Décasyllabe

versification est l'étude de la forme du poème (nombre de strophes, de vers, de syllabes, disposition des rimes). I-La forme du poème 1. Le vers En poésie, un vers correspond à un ligne. Les vers les plus utilisés sont l'alexandrin (12 syllabes), le décasyllabe (10 syllabes) et l'octosyllabe (8 syllabes). Pour compter le nombre de syllabes dans un vers, il faut tenir compte des e muets. ● Le « e » qui termine un vers ne doit pas être compté. Je / ne / re / gar / de / rai // ni / l'or / du / soir / qui

audible ; on conjugue donc : aime aimes aime aimons aimez (prononcé : ts) aiment avec pronom facultatif, sauf par insistance. De même, l’ordre des mots est moins strict, plus souple et le texte de Villon en garde des traces…  A)    Ballade : En décasyllabes ou octosyllabes. D’abord, la petite ballade : 3 strophes de même structure et sonorité finale, + la quatrième (débutant par l’envoi : Prince ou Princesse) de la deuxième moitié des 3 strophes précédentes. Soit 3 huitains + 1 quatrain (possibilité

tous les e dits muets non élidés, à l'intérieur des vers (quelle que soit la longueur de ceux-ci); et il ne prononce pas les e dits muets placés après voyelle ou après diphtongue et non élidés. Ainsi «Sous le pont Mirabeau coule la Seine» est un décasyllabe, et «La joie venait toujours après la peine», aussi. Ou encore dans «Le Voyageur» : «Et vomissaient la nuit le soleil des journées» ou «Les villes que j'ai vues vivaient comme des folles» sont des dodécasyllabes. [140] Dès lors, toute étude de

Une chanson de geste est un récit versifié (un long poème) en décasyllabes ou, plus tardivement, en alexandrins, assonancés regroupés en laisses (longues strophes de taille variable), relatant des épopées légendaires héroïques mettant en scène les exploits guerriers des rois ou des chevaliers, remontant aux siècles antérieurs. Les chroniques médiévales prennent par la suite le relais des chansons de geste. La geste, du latin gesta, est une « action d'éclat accomplie » de caractère guerrier

du poème (quatrains ? tercets ? chaque strophe = une idée différente) 5- Les champs lexicaux : relever ceux qui dominent uniquement et les commenter. 6- La versification ( rimes suivies ? embrassées ? croisées ? ; types de vers : alexandrins ? décasyllabes… ? Y-a-til des enjambements ? des rejets ? des contre-rejets ? Effets sonores : allitérations ? assonances ?) 7- Les figures de style : métaphores, comparaisons, hyperboles, personnification… A relever et à commenter. 8- La typographie : Le poète

repris à la fin = circularité du poème. d. Nombreuses répétitions dont le refrain donnent une impression de monotonie, de plainte, et rapprochent ce texte d'une complainte. 2. L'AMBIGUITE DU TEXTE. a. Vient de l'absence de ponctuation et du décasyllabe qui ne permet pas d'imposer un sens au texte, ce qui provoque plusieurs lectures. b. ambiguïté du temps: dominant = présent de vérité général et de méditation. Present du subjonctif exprime un souhait. 3. ECOULEMENT DE L'EAU ET DE L'AMOUR.

« Je vis, je meurs » de Louise Labé. Introduction : Publié en 1555, c’est un sonnet en décasyllabe à rimes embrassées. Lyrique, ce sonnet a pour sujet l’amour, mais il varie les émotions que l’auteur évoque et opère à l’intérieur d‘une forme fixe. I- Le thème de l’amour A- Une structure en énigme * 2 premier quatrains, 2 rimes embrassés, exposent les symptômes d’un mal inquiétant qui met en péril sa santé "je vis, je meurs") * Etats contradictoires et simultanés -> on peut s’interroger

également les trois types de vers les plus utilisés en poésie française en indiquant leur nombre des syllabes respectifs. Ce poème présente des vers courts, puis un vers de trois syllabes. Il existe en poésie française, les alexandrins (12 s), les décasyllabes (10 s), les octosyllabes (8 s), . c. Quels types de rimes sont ici utilisés ? De la même façon, les rimes utilisées sont très régulière. Dans chaque sizain se succèdent rimes plates et rimes embrassées. 2. Quels sons reviennent dans

à la fin = circularité du poème. d. Nombreuses répétitions dont le refrain donnent une impression de monotonie, de plainte, et rapprochent ce texte d'une complainte. 2. L'AMBIGUITE DU TEXTE a. Vient de l'absence de ponctuation et du décasyllabe qui ne permet pas d'imposer un sens au texte, ce qui provoque plusieurs lectures. b. ambiguïté du temps: dominant = présent de vérité général et de méditation + présent du subjonctif exprime un souhait. 3. ÉCOULEMENT DE L'EAU ET DE L'AMOUR

c'est-à-dire le récit biographique de la vie du saint. Une fresque à épisode est également une hagiographie, de même qu'une simple notice résumant la vie du bienheureux. Chanson de geste Une chanson de geste est un récit versifié (un long poème) en décasyllabes ou, plus tardivement, en alexandrins, assonancés regroupés en laisses (longues strophes de taille variable), relatant des épopées légendaires héroïques mettant en scène les exploits guerriers des rois ou des chevaliers, remontant aux siècles antérieurs