Débauche

dirois-tu? SGANARELLE:   Baste, laissons là ce chapitre. Il suffit que nous savons ce que nous savons, et que tu fus bien heureuse de me trouver. MARTINE:   Qu'appelles-tu bien heureuse de te trouver? Un homme qui me réduit à l'hôpital, un débauché, un traître, qui me mange tout ce que j'ai? SGANARELLE:   Tu as menti:   j'en bois une partie. MARTINE:   Qui me vend, pièce à pièce, tout ce qui est dans ce logis. SGANARELLE:   C'est vivre de ménage. MARTINE:   Qui m'a ôté jusqu'au

décadence morale qui règne sous la Monarchie de Juillet, affaiblie par une série de scandales. Dans cette allégorie réaliste, le peintre se sert de la fin d’un monde pour critiquer le sien propre . Au centre du tableau, Couture a placé le groupe des débauchés, épuisés, désabusés ou buvant et dansant encore. Au premier plan, se tiennent trois hommes qui ne participent pas à cette bacchanale : à gauche, un garçon mélancolique assis sur une colonne et à droite deux visiteurs étrangers qui posent sur la scène

que dirais-tu? SGANARELLE.- Baste*, laissons là ce chapitre, il suffit que nous savons ce que nous savons: et que tu fus bien heureuse de me trouver. MARTINE.- Qu'appelles-tu bien heureuse de te trouver? Un homme qui me réduit à l'hôpital, un débauché, un traître qui me mange tout ce que j'ai? SGANARELLE.- Tu as menti, j'en bois une partie. MARTINE.- Qui me vend, pièce à pièce, tout ce qui est dans le logis. SGANARELLE.- C'est vivre de ménage*. MARTINE.- Qui m'a ôté jusqu'au lit que j'avais

clés pour l’approcher. Le personnage de théâtre présente des traits communs avec son créateur. Musset transpose les béances et les failles de son propre moi. 1- L’ expérience de la débauche Le thème est récurrent ds l’œuvre de Musset : cf Les Caprices de Marianne : le personnage de Octave, insouciant et débauché, ami de Coelio, sentimental et timide = 2 facettes de Lorenzo = composante de la personnalité de Musset. Musset, lui aussi amoureux du vin et des femmes, se livre à divers excès après

rencontre d’un autre poète, Paul Verlaine en 1871, celui qui va faire connaître Arthur Rimbaud en tant que poète avec « Les Poètes maudits » (1884). C’est aussi avec cet homme qu’il entreprend une relation homosexuelle tumultueuse accompagnée de débauches, ce qui explique ce qu’il prononce « L'ivresse, c'est le dérèglement de tous les sens ». Mais cette relation finit mal lorsque Verlaine, ivre, tire 2 coups de revolver sur Rimbaud le blessant légèrement dans un hôtel de Bruxelles. Arthur Rimbaud

refus de réagir nous force à avoir de la pitié pour le pauvre homme et donc de l'empathie pour le personnage. riche-pauvre misère « Partout la joie, le gain, la débauche » , « Ici la misère absolue, la misère affublée »; Baudelaire choisit ici de nous montrer le gouffre qui existe entre la misère de ce vieil homme et la débauche de la foule. Il nous décrit de nombreux achats réalisés par la foule, ce sont des achats superficiels comme des bâtons en sucre qui nous montre le peu d'importance qu'attachent

la question suivante : Une note du comité de censure du 23 juillet 1864, adressée au directeur de l'Odéon, stipule : « Nous ne croyons pas que cette œuvre, arrangée telle qu'elle est, rentre dans les conditions de représentation du théâtre. Les débauches et les cruautés du jeune duc de Florence Alexandre de Médicis, la discussion du droit d'assassiner un souverain dont les crimes et les iniquités crient vengeance, le meurtre même du Prince par l'un de ses parents, type de dégradation et d'abrutissement

naturels, la comparaison avec un pourceau accentue cet effet. Puis il le compare avec Sardanapale, roi légendaire d’Assyrie qui symbolisait la corruption et la débauche, il avait plusieurs femme et il était immoral, de plus Sardanapale signifie « sensuel » en français il l’élève donc au même rang que ce personnage Dom Juan est un important débauché. La métonymie « épouseur à toutes mains » compare les femmes à des mains, donc à des objets. Il peut épouser n’importe quelles classes sociales « Dame, Demoiselle

unhomme maintenant », déclare Dorian à Basil, soulignant sa propre maturation.Raphaël, personnage tourmenté et dépravé évolue au fil du roman, suivant un chemin d’apprentissage pour finir par se découvrir lui-même et reconnaître sa plongée dans la débauche et le libertinage : « Je ne voulais plus rester seul avec moi-même. J’avais besoin de courtisanes, de faux amis, de vin, de bonne chère pour m’étourdir. Les liens qui attachent un homme à la famille étaient brisés en moi pour toujours. ». Or, Balzac

royalement splendide, quelque bacchanale digne du siècle où tout s’est, dit-on, perfectionné ! » ( chapitre 1 ) . Ainsi son vœu est exaucé le soir même où il rencontre l’antiquaire qui lui donnera la peau de chagrin et Raphaël se rendra à une soirée de débauche à caractère orgiaque. Aussi, elle réalisera son souhait de devenir riche puisqu’il apprendra lors de cette même soirée qu’il hérite d’une importante somme d’argent. Alors, symbole de la création et allégorie de la vie, cette peau est capable de