Débit binaire

Equilibre solide-liquide des systèmes binaires I. Introduction La matière présente généralement trois états: solide, liquide et gazeux. Les phases et les structures sous lesquelles peuvent exister les matériaux sont définies par les lois de la thermodynamiques. Les équilibres entre les différentes phases dépendent de deux types de facteurs Ceux qui sont liés à l'énergie ou variables d'action (P, T) Ceux qui sont liés à la matière ou variables de position (fraction molaire, pourcentage

(elle a déjà son nom : Nibiru) cachée pour l'instant dans l'orbite de la Terre,vont venir frapper notre planète ce jour-là. Annulé, même pour la fin du monde du 21 décembre 2016, en raison du coût trop important. - Système trinaire : Le système binaire arrivant à son terme (exemple : dvd blue-ray) le système trinaire sera apporté par des extra-terrestres et viendra révolutionner et remettre à jour toutes nos connaissances scientifiques et mathématiques acquises jusqu'à aujourd'hui. Reporté certainement

Th´orie des ensembles e Contents 1 D´termination des ensembles e 1.1 D´termination par extension . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 1.2 D´termination par compr´hension . . . . . . . . . . . . . . . . . e e 2 2 2 2 Ensembles particuliers 2.1 L’ ensemble vide . . . 2.2 Singleton . . . . . . . 2.3 Paires . . . . . . . . . 2.4 Ensembles de r´f´rence ee 2.5 Ensembles ´gaux . . . e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

bits Qu’est-ce que la mémoire ? Un grand tableau de cellules Jean Privat (UQAM) 02 — Codage INF2170 — Automne 2013 3 / 29 Cellules mémoires Contiennent Pas vraiment des valeurs décimales Mais des valeurs binaires La « signification » des valeurs binaires N’est pas stockée dans la cellule Mais dépend du sens que peut leur donner le « lecteur » Jean Privat (UQAM) 02 — Codage INF2170 — Automne 2013 4 / 29 Plan 1 Représentation des nombres 2 Représentation

27 28 28 29 29 30 30 30 31 32 33 33 34 35 35 35 36 36 1.1 Rudiments de logique 1.6 1.1 1.1.1 Chapitre 1 : Logique et ensembles Relations binaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.6.1 Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.6.2 Propriétés éventuelles des relations binaires . . . . . 1.6.3 Relations d’ordre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.6.4 Relations d’équivalence, classes d’équivalence . . . . 1.6.5 Congruence modulo un réel

Décimal | Binaire | 0 | 0 | 1 | 1 | 2 | 10 | 3 | 11 | 4 | 100 | 5 | 101 | 6 | 110 | 7 | 111 | 8 | 1000 | 9 | 1001 | Décimal | Binaire | 0 | 0000 | 1 | 0001 | 2 | 0010 | 3 | 0011 | 4 | 0100 | 5 | 0101 | 6 | 0110 | 7 | 0111 | 8 | 1000 | 9 | 1001 | II/ Convertir du binaire en décimal Avant tout, voici comment décomposer un nombre décimal: 37.508 = 3x10.000 + 7x1000 + 5x100 + 0x10 + 8x1 37.508 = 3x104 + 7x103 + 5x102 + 0x101 + 8x100 Comme un exemple vaut

ne comprend que le langage binaire dans lequel toute information est traduite en une suite de ‘0’ et de ‘1’. Mais ce langage ne peut pas être efficace pour les humains à cause du grand risquent d’erreurs qui peuvent se produire. D’où la solution proposée qui consiste à écrire l’information dans un langage qui est plus proche de celui parlé par l’homme et l’introduire dans une machine sur laquelle est introduit un compilateur qui permet une traduction en langage binaire. Code ASCII ASCII (American

dépend notamment des systèmes de codage de caractère considérés (windows-1252 et ISO-8859-1 n'offrant pas les mêmes plages de valeurs «imprimables».) Les 95 caractères et signes du codage ASCII Un fichier « non texte » est appelé « fichier binaire », dans le sens où les bits contenus dans le fichier ne représentent pas une simple suite de caractères imprimables, d'espaces et de retours à la ligne.MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM- MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM-

surjectives, bijectives . . . III.8 Utilisation des applications caract´eristiques . . . . III.9 Familles d’´el´ements, familles d’ensembles . . . . . Relations binaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . IV.1 G´en´eralit´es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . IV.2 Propri´et´es ´eventuelles des relations binaires . . . . IV.3 Relations d’´equivalence . . . . . . . . . . . . . . . IV.4 Relations d’ordre . . . . . . . . . . . . . . . . . . IV.5 Majorants, minorants . . . .

Labo 11 But : Trouver expérimentalement la relation mathématique entre la force gravitationnelle et la force de frottement sur une surface horizontale. Hypothèse : Nous croyons que la relation entre la force gravitationnelle et la force de frottement sur une surface horizontale est : Ffrottement = Fg x constante de frottement. Cette constante est égale à la force de frottement divisé par la force gravitationnelle et elle dépend de la nature et la surface de contact et le poids de l’objet. Méthode :