Défaitisme

parisiens ! La censure commence : elle concerne d’abord les informations à caractère militaire, puis déborde rapidement vers le domaine politique. Toutes critiques contre le gouvernement ou le commandement, toute propagande pacifiste (assimilée au défaitisme) sont condamnées. Malgré la censure, un journal critique émerge en 1916 : Le Canard enchaîné. Le gouvernement cherche encore à contrôler l’opinion par la propagande à travers divers thèmes : héroïsation des soldats français, dénigrement des soldats

les convaincre lorsque le danger n'est pas visible. 3°) Les victimes sont intimement persuadées que "s'il y avait quelque chose de grave, les responsables auraient pris des mesures". 4°) Si tout cela finit par être acquis, on se heurte encore au défaitisme : "On ne se bat pas contre une grande entreprise". La notion de combat perdu d'avance fait partie de la culture de la victime. Il y a ainsi beaucoup de victimes-nées. Il suffit donc à l'entreprise de se montrer avenante et d'aider les gens à se

qui ont dit des choses sur le travail qui aujourd’hui ont une valeur prophétique. A cet égard, je regrette beaucoup que l’on n’ait pas maintenu dans le monde syndicaliste et socialiste d’aujourd’hui cet apport positif, et qu’il y ait une espèce de défaitisme à l’égard de la valeur positive du travail, et que l’on cherche aujourd’hui à enseigner à l’ouvrier que son échappatoire, sa libération sera dans le loisir. 191 Le travail et l’homme On nous a dit hier soir que la vraie nature de l’homme

en voir partout, Robespierre incarnait la guerre à outrance. La justification de la Terreur, c'était de poursuivre la trahison : moyen commode pour le dictateur d'abattre ses concurrents, tous ceux qui lui portaient omibrage, en les accusant de « défaitisme ». Par là aussi sa dictature devenait celle du salut public. Elle s'était élevée par la guerre que les Girondins avaient voulue sans que la France eût un gouvernement assez énergique pour la conduire. Brissot et ses amis avaient tiré un vin sanglant

en voir partout, Robespierre incarnait la guerre à outrance. La justification de la Terreur, c'était de poursuivre la trahison : moyen commode pour le dictateur d'abattre ses concurrents, tous ceux qui lui portaient omibrage, en les accusant de « défaitisme ». Par là aussi sa dictature devenait celle du salut public. Elle s'était élevée par la guerre que les Girondins avaient voulue sans que la France eût un gouvernement assez énergique pour la conduire. Brissot et ses amis avaient tiré un vin sanglant

de rester le soir avant le conseil, ses "Je suis sérieux", ses "sors avec moi !" ... puis-je tous les croire ? J'en ai vraiment envie. Vraiment très envie. Je vais craquer. Je ne sais pas quand. Mais je vais craquer c'est certain... C'est quoi ce défaitisme ?! Reprend-toi ma vieille. FIGHTING ! La porte du bar s'ouvre, des voix familières entrent. Non, impossible... Victor : Il a l'air sympa ce bar ! Antoine : Ouais trop... bonne ambiance et ... Aurélie ??? O_OAurélie : Salut ! Qu'est-ce que vous faites

leur défense de la liberté. La politique d'apaisement, tant critiquée lorsqu'elle fut appliquée aux nazis et aux fascistes, fut pratiquée universellement et pendant des décades à l'égard de toutes les variétés de socialisme. C'est à cause de ce défaitisme que la jeune génération croyait que la victoire du socialisme était inévitable. Il n'est pas vrai que les masses demandent avec véhémence l'introduction du socialisme et qu'il n'y ait pas de moyen de leur résister. Les masses soutiennent le socialisme

envers les autres. On dit à cet égard : « Amadouer les ennemis de Dieu est parmi les meilleures des aumônes envers soi-même et envers ses frères ». Ω Elle permet de résister à l’ennemi. On la qualifie de bouclier du croyant. Il ne s’agit pas de défaitisme ou de couardise. On se retire pour se renforcer plus. Ainsi, quelqu’un peut se déclarer mécréant pour sauver sa vie, et ensuite rejoindre sa communauté pour combattre en son sein. C’est donc un moyen pour renforcer la religion. © Eyrolles Pratique