Décomposition LU

provo-cateur. Il suffit pour le comprendre de relire « Le Mort joyeux » (72) ou « Une charogne » (29). Dans ce dernier poème qui connut un grand succès dans les années 1860, la description est paradoxale. La mort est certes caractérisée par la décomposition du corps, mais cette vision est en même temps grouillante de vie. Jean-Pierre Richard, dans son recueil Poésie et profondeur, a parfaitement ana-lysé ce paradoxe : Le lyrisme baudelairien de la putréfaction nous peint la mort comme une vie superlative

littoraux de Bretagne souffrent de proliférations massives d’algues vertes. Celles-ci se développent et s’accumulent dans les eaux jusqu'à créer de véritables marées vertes qui se déposent des tas verdâtres sur les plages vers juin-juillet. Leur décomposition provoque un gaz nauséabond, l’hydrogène sulfuré qui s’échappe et embaume les rivages. Cette odeur est invivable pour les riverains, les touristes et les collectivités. Normalment le développement des organismes aquatiques, comme les algues, est

formes. Couplage disciplinaire : Biologie, Physique-Chimie. Ce sujet porte sur la décomposition et la momification. Notre problématique sera : Quel avenir pour un corps après la mort : décomposition ou conservation ? Notre développement se fera en 2 parties : Dans un premier temps nous verrons la décomposition sur le plan chimique et biologique, et par la suite nous verrons quels sont les alternatives à la décomposition : la momification naturelle et artificielle. Lors de la définition du sujet nous

provocateur. Il suffit pour le comprendre de relire « Le Mort joyeux » (72) ou « Une charogne » (29). Dans ce dernier poème qui connut un grand succès dans les années 1860, la description est paradoxale. La mort est certes caractérisée par la décomposition du corps, mais cette vision est en même temps grouillante de vie. Jean-Pierre Richard, dans son recueil Poésie et profondeur, a parfaitement analysé ce paradoxe : Le lyrisme baudelairien de la putréfaction nous peint la mort comme une vie superlative

celui-ci encore plus sinistre. De plus, la description du corps est macabre et terrifiante car elle est grotesque. Elle désacralise le corps humain, elle nous dérange, nous répugne, nous écœure.. Comme nous le montre le champ lexical de la décomposition présent dans le texte, comme nous signalent les termes "pourriture", "distillent", "puanteur" etc... Le poète utilise aussi une progression à thèmes éclatés. Il parle du corps en toute logique, puis aborde les parties de celui-ci en n'ayant aucune

persistant. 3. Plotin est un philosophe grec du IIIe siècle. TEXTE 1 : Villon : Ballade (/ balade) texte composé de 3 dizains + 1 quintil le dernier vers de chaque strophe est répété comme un refrain 0-Un thème commun : la mort et la décomposition du corps MAIS 1-description très crue et insupportable des corps pourrissants (qui fut probablement inspirée par le spectacle macabre du charnier des innocents) qui produit un fort contraste avec l'évocation des thèmes religieux. Les pendus

degré de diagenèse. La tourbe est constituée majoritairement d'eau et de cendre (entre 80 et 90 %) et de matière organique décomposée. Le taux de croissance des sphaignes s’évalue entre 2 et 12 centimètres par année selon les tourbières. Avec la décomposition et le compactage qui se produit au fur et à mesure que se superposent les débris végétaux, l’accumulation de tourbe est d’environ 0,5 à 1 mm par année. Les différents types de tourbe À l'état brut, la tourbe se présente comme une matière spongieuse

provenant de l’altération des minéraux de la roche mère, de la minéralisation des composés organiques ou l’action humain. 3) La fraction gazeuse Sa composition est la même que l’atmosphère enrichie en vapeur d’eau et en gaz résultant de la décomposition de la matière organique. Toutefois, le sol n’est pas une entité statique, il évolue au cours du temps.

champignons jouent donc un rôle important dans l’écosystème de la forêt: - Les champignons sont des agents du recyclage de la matière organique : Les champignons sont des êtres hétérotrophe, ils se nourrissent de la matière organique morte ou en décomposition (feuilles mortes, débris végétaux ou animaux, excréments) et sont appelés saprophyte. Ils participent à la minéralisation de cette matière organique. On les trouve souvent en forêt, là où cette nourriture, sous forme d'humus, existe en grande quantité

l’imparfait et le narrateur a utilisé également l’imparfait dans le contexte descriptif. Le narrateur (Bardamu) raconte sa propre histoire c’est-a-dire le narrateur est le principale caracthére. L’Espace Le Sud : l’Afrique : décomposition, pourrissement, climat destructeur, un espace de campagne paroxystique, une nature qui détruit l’homme. Le Nord : la conservation, la paix : un pôle d’espoir La campagne : « je l’ai toujours trouvée triste » : campagne inhumaine, inquiétante