Deflate

résulte de l’accroissement du niveau général des prix ; o Taux de croissance :  définition (du taux de croissance) :  variation en pourcentage de la quantité de biens produits => pour une entreprise ;  variation relative du PIB en volume ou déflaté (sans inflation) d’une année sur l’autre => pour une nation ;  interprétation (du taux de croissance) : le taux de croissance a des effets sur la production (de biens ou de services) :  taux de croissance « positif » => « augmentation » de la

de long terme déduite : c = rdbr à une constante près Période d’estimation : 1992T1-2009T4 R² = 0,55 DW = 1,71 SER = 0,004. c rdbr u Cal Bal_Jup consommation totale des ménages (en volume et en log) revenu disponible réel des ménages (déflaté des prix à la consommation, en log) taux de chômage (en points de pourcentage) Variable captant les effets de calendrier liés aux mesures Balladur et Juppé (primes à la casse dans l’automobile) dans les années 1995 et 199637 variable indicatrice valant

Une nouvelle crise du capitalisme 21 Graphique 1.4 – Performance boursière, part des salaires dans le PIB et croissance de la consommation aux États-Unis 3,0 2,0 1,5 1,0 États-Unis 0,5 0 1945-1999 1970 1980 France 1990 2000 Cours déflatés de la Bourse (1965 = 1) Part des salaires USA et croissance de la consommation (en % du PIB) Consommation des ménages (% PIB) Part des salaires en % du PIB (moins le premier centile) 70 % 65 % © Groupe Eyrolles 60 % 1960 1970

dépréciation. Le capital de l'année zéro correspond aux immobilisations brutes de l'année 1988 ou de 1990 pour les entreprises entrant dans l'échantillon à cette date. Par manque d'information, nous avons supposé les investissements homogènes. Ils ont été déflatés par l'indice de prix de gros du secteur industriel. A la suite de Haddad (1992) nous faisons l'hypothèse d'un coefficient de dépréciation δ égal à 4%.        |Tableau 7. Composition de la valeur ajoutée

productives etc. A ceci s’ajoute un certain nombre de problèmes techniques : i) Une asymétrie entre pays en déficit et en surplus dans la réponse monétaire aux flux d’or : En théorie, les pays en déficit doivent ralentir leur expansion monétaire et déflater, ce qui est compensé par les pays en surplus qui peuvent eux créer de la monnaie et donc compenser la déflation. Cependant en pratique, alors qu’il existe une claire nécessité pour les pays en déficit à respecter ces règles du jeu pour éviter l’extinction

L’investissement (It) est déterminé par l’équation de mouvement du capital suivante : Où Kt représente le montant des immobilisations à l’instant t. Dans un souci de conformité avec les développements relatifs aux estimations, l’investissement est déflaté par le stock de capital en début de période Kt-1, si bien qu’il devient : L’investissement des entreprises HR affiche une évolution tendancielle à la hausse comme le montre le graphique III.9. Toutefois, il baisse de manière prononcée en 2008 en

identifier ses moyens d'exploitation et se faire une opinion de la rentabilité économique et financière de l'entreprise. 2.1) La mesure de la croissance. Les prix de vente subissent des variations de taux. En période d'inflation on conseil de déflater la production pour pouvoir comparer d'un exercice à l'autre, l'évolution du chiffre d'affaire de l'entreprise. Il faut donc raisonner en prix constant pour évaluer en valeur réel le CA de l'entreprise. 2.2)Structure de l'activité de l'entreprise

Activité 2 Questions ᕡ Rappelez les caractéristiques du marché concurrentiel (cours de pre- mière). Comment fonctionne le marché du travail selon les néoclassiques ? Qu’y échange t-on ? À quel prix ? A retenir Taux de salaire réel : salaire nominal déflaté de l’inflation, il correspond au pouvoir d’achat du salaire et calcule en divisant le salaire nominal par l’indice des prix. Selon, les néoclassiques, le marché du travail est un marché ou se rencontrent l’offre globale de travail (somme des offres

d'intérêt nominal ou d'intérêt réel. | |Le taux d'intérêt nominal est le taux d'intérêt proposé par les banques. Le taux d'intérêt réel est le taux d'intérêt déflaté. Pour | |passer du nominal au réel, on calcule l'indice du taux d'intérêt réel et on enlève 100. | |Les banques pratiquent dans le cadre du financement de l'économie nationale, des modes d'intervention

Objet de la macroéconomie Section II : Le cadre d’analyse des phénomènes macroéconomiques Chapitre I : Les agrégats macroéconomiques (Cours 3 H) Section I: La mesure de l’activité économique (PIB, PNB, RN, PNN…) Section II: L’indice des prix, déflaté une série, Variables réelles et nominales. Section III : Définitions du taux de chômage, de l’inflation et de la croissance économique Section IV : Applications Chapitre II : La fonction de consommation et la fonction d’épargne (Cours 9 H)