Decrire Un Oiseau

cuisses de la danseuse (morceau de viande) et peut-être aux plumes de son costume. Le texte est donc très réducteur dès le début. La seconde comparaison a surtout pour effet de mettre en avant la maladresse de la danseuse : par le terme autruche (oiseau qui ne sait pas voler), mais par le fait qu’elle soit gênée également. Il y a une différence entre la danseuse est l’autruche : la danseuse s’en fait gloire. L’auteur met donc en avant un défaut de la danseuse (sa maladresse), tout en montrant

il la connaît déjà et la retrouve seulement. Il qualifie la porte étant étroite : vers 1, et la tonnelle étant humble : vers 5, ces deux adjectifs qualificatifs traduisent un effet de modestie. Ce n’est pas un jardin somptueux qu’il est entrain de décrire. C’est plutôt un lieu chaleureux et convivial. L’adverbe : « doucement » dans le vers 3 insiste sur le climat calme du jardin en cette agréable matinée.. Le sens humain est sollicité; on retrouve le champ lexical de la vue : « éclairait » vers 3

grand organe central battant furieusement, jetant le sang de la vie dans toute les veines. Bruit de mâchoires colossales… ». Associée à une synecdoque, « Paris » pour les Halles, l’allégorie compare d’abord Paris (les Halles) à un être vivant tel un oiseau mâchant la nourriture pour ses petits puis compare Paris (et cette fois non pas les Halles, mais bien Paris) à un seul organisme dont les Halles en seraient l’organe central, c’est-à-dire le cœur. Le texte D possède également un

petit Liré ; ardoise fine, douceur angevine » pour Liré on y retrouve aussi une opposition sonore : les termes utilisés pour parler de Rome dans les deux tercets sont froids et dur « front audacieux, marbre dure » alors que les termes qui servent à décrire le village regretté sont extrêmement simples et chaleureux « me plaît ; mes ayeux ; l’ardoise fine ». On a aussi une opposition syntaxique qui est la comparaison, répétition de « plus … que » ainsi qu’une opposition dans la versification : rimes féminine

plus importants du xvie siècle. C'est un poète lyrique et c'est avec les quatre quatrains de « ciel air et vent » qu'il charge la nature de dire adieu à sa bien aimée. Émile verhaeren est un poète belge 1855-1916 qui a écrit « le vent » pour décrire la puissance du vent au mois de novembre. Page 1/6 Alfred de MUSSET   (1810-1857) « Le chant des amis » De ta source pure et limpide  Réveille-toi, fleuve argenté ; Porte trois mots, coursier rapide : Amour, patrie et liberté ! Quelle

La photographie sera publiée dans une pastiche du Journal du Dimanche sous le titre de « Un homme dans l'espace ! Le peintre de l'espace se jette dans le vide ! ». 2) DESCRIPTION : il faut être le plus précis possible, comme s'il s'agissait de décrire l'œuvre à quelqu'un qui ne la voit pas. Il faut annoncer les différents éléments plastiques (cf : fiche les éléments plastiques) • • • • support couleurs ou noir et blanc matière forme C'est une photographie argentique en noir et blanc. Elle est

frêle Et souple comme le roseau Ton sein palpitait comme l’aile D’un jeune oiseau   Longtemps muets, nous contemplâmes Le ciel où s’éteignait le jour. Que se passait-il dans nos âmes ? Amour ! amour !   Comme un ange qui se dévoile, Tu me regardais , dans ma nuit, Avec ton beau regard d’étoile Qui m’éblouit.   Ce poème est romantique car V.Hugo parle d’amour , fait une allusion à une aile d’oiseau pour décrire le battement du cœur de la bien-aimée.         Peinture   Titre : Le

le personnage du Mendiant, est destiné aux autres personnages sur scène, mais aussi au spectateur, selon le principe de la double énonciation. La tirade du Mendiant, qui présente donc les caractéristiques du récit et du dénouement, a pour but de décrire l’action se déroulant hors-scène, afin de rendre visible aux spectateurs ce qui ne l’est pas. Mais cette narration se révèle en réalité plus complexe et amplifie paradoxalement la violence des meurtres. Enfin, l’ambiguïté de la tirade, à la fois récit

véritables lieu et date de naissance. Ainsi la date de 1494 est très controversée, certains lui préférant 1483[8] ou encore 1489[9]. Sa petite enfance est vraisemblablement similaire à celle des enfants de l'époque, dont il s'inspire sans doute pour décrire celle de Gargantua : « c'est à savoir : à boire, manger et dormir ; à manger, dormir et boire; à dormir, boire et manger. Toujours se vautrait par les fanges, se mascarait le nez, se chauffourait le visage, éculait ses souliers, bâillait aux mouches

étant des visages criant, grâce à leurs yeux, leur bouche ouverte : une femme, tête renversée, tenant un petit enfant, un homme à terre, bras écartelés et main crispée sur une arme brisée prés d’une fleur, un taureau ; dans l'ombre, se distingue un oiseau cou et bec tendus vers le ciel. A droite, au dessus de l’homme, un cheval hennit. Un bras apporte de la lumière, un visage apparait dans l’encadrement ; à gauche, un personnage tend les bras vers le ciel, dessous, une femme met un genou en terre