Décubitus

m’assure au préalable que la poche n’est pas « pleine »). J’ai assisté à plusieurs reprises à ce soin mais je ne l’ai encore jamais réalisé seule. A l’heure convenue, je me rends dans la chambre de Mme X et je l’aide à s’installer confortablement en décubitus dorsal puis je mets une protection sous la patiente afin de ne pas souiller le lit. Je me frictionne les mains avec la solution hydro alcoolique ; je mets les gants non stériles puis j’enlève le socle et la poche souillée en commençant par le haut

d’une corne utérine Pré-anesthésier la ratte, en injectant en sous-cutané de la buprénorphine (0.3 mg.mL-1) à raison de 0.05 mg.kg-1. Attendre 10 minutes puis l’anesthésier en IP au pentobarbital sodique 6% à raison de 35 mg.kg-1. La fixer en décubitus dorsal sur une planchette. Inciser la peau, puis le plan musculaire depuis l’ombilic jusqu’au pubis. Ecarter les viscères. Repérer les cornes utérines. Isoler délicatement une des 2 cornes utérines des tissus adhérents. Sectionner cette corne

forme d'ennuis à devoir garder au minimum 6 mois la colostomie. La patiente est habituée quant au fait que l'on lui change la poche tous les matins mais je prends tout de même l'initiative de la prévenir. Puis je l'installer confortablement en décubitus dorsal. Je mets une protection sous la patiente afin de ne pas souiller le lit. J'effectue un lavage antiseptique des mains. Je mets les gants non stériles J'enlève la poche souillée : • du haut vers le bas • je quantifie les selles • je vérifie

Des troubles de la communication peuvent perdurer avec des difficultés d’expression ou/et de compréhension. Des compensations sont généralement mise en place utilisant le langage gestuel. 1-3-Complications des AVC  Il en existe 3 sortes : - De décubitus: Elles mettent en jeu le pronostic vital à la phase initiale. - Épaule douloureuse: Symptôme très fréquent. Les traitements associent: mesures de préventions soit éviter un mouvement de traction, mobilisations douces, infiltration intra-articulaire

de douleurObservation de la respiration � Se fait: à la vue, à l’ouie et au toucher:rythme (régulier ou non), l’amplitude (courte, profonde,hyperpnée), la fréquence: polypnée, bradypnée,pauses (age, effort,émotion) � Dyspnée: à l’effort, de décubitus,ou orthopnée, continue? -Tirage( le patient cherche l’air)? Cyanose? Bruyante (sifflements, battements des ailes du nez, gargouillements,râles, cornage)?Le pouls et la fréquence cardiaque � Fréquence: tachycardie, bradycardie � Rythme: arythmique

dit-il ?Voir ses expressions Qu’en est -il de ses contacts avec son entourage ?Etat de sa femme ?Comment se sent-elle par rapport à l’état de son époux ?Lui a-t-on expliquer son état et l’évolution à venir ? Risque de phlébite et de complication du décubitus Lié à  : Faible mobilité Surveillance des mollets · Rougeur, chaleur, douleur, signe de Homans, dissociation pouls, T°, mollet dur : perte du ballot· Œdème Prévention d’escarre, des points d’appuiChangement

ralentissement du rythme respiratoire iii. La tachypnée : fréquence respiratoire augmentée iv. L’hyperpnée : augmentation de la ventilation/minute v. La polypnée : respiration rapide, éventuellement superficielle vi. L’orthopnée : dyspnée au décubitus dorsal complet, améliorée par la mise en position verticale du thorax b. Analyse : i. Chronologie : 1. ancienneté : on distingue la dyspnée aiguë, récente, paroxystique, elle pose souvent un problème thérapeutique d’urgence. La dyspnée chronique

contexte du soin : • Informer le patient du soin, de la durée du traitement, de la douleur occasionnée par l’injection et de sa finalité • Prévoir une aide pour le confort du patient (patient agité ou pour aider le patient à se maintenir en position décubitus latéral ou ventral pour IM dans les muscles grand et moyen fessier) Organisation du soin : • Planification du soin en fonction du degré d’urgence et de l’organisation du service • Respecter dans la mesure du possible les souhaits du patient Préparation

détersion de la plaie • Un contrôle de la contamination microbienne Indications, contre-indications • Plaies aiguës suintantes et hémorragiques (brûlure, plaie post opératoire, site donneur de greffe...) • Plaies chroniques (ulcére et escarre de décubitus) en phase de détersion fibrineuse et en phase de granulation sur des plaies planes, creusées ou fistulées Ne pas utiliser sur des plaies peu suintantes ou sèches. Avantages • Très grand pouvoir absorbant. • Utilisation possible pour les plaies infectées

compresses stériles et les imbiber avec l’antiseptique. • Préparer les deux seringues de 10 mL de sérum physiologique pour vérifier le reflux et effectuer le rinçage. • Assembler l'adaptateur et le corps de pompe. • Installer le patient en décubitus dorsal, légèrement en déclive. • Effectuer un lavage antiseptique des mains ou effectuer un traitement hygiénique des mains par frictions avec une solution hydro-alcoolique : hygiène des mains puis mettre les gants. • Manipuler le robinet de la