Déconstruction

à désigner personnage principal du roman (qu'il soit héroïque ou non) Qd il contredit trop notre idée de l'héroïsme, qu'il est trop maladroit et perdu, on parle d'anti-héros. Ne pas confondre avec l'anti-personnage, qui relève d'une volonté de déconstruction du perso romanesque et d'un refus de l'illusion référentielle. C. Le personnage romanesque Personnages tissent un réseau de relations. Schéma actantiel en rend compte : le héros ou sujet, cherche à atteindre un but, l'objet. Dans cette quête

précis. Ce personnage est différent de la foule, caractéristique révélée par le fait qu’il se sert d’une pochette en soie et que l’odeur qui dérange la dame est en réalité son parfum. Raymond Queneau n’a pas été le seul à s’exercer au procédé de déconstruction du genre romanesque ; nombreux ont été les auteurs s’y aventurant. Gustave Flaubert en fait partie et a joué un rôle très important dans l’inspiration de l’auteur de Zazie dans le métro. Celui-ci admirait en effet beaucoup le Dictionnaire des

éthique du rire qui dépasse la contradiction du ridicule en tant que dérision à visée corrective et un esthétisme du rire dépourvu de tout contenu éthique. I- Une moralisation par le rire Un théâtre tourné vers la réforme des mœurs et leur déconstruction satirique. 1- Ridicule et disconvenance « La disconvenance est l’essence du ridicule »(Molière). La comédie présentée dans ce texte comme un mécanisme de régulation sociale qui, au nom des principes de l’honnête homme, montre du doigt ce qui

ceux qui appartiennent au mouvement littéraire du Nouveau Roman. C’est le cas de Robbe- Grillet avec Les Gommes, ou de Duras avec Moderato Cantabile. Le refus de l’illusion référentielle conduit à une nouvelle conception du roman, voire à une déconstruction et à de nouveaux codes : exemple L’Oulipo « si par une nuit d’hiver… » ou Queneau Les Fleurs bleues Conclusion : le personnage fictif est avant tout une construction, une création qui est mise au service d’un sens. Mais un minimum d’illusion

d’abord au traitement des volumes en deux dimensions. Cette première phase du Cubisme, nommée Cubisme cézannien, se situe entre 1908 et 1910. 2-Une fois conquise l’autonomie du tableau, la question de l’espace se précise, pour devenir une sorte de déconstruction du processus perceptif. Cette étape appelée Cubisme analytique se poursuit jusqu’en 1912. 3-Enfin, les artistes introduisent des signes plus lisible dans la toile, des éléments issus du quotidien, des papiers et objets collés, orientant ainsi

cartes numérisées et des bases de données géoréférencées; tout cet affaire est sous l'opération et direction du logiciel sig utilisé, piloté par un utilisateur. Le sig est un dispositif de représentation et d'analyse spatiale, qui demande la déconstruction de la carte et sa reconstruction pour opérer sur ces cartes virtuels, sous la modalité de bases de coordonnées d'objets spatiaux, en association avec des bases de données géoréférencées. Le sig présuppose la carte pour la transformer en carte

d’une crise identitaire et poétique et condition du renouveau qu’il mettra en œuvre dans Les Illuminations. Ainsi, on voit dans ce poème déjà se dessiner la révocation d’une muse ancienne associée à l’image d’un âge d’or avant de faire état d’une déconstruction désirée et source d’une récréation d’un monde poétique, accès à une dimension supérieure.

jeunes étudiantes en mentionnant qu’il y en a eut 40 en une journée et que cela dure depuis des années. Ainsi, le pouvoir est beaucoup plus important que de simple étudiantes. QUESTION 2 Le théâtre de l’absurde fonctionne sur la base de la déconstruction de principes qui sont supposés donner sens à l’existence. Faites ressortir deux de ces principes et expliquez-en la mécanique…«défectueuse». Par cette pièce, Ionesco dévalorise le principe du savoir. Il se moque de l’éducation supérieure, plus

à Paris. Elle fera scandale à l’époque. Cette installation reçoit en 1986 le Lion d’or à la Biennale de Venise pour le prix du meilleur pavillon. Son travail va s’orienter vers une réflexion sur l’espace. La Cabane Eclatée mêle construction et déconstruction et marque le début de son travail en relation avec l’architecture. Dans les années 1990, il complexifie ses installations en y ajoutant des jeux de lumières et de matière. Cherchant sans cesse à se différencier de ses contemporains, Daniel Buren

lecture théologique de Jacques le Fataliste Jacques le fataliste et son maître est un (non-)roman qui a suscité autant l’enthousiasme de la critique depuis le XXe siècle qui y voit l’expression d’un postmodernisme avant l’heure à travers la déconstruction même de l’illusion romanesque, qu’il soulève (trop) souvent la suspicion à force de prendre le lecteur de revers, de le surprendre et de refuser de s’enfermer dans une seule interprétation monologique. Œuvre dialogique et polyphonique : les voix