs

vocabulaire relevant de la joie et de l’insouciance : « fleurs », « prairies », « sonnets », « jeunesse ». Le personnage remémore cet aspect vital de son caractère par le lieu de son enfance (« Cafaggiuolo »), mais laisse apparaitre la perversion de la débauche avec une pointe de quasi-schizophrénie, comme le témoigne la phrase « spectre de ma jeunesse ». Ce sentiment de vision de soi n’est pas là par pur hasard, Alfred de Musset avait exactement la même impression en se voyant par moment lui-même dans

encore plus ambiguë, à la fois corrupteur, adepte du libertinage et un homme érudit voire cynique car il maîtrise le langage. Lorenzo fait un discours rhétorique sur l'art de séduire et tourner en débauche une jeune fille (isotopies de l'innocence et de la corruption). Ce discours lie la politique à la débauche (évocation du système politique de l'époque de Musset). Le langage devient peu à peu un jeu de perversion (métaphore de la fleur et de la courtisannerie). La tirade s'achève d'ailleurs sur le mot-clé

qui forcent l’homme à l’oisiveté, le conduisent à la débauche ». Ce premier exemple est introduit par le pronom personnel « on » qui donne une impression de vérité : le verbe qui suit « sait » est d’ailleurs conjugué au présent de vérité générale. Par la ponctuation, Voltaire réalise une gradation positive et met en scène le rapport cause/conséquence d’un point de vue critique, ironique , sarcastique. Plus les mots défilent plus la débauche qu’il évoque est grande. Il teinte d’ironie cette phrase

nous présente ensuite quelqu'un de riche et d’avare : « Entrailles du pape! Avec tout cela je suis volé d'un millier de ducats » l.12-13 le juron qu'il emploi est comique car il passe pour un fils bâtard du pape. Il est enfin montrer comme un homme débauché, car il parle ici d'une jeune fille de « quinze ans » l.17 il est censé représenter la droiture, et l'ordre à Florence mais il participe, comme un « bandit » l.79, à son déclin. Le second personnage à entrer en scène est le héros et le personnage

de pudeur ! ». Action : Pendant la nuit, à Florence, le duc, accompagné de son écuyer et de Lorenzo, vient chercher la fille que Lorenzo lui a achetée pour ses plaisirs charnels. La scène se passe donc dans une ville dépravée où règne vice, débauche, abus de pouvoir. II) Portrait de Lorenzo Discret : didascalie initiale « couverts de leurs manteaux », respectueux : formules de politesses « Altesse, Votre Altesse », flatteur : exclamative « Et quel trésor qui celle-ci ! », a de l’assurance :