Decrire Un Oiseau

Baudelaire faisait partie de la génération des poètes maudits, c'est-à-dire non compris par les gens de son époque. Les trois premières strophes concernent l'albatros tandis que la dernière est dédiée au poète. Analyse : I- La parabole du poète oiseau A- Une double analogie ---- Une double comparaison Le poème L'Albatros est fondée sur une double comparaison. L'albatros est personnifié étant donné que le poète est comparé à l'oiseau. Grâce à un réseau de personnification, les trois premières strophes

cadre de la guerre froide. Il peint en 1951, Massacre en Corée. Ensuite, il rejoint la propagande pacifiste. A cette époque, il s’inspire des grands peintres des siècles précédents comme Francisco Goya. DESCRIPTION : L’introduction finie, je vais décrire l’œuvre suivant la forme de la composition. Cet immense tableau horizontal extrêmement allongé réunit 7 figures ou groupes de figures. La composition forme un grand triangle qu’on appelle composition pyramidale. Au centre se tient un cheval blessé

cadre de la guerre froide. Il peint en 1951, Massacre en Corée. Ensuite, il rejoint la propagande pacifiste. A cette époque, il s’inspire des grands peintres des siècles précédents comme Francisco Goya. DESCRIPTION : L’introduction finie, je vais décrire l’œuvre suivant la forme de la composition. Cet immense tableau horizontal extrêmement allongé réunit 7 figures ou groupes de figures. La composition forme un grand triangle qu’on appelle composition pyramidale. Au centre se tient un cheval blessé

Nom :…………………………………………..Prénom : …………………………………….Date : ……….. /…………/……………CLASSE : CE3Contrôle n°1, 1er semestre en langue FrançaisePique nique à la compagne Bruno, Marie et Éric partent se promener dans la campagne.Pour le pique-nique, Bruno a apporté le reste du rôti, une orange et du chocolat."Nous le prendrons pour le dessert", dit-il.Marie, sa sœur, a pris de tulipes, des marguerites et du muguet."Je vais les offrir à maman", dit-elle, et elle fait un bouquet.Sur le téléphone portable de sa mère

dans le film ?), la voiture comme nouveau moyen de transport privilégié pour tous (les parents de Nicolas ont une Peugeot 404), sont autant d'éléments qui expriment l'époque. Objectifs : Découverte du monde, se repérer dans le temps et l'espace, décrire un temps plus ancien et le comparer au sien, découvrir une réalité passée et pourtant quelque part immuable. La classe On y voit : estrade, affiche au mur, pupitres à deux places en bois et cirés, encrier (on en voit l'utilisation dans la scène

I. ALBATROSAlbatros = Grand oiseau de mer, au plumage blanc et gris, au bec crochu. MET EN SCENE (métaphore) : l'albatros >< poète (= sent aliéné/incompris : la société) Quatrain 1 :description de l'albatros en pleine mer, où il est libre et à l'aise. Description : sa beauté/ grâce en volant au-dessus des vagues. Lorsqu'il est ramené à terre : l'albatros devient l'objet de moqueries/mépris de la part des marins. Quatrain 2/3 :souffrance/tristesse

, René Magritte, 1947, huile sur toile, 40x50,5 cm René Magritte est un peintre surréaliste belge du XXe siècle. On remarque trois éléments distincts dans ce tableau : une mer, un ciel et un autre ciel de la forme d’un oiseau qui prend son envol. Le ciel dans l’oiseau est clair et paisible, on peut voir des nuages. Le ciel à l’arrière-plan , lui, est gris,

l’oiseau  marque  un  moment  particulier  de  cette  sortie du Réel et du retour dans le Symbolique. Sans doute parce le coucou  est nom d’un oiseau, ces oiseaux qui pendant le cataclysme continuaient à  chanter  et  se  signalaient  ainsi  comme  faisant    partie  de  l’autre  monde,  comme étrangers à la réalité. Le fait de pouvoir donner un nom à un oiseau  marque alors une réintégration à l’ordre des mots. Le coucou a un nom qui,  par  ailleurs,  est  fortement  tissé  dans  ce  Symbolique ; 

élément vient rappeler les combats : la « ruine et [le] deuil », le « désert », les « pleurs », le « fer », les « chagrins » et pour finir « le poudre et [les] balles ». Seuls subsistent ainsi les mots chargés de sens, comme si la guerre, impossible à décrire, relevait de l’indicible. Cette difficulté à dire l’horreur, V. Hugo la retrouve chez Shakespeare, dont il met en exergue au début de son poème quelques mots de Macbeth, qui explore les plus vils tréfonds de l’âme humaine. Or la guerre reflète

présents dans le poème : le champs lexical du répugnant avec « ventre putride», »exhalaisons» ou encore « poison», et le champs lexical de la mort avec « pourriture », « carcasse » ou encore « charogne infâme». Les mots que Baudelaire a choisi pour décrire ce cadavre peuvent choquer tant ils nous procurent un sentiment de dégoût. Il utilise également des hyperboles afin d’exagérer l’horreur et la laideur de ce qu’il voit, notamment lorsqu’il écrit : « La puanteur était si forte, que sur l’herbe vous