Decrire Un Lieu Triste

frémissant comme « un coeur qu'on afflige » (vers 6) évoque une sensation auditive de râle, l'agonie d'une personne en train de mourir. Il compare aussi le « ciel » à un « grand reposoir » avec l'outil comparatif « comme » (vers 8), il associe le ciel à un lieu intermédiaire entre la mort et la monté aux cieux. Dans le troisième quatrain, la métaphore de l'eau du paysage avec le sans du soleil « Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige » (vers 12) instaure une atmosphère sanglante et funèbre. En effet

DM de francais q ? 1) relever les termes péjoratifs et commenter leur emploi . Dans cet extrait , Stendhal emploi des termes péjoratifs pour décrire les provinciaux à travers les yeux de son personnage Lucien . « mesquine » qui désigne les maisons vus par le régiment , montre que Lucien trouve que ces habitats dépourvus de toute âme , manquent cruellement de noblesse et de beauté . « ces marauds de provinciaux » laisse entendre que les gens de la campagne , les provinciaux, sont ici

langoureux vertige ! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige, Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ; Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige. Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir, Du passé lumineux recueille tout vestige

dizaine. Et c'est en marchantMES , affaires à la main dans les rues de mon nouveau quartier où tous les émigrés logeaient, , qu'un homme de triste mine devant un hôtel d'aspect vieillot m'interpella et me fit d'une voix monotone que seul les Blancs étaient acceptaient dans ce pays. Ce ne fut que quelques temps après que cette phrase prit un sens réel. Pour vous décrire brièvement l'état de nos habitats, l'adjectif piteux conviendrait à merveille. De grandes maisons, appelées blocs, nous abritèrent lors

rincées d’eau claire; et, à force d’avoir servi, elles restaient entrouvertes, comme pour présenter d’elles-mêmes l’humble témoignage de tant de souffrances subies. Quelque chose d’une rigidité monacale relevait l’expression de sa figure. Rien de triste ou d’attendri n’amollissait ce regard pâle. Dans la fréquentation des animaux, elle avait pris leur mutisme et leur placidité. C’était la première fois qu’elle se voyait au milieu d’une compagnie si nombreuse; et, intérieurement effarouchée par le

Bruxelles en 1869 dans un Complément aux Fleurs du mal de Charles Baudelaire. • L'auteur décrit les hiboux et s'appuie sur leur caractère pour exprimer une idée morale sur l'Homme (il conserve son mal-être en tout lieu). [pic] • L'auteur effectue une prosopopée en faisant parler une pipe. Il exprime l'effet de l'acte de fumer sur son être. [pic] • Il fait une analogie entre la musique et la

d’immoler mon amant !
 Rome qui t’a vu naître, et que ton cœur adore !
 Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore ! » L'antithèse L'antithèse juxtapose deux éléments de sens contraire dans un même énoncé. ex. : Joyeux, j'ai vingt-cinq ans, triste, j'en ai soixante. Hugo, Les contemplations L’oxymore Alliance de termes contradictoires. ex. : Le soleil noir de la mélancolie. Nerval, El Desdichado Paradoxe Juxtaposition de termes qui ne devraient pas être associés. Ex. : « misérables

l'adverbe « doucement » dans le vers 3. Le première quatrain a un rythme harmonieux, avec des vers amples ce qui montre la tendresse et la pureté de ce lieu. Verlaine nous décrit ce jardin très lumineux en utilisant des mots comme « pailletant » ; « étincelle » ; « argentin ». Le jardin nous paraît clair, agréable et très beau. Il montre la beauté de ce lieu en parlant des fleurs « roses » ; « lys » qu'il personnifie. En effet, les roses « palpitent » et les lys sont grands et « orgueilleux », la porte

présentation de l’œuvre ; — renseigner le genre du livre (s’il s’agit d’une autobiographie, d’une biographie, d’un roman de fiction, d’un essai, de recueil de poèmes, d’une pièce de théâtre, etc.) ; — présenter les personnages, la temporalité, le lieu ou les lieux de l’action ; — résumer brièvement la trame de l’ouvrage ; — Conseiller ou non de lire l’ouvrage et justifier son choix en utilisant des expressions telles que « dal mio punto di vista », « a parere mio », « secondo me » ou encore les

féminines et masculines (cf. fiche sur rime et harmonie). Première étape (huitain) : vie et mort de la rose Comparaisons qui font appel à l’expérience de chaque lecteur : présence de « on » (vers 1), présent général « voit ». Scène évoquée :        Lieu = nature … « branche » jardin                                 Temps = Mai = Printemps = Marie = renouveau                                  Le personnage : « la rose » -> Place à la rime « le bout de la branche » Personnification de la rose : « belle