Débauche

pour s'attirer encore plus d'argent, chose qui sera établie dans le final où il en vient même à nier sa dignité. Un tel spectacle est écœurant, et la force de ce titre, La Curée, se révèle tout à fait dans le témoignage apporté par Zola sur cette débauche arriviste dans laquelle se vautre tous ceux réclamant avidement leur part du gâteau cuisiné par le Second Empire. Si Aristide Saccard est de par son manque d'humanité un individu finalement fort simple psychologiquement, il n'en va pas de même

reçoit tout au cours de la pièce tels que « Lorenzo de Médicis » (le duc, acte I, scène 4), c'est le nom prestigieux du descendant d'une famille noble ou encore « Renzino » (le duc, acte II, scène 4), il s'agit du surnom familier donné au compagnon de débauche. Et, « Lorenzaccio » (Lorenzo, acte III, scène 3), c'est le terme péjoratif qui s'applique à l'individu dangereux maudit par les gens honnêtes. Ensuite, on peut noter que Lorenzaccio a le physique du héros romantique, il est frêle, fragile. Puis

du vice avec le champ lexical du progrès et de l’éclosion, voir la roué à venir, habituer l’imagination qui se développe « fleur qui promet des fruits rares ». Il s’agit ici d’éduquer les futures victimes en les habituant en les accoutumant à la débauche. Le fait d’en parler avec une pointe d’amusement dénote le cynisme car Lorenzo semble se complaire à noter les faiblesses prévisibles de la jeune proie innocente : il assure sa pudeur (ligne 24) son coté méticuleux, proprette comme une flamande

arrêter (s.1). Au matin dans les rues, la ville est présentée dans une atmosphère carnavalesque où les grands de la cité, masqués et travestis, sortent d’un bal. C’est l’occasion pour le peuple florentin de commenter la vie publique et l’atmosphère de débauche instaurée par Alexandre et ses proches (s.2). Peu après, au palais, le cardinal Valori, représentant du Pape, soutenu par le chancelier sire Maurice, vient mettre en garde Alexandre contre Lorenzo. Le duc balaye ses inquiétudes en brossant de son

telle que cette perruque blonde cache quelque chose. Ensuite, l’auteur met en place une description morale du personnage. Il veut nous persuader que Dubois est profondément mauvais. Il y a une accumulation de vices : l’avarice, la débauche, la perfidie, la flatterie, l’impiété. Il utilise donc le champ lexical des défauts pour abaisser l’abbé. L’expression « il excellait en basses intrigues » est une hyperbole : il exagère le diabolisme de l’abbé. Elle est aussi proche de l’oxymore

théâtre est édité. 2 mai 1857 : il meurt à 46 ans. Son enterrement fut sobre. La vie de Musset oscille entre la passion, la souffrance existentielle et la débauche. Sa vie semble trouver une double dans le personnage de Lorenzo. Dans sa vie, thèmes fondamentaux de Lorenzaccio : la pureté menacée, l'attirance et le dégoût pour la débauche, puis un cœur désabusé, une irrégularité dans les passions. Sa poésie reflète son romantisme tourmenté. C'est au niveau théâtral qu'il triomphe.

par Pouchkine[8]. Il est d'ailleurs le seul poète français de son temps que le poète russe apprécie vraiment[9]. En 1830, à 20 ans, sa notoriété littéraire naissante s'accompagne déjà d'une réputation sulfureuse alimentée par son côté dandy et ses débauches répétées dans la société des demi-mondaines parisiennes. La même année, la révolution et les journées des Trois Glorieuses donnent le trône au duc d'Orléans et son ancien condisciple, le duc de Chartres, devient prince royal. À l'âge de 22 ans,

trouver ici-bas, Lorenzaccio incarne ce mal du siècle proprement romantique, de cette difficulté d'être de toute une génération consciente de l'absurdité du monde, de la perversion de l'homme. Utilisant la débauche pour atteindre son but politique, Lorenzaccio s'y englue peu à peu, car cette même débauche lui est devenue indispensable, pour lui permettre d' oublier son irrémédiable déchéance. Jeune homme pur et tranquille décidé à régénérer, à lui tout seul, une humanité impuissante et médiocre, il succombe

un modèle d’immoralité. Mais ce plaisir sadique ne reflète que le grand désespoir et le malheur d’une vie remplis que de débauches et de peines. En effet Don Juan sera toujours un homme malheureux, qui ne peut exprimer ses sentiments et qui vivra à tout jamais dans l’infortune. C’est un grand voyageur qui multiplie ses conquêtes aux seins de toutes l’Europe. Toutes ces débauches amène Don Juan à une mort qui apparaît comme un châtiment. Don Juan n’est pas réellement un mythe, il n’est pas issu de

Strophe 2 – Paradoxe du comportement humain : “gaiement” / “bourbeux” vers 7 - “de vils pleurs” vers 8 Strophe 3 et 4 - “Qui berce longuement notre esprit enchanté” vers 11 - “qui tient les fils qui nous remuent” vers 13 Strophe 5 - “débauché” vers 17 - Pulsion destructrice vers 17-18 Strophe 7 – Pulsion destructrice et meurtrière : Accumulation d'attaques vécues chez les romains et les grecs vers 25 - Hypothèse : “si” vers 2 2ème partie (strophes 8, 9 et 10) – Evocation