Décubitus

étiologique. – Technique : * des clichés de face debout et de face couché ; * un cliché de face debout centré sur les coupoles diaphragmatiques ; * si la station debout est impossible : ■ un cliché de profil couché, rayons horizontaux, ■ voire de face décubitus latéral. – Résultats : on recherche : * des signes d’épanchement intrapéritonéal : ■ grisaille diffuse, ■ anses grêles cernées en mosaïque, ■ décollement pariétal du côlon, déplacement de la grosse tubérosité gastrique ; * un iléus réflexe avec des

être du diamètre le plus large possible accepté par la trachée. Étapes Prévenir le patient pour qu’il reste calme Installer le patient en demi-assis ou décubitus dorsal, tête en légère extension Mettre la FiO2 à 1 si patient ventilé artificiellement Préparer la canule : vérifier le ballonnet et lubrifier largement Mettre le patient en décubitus dorsal, tête en hyperextension Enlever les compresses sales (par un aide portant des gants non stériles) Aspirer dans la trachée, autour de la plaie et

débranché le tuyau du chariot douche puis on est retourné dans la chambre, et on a utilisé le lève-malade pour l’installer dans son fauteuil pour pas qu’il reste alité toute la journée dans son lit et ainsi prévenir les risques de complication de décubitus (escarres, phlébites, complication du tube digestif etc.…). L’aide soignante et moi-même on lui a aussi refait son lit. Une fois finit, comme l’aide soignante me l’avait expliqué tout a l’heure, j’ai mit le linge sale du monsieur (qui se trouvait

partiellement dérivé du matériel angiographique. Le principe est d’assurer une dérivation biliaire par la mise en place d’un drain percutané dans les voies biliaires sus-stétoniques selon la technique de Seldinger. Le patient est installé en décubitus dorsal dans des conditions d’aseptie chirurgicale strictes. La cholangiographie transhépatique, réalisée le plus souvent par voie latérale droite intercostale à l’aide d’une aiguille Chiba22, représente le premier temps du drainage biliaire,

les draps étant souillés il faut les change en même temps afin d’éviter trop de mouvements à madame L et la placer sur un plan propre. Puis je sèche bien afin de pouvoir réaliser les soins de prévention. Pour cela je place madame L en position de décubitus latéral. * Je change de gants car ils ont été souillé lors de la toilette et met des gants propres. * J’examine sa peau et constate en effet une rougeur au niveau du sacrum : un point d’appui s’est formé. Il s’agit d’une rougeur qui au touché

tensionnelle est transitoire et indispensable à la conservation d’un débit sanguin cérébral suffisant. Contrôler l’hyperglycémie et l’hyperthermie car ils peuvent aggraver les lésions ischémiques. Aider à la rééducation et prévenir les complications de décubitus. Le pronostic est difficile à donner au début, il faut rester très réservé les 15 premiers jours (phase aigue).
Il faut expliquer au patient et à la famille le risque de séquelles fonctionnelles même si le pronostic vital n’est plus en jeu. SOINS

tous les jours) ,petites poches de poubelles blanches ,et une solution hydro-alcoolique ainsi qu’une boite de gants non stériles à usage unique. Ensuite je mets le lit à ma hauteur , j’enlève les barrières de protection ,j’installe le patient en décubitus dorsal jambes écartées ,allongées ,tout en veillant au respect de son intimité ,et en retirant le pistolet qui réceptionne les urines. Je m’aperçois que le patient est très légèrement souillé par des matières fécales à la vue des traces sur le carré

confortablement Injection intra veineuse, sous cutanée, intra dermique: dermique: Installer la personne en position allongée ou assise ou faire reposer le membre sur un support bien à plat Injection intra musculaire Installer la personne en position décubitus latéral ou position ventrale (éviter la station debout) Injection intradermique sous cutanée Poser le membre bien à plat LES INJECTIONS Réalisation de l’injection Se laver les mains / solution hydro alcoolique Réaliser le soin Ne pas recapuchonner

en me positionnant dos à la porte de la chambre pour « cacher » le personne nue en cas d’intrusion.J’en arrive à la toilette du siège, pour cela je mets la barrière du lit qui m’est opposée et je demande à mon patient de se mettre en position de décubitus latéral et de s’y accrocher pour maintenir une position stable afin qu’il se sente en sécurité et que ce soit moins douloureux pour lui en raison de ses polyfractures au niveau pelvien, je l’aide à se basculer en utilisant une prise en « berceau »

et rajoutent ceux de la voie IM (Hématome compressif avec risque de radiculalgie par compression) => surveillance effets secondaires digestifs  Ttt myorelaxant per os ou IM type Coltramyl® (thiocolchicoside)  Prévention des complications du décubitus  RMO : Il n'y a pas lieu dans la lombalgie aigue de prescrire des séances de rééducation fonctionnelle. • LOMBALGIE CHRONIQUE  Terrain : entre 30 et 60 ans le + svt avec ATCD rachidien ou pas (Lumbago multiples, + rapproché, trainant)