Décasyllabe

ensorcelante. Les « charmes secrets » évoquent tout un monde d'allusions, de souvenirs, d'affnités et de correspondances cachées. • Toute la strophe s'attache à transcrire poétiquement la musicalité de cette « fantaisie » tant aimée. Le rythme des décasyllabes particulièrement régulier, scandé en miroir – 4/6 puis 4/3/3, et

O beaux yeux bruns.. Intro Ce sonnet en rime abba/abba/ccd/eed et en décasyllabe a été écrit par louise Labé au 16e siècle qui a reçue une éducation complet lisent le latin et l’italien lui a permit de s’inspirer d’un poète italien Pétraque. Elle a publié le sonnet en 1555 sous le titre ŒUVRES. et s’intéresse à l’épanchement d’un chagrin excessif provoqué par la rupture amoureuse. Développement 1-la plainte amoureuse L’amoure n’est pas réciproque * La répétition de « vainement » v3, 4 et

burlesque Paronomase v. 26-27 donne aspect comique II. Une triple méditation A) Réflexion philosophique sur l’inconstance de La Fortune Rapprochement entre chp. Lex. : mort + triomphe Asyndètes  rythme rapide, enchaînement inéluctable v. 20 : décasyllabe = moment clé Allégorie de la Fortune :  Mise en valeur au début de la morale Fortune personnifiée : cruauté + puissance  Texte Tragique B) Mise en garde contre les dangers de l’orgueil Coq = fierté, orgueil  chp lex gloire, victoire MAIS

RONSARD. Premièrement, la poésie joue sur une dimension visuelle caractérisée par des vers qui se définissent pas son mètre, c’est-à-dire par le nombre de syllabes (Ex : Les vers pairs avec 8 syllabes appelés octosyllabes, 10 syllabes appelés décasyllabes… Et les vers impaires formés de 7 syllabes nommés heptasyllabes, 9 syllabes nommés ennéasyllabes…). Il y a trois règles pour compter les syllabes : Le (e) muet, qui ne se prononce pas en fin de vers ni devant un mot commençant par une voyelle (Ex :

participer. Pour ce faire, il y a tout d’abord le rythme de la fable. En effet, grâce aux rimes (Croisés ou simple) qui ont pour but de fluidifier la lecture, donne un rythme presque musical à la scène. Ensuite, il y a le fait que les vers soient des décasyllabes pendant les vers de narration, et en octosyllabes pendant les dialogues, ce qui entraîne un rythme mouvementé, puis il y a le temps, c’est une fable au présent, ce qui accentue encore plus l’impression de participer pleinement à la scène, par exemple

-syllabe: unité du vers français. -mètre: le vers français. -hémistiche: demi-vers -césure: coupe principale du vers -octosyllabe: 8 vers -décasyllabe: 10 vers -heptasyllabe: 7 vers -vers blanc: vers dissimulé dans la prose. -distique: groupement de deux vers pourvu d'un sens complet -tercet: 3 vers -quatrain: 4 vers -quintil: 5 vers -sizain: 6 vers -vers libre: marqué par un retour à la ligne, ne se définit que par son rythme propre, les accents sont variables et la rime n'est pas

interne. Notations de sons qui accompagnent Kyo : « Lieu de râles » «  gémir avec cette foule » « Murmures de plaintes » «  bourdonnements » «  chuchotements de douleur ». * Rythme : Certaines structures de phrases font penser à la poésie (décasyllabe et octosyllabe). Les phrases sont plutôt longues et cadencées : allitération en «on» : prison, Révolution, résurrection, humiliation… La phrase « O prison, lieu où s’arrête le temps » fait aussi penser à la poésie. Avec les champs lexicaux

personne «  Qui donc es-tu » V.25, « Qu’as-tu donc fait pour me suivre sur terre » V.29. Le poète doit en effet connaître cette personne car il la tutois. De plus, il y a un changement de rythme : à la 5ème stophes, on passe d’octosyllabes aux décasyllabes, la ponctuation devient forte, mime les émotions qui s’élargissent, quatres questions sont posées à la suite. Le poète essaye de savoir qui est cette personne, cette présence qui le suit depuis toujours à chaque moment qu’il est triste.

L’élément naturel instable – l’eau – figure la fugacité des sentiments et des expériences vécues. Question 2 Au plan rythmique, on observe l’alternance de quatrains en vers pairs (décasyllabes, vers de 4 et 6 syllabes) et de distiques en vers impairs ( 7 syllabes) qui font office de refrain. L’alternance entre la force du vers pair et l’instabilité de l’impair renvoie au balancement entre fluidité (fleuve et sentiments) et permanence du « je » qui les éprouve. La substitution ponctuelle

Situation générique : sonnet qui appartient au genre précis et codifié de la poésie amoureuse de la Renaissance (car forte intertextualité pétrarquiste). Sonnet en alexandrins : originalité pour époque de Ronsard, à l’époque le mètre classique= décasyllabe (4-6 ou 6-4), l’alexandrin commence à peine à se diffuser. Problématique : tension énonciative très forte : adresse à la Dame dans les premiers quatrains et premier tercet + changement de facture énonciative : apostrophe aux « Hommes » (dernier