Decrire Un Lieu Triste

Don McCullin présente parfaitement le choc de la guerre. Cependant, comme je l’ai déjà dit, le texte qui accompagne la photo est très différent et intéressant. Denis Roche ne mentionne pas le contexte historique derrière cette image; au lieu de cela, il parle de l’idée de division et comment une guerre crée le désordre et le chaos à travers cette division violente et politique. Toutefois, il ne parle pas directement de cette idée, il explique indirectement a travers une métaphore de mots

Louise de Coligny-Châtillon, dans lequel il lui exprime ses sentiments. Nous pouvons alors nous demander quelle est la vision d’Apollinaire par rapport à la guerre et l’héritage laissé par le poème. En premier lieu nous étudierons le regard antithétique du poète sur la guerre, en second lieu nous verrons quel est le rôle de la femme dans le poème et pour finir la quête de la mémoire et de la reconnaissance. Premièrement nous pouvons relever le regard antithétique d’Apollinaire sur la guerre. En

d’apparition ds le texte « Katabolonga » 1 (1&) reste encore énigmatique, a un rôle essentiel d’habitude qui semble effacé en ce début. « le roi Tsongor » 21, « le vieux roi de Massada » 48-49, font réf au titre , donnent des indications entre le lieu et la personne, et explique une partie du titre : mort = vieux. « sa fille » 21, « Samilia, la fille du roi Tsongor »38, « la future mariée »41, « la fille du roi Tsongor » 45 : importance de la répétition , et de deux liens : fille du roi, future

 Tout au long du roman, la triste réalité de la pauvreté au Québec est souvent mise en lumière. La misère de la famille de Jean le Maigre est très visible tout au long du roman et le manque de nécessité oblige Grand-mère Antoinette d’envoyer son petit fils au noviciat pour vivre le reste de sa vie. Le noviciat est supposé d’être une institution ayant une influence positive pour les garçons, cependant, ce n’était pas la réalité à cette époque. En effet, les noviciats étaient des endroits reconnus

envoyé de Dieu, un intermédiaire entre Dieu et les hommes. C'est un être invisible mais qui peut se laisser voir lors d'un rêve ou d'une vision. Il possède une apparence humaine mais est transfigurée par une lumière surnaturelle.v.3 : semble décrire un lieu de bonheur éternel et immuable (mis en relief par le parallélisme, le rythme binaire et les négations) Implicite : la vie sur terre est l'inverse de ce bonheur…La vie « là haut » n'est marqué ni par la souffrance, ni par le bouleversement. La

poème issu de l’œuvre « les fleurs du mal » de Charles Baudelaire, met en avant les aveugles. Nous allons donc nous demander à l'aide de quels procédés ces sonnets décrivent-ils la laideur? Les trois auteurs ont utilisés différents procédés pour décrire la laideur. Dans le premier sonnet, construit en quatrain, Pierre De Ronsard va l'évoquer pour amener la mort au dernier vers. Et celle-ci est amenée par une description physique faite lors des quatorze vers. En effet, des le premier, et tout le

qui envahiraient la planète avec leurs racines. S’il avait un mouton il mangerait les brindilles de baobab et il ne serait pas obligé de les arracher. VI Le petit prince aimait beaucoup regarder les couchers de soleil, surtout lorsqu’il était triste. Au début il ne comprenait pas pourquoi on ne pouvait pas aller tout simplement voir un coucher de soleil quand on en avait envie. Sa planète était si petite qu’il n’avait qu’à tirer une chaise pour regarder le crépuscule. VII Il y avait

sont en nahuatl, la langue dominante parlée dans le centre du Mexique au XVIe siècle. Il est majoritairement écrit des noms géographiques indiquant où chaque scène se déroulait. Parfois de courtes phrases nahuatl étaient écrites à la place (pour décrire la scène plus en détail).L’original date d’environ 1552, on sait que le commanditaire a été le maire de Tlaxcala. Il est important de préciser « l'original » lienzo de Tlaxcala car celui-ci est perdu. Il y a eu des reproductions comme en 1773 par

personnage présent sur la toile est un voyageur. L’on peut donc supposer qu’il vient d’arriver, qu’il a délibérément choisi ce lieu ou qu’il s’est arrêté en chemin, et qu’il va repartir. La canne l’a sûrement aidé à gravir la montagne ou le rocher sur lequel il se trouve. Le verbe « contempler » nous indique que cet homme prend son temps et qu’il est absorbé par ce lieu. La métaphore « mer de nuages » s’explique par le fait que les nuages, s’étalant à l’infini et formant des vagues, nous donne l’impression

rencontrer ce monde ouvrier si étranger à sa condition bourgeoise. Mais l’auteur peut aussi choisir d’ancrer son récit dans une réalité historique. Cela lui demandera plus de travail de recherches, d’études sur la société de l’époque qu’il souhaite décrire mais certains préfèrent opter pour cette solution. Ainsi, dans l’Homme qui rit, Victor Hugo a placé les aventures de Gwynplaine dans la société anglaise du XVIIe siècle. Le romancier peut s’inspirer du réel pour les paysages, les lieux de son roman :