Deflate

l’inflation , car le PIB est calculé en utilisant le prix des produits (si les prix augmentant, on peut croire que le PIB augmente, alors que ce n’est pas vrai réellement). On utilise alors le PIB réel, qui est l’indicateur le plus retenu. PIB réel : PIB déflaté, en francs constants. On enlève l’effet des prix : comme si il n’y avait pas d’inflation. Ex : En 2003, le PIB en France s’élève à 1557.2 milliards d’euros En 2002, le PIB en France s’élève à 1526.8 milliards d’euros

poids d'or, et la convertibilité ( totale ou conditionnelle ) de ces monnaies en or est assurée. L'assymétrie du système est évidente. S'il veut éviter l'épuisement des réserves de la banque centrale, le pays à balance déficitaire ne peut que déflater, c'est à dire augmenter ses taux d'intérêts ( en vue de retenir les capitaux flottants ou attirer ceux de l'étranger ), et, de façon plus générale, comprimer la dépense intérieure pour dégager à tout prix un excédent de la balance des transactions

salaire réel et gains de productivité en France (1961-2006) 10% 8% Taux de croissance (en pourcentage) 6% 4% 2% 0% 1961 1966 1971 1976 1981 1986 1991 1996 2001 2006 -2% Salaires et Traitements bruts déflatés par l'IPC PIB réel rapporté au nombre de travailleurs Fig. 15 – Progression du salaire r´el et gains de productivit´ en France (1961-2006) e e 17 Indicateurs Macro´conomiques - Olivier Cardi e Taux de chômage en France et aux Etats-Unis

respectivement le taux de croissance des prix de la demande finale dans le pays en développement et le pays étranger. Un autre taux de change réel peut être défini seulement pour le secteur des bien échangeables. Dans ce cas, les prix utilisés pour déflater sont ceux des biens échangeables, notés p e et p* où l’indice (e) désigne le secteur des biens échangeables et l’indice (ne) qui sera utilisé ne par la suite, le secteur des bien non échangeables. q e = p e + e − p* e (1.13) En soustrayant

structurel de PIB, de prix, de taux d’intérêt ou encore de dépenses publiques. (4) Ces données sont issues de la base de comptabilité nationale SEC 95 et sont corrigées des variations saisonnières et corrigées des jours ouvrables (CVS-CJO). (5) Tous déflatés par le déflateur du PIB, afin de faciliter le calcul des multiplicateurs budgétaires. (6) On néglige les variations de stocks publics et les objets de valeurs publics. (7) On exclut en effet de la variable de dépenses publiques l’ensemble des transferts

privé (g.a., en %) (2) Capitalisation boursière (en milliards de dollars) Volume négocié en actions (en milliards de dollars) Volume négocié en titres publics (en milliards de dollars) (1) M3*/PIB = M3/PIB + Dépôts en dollars. (2) En termes réels. Déflaté par l’Indice des Prix de détail. g.a. : glissement annuel. Source : Ministère des Finances. 1990 – 1,3 1 343,9 800,8 2,0 4,0 – 609,7 1991 10,5 84,0 56,4 5,1 7,6 27,8 18,5 4,6 31,2 1992 10,3 17,5 3,2 7,6 11,4 44,0 18,3 15,9 94,0 1993 4

citadines, l’âge au mariage progresse de 4,5 ans, passant de 18,8 ans à 23,3 ans, alors que leurs jeunes consœurs de la campagne passent d’un âge médian de 16 Il s’agit de l’âge médian. Organisme chargé d'orienter les jeunes et les anciens travailleurs "déflatés" de la fonction publique vers d'autres secteurs de développement. 28 De plus en plus, on retient comme indicateur de nuptialité l’âge médian au premier mariage qui donne l’âge où la moitié des femmes d’une même cohorte sont mariées. 29 Il atteint

variable de profit et de coût de l’investissement. Le profit est appréhendé par le rapport entre l’excédent brut d’exploitation et le capital évalué à son coût de remplacement. Le coût de l’investissement est défini comme le taux d’intérêt annuel déflaté du glissement annuel du prix de l’investissement. Cette modélisation « accélérateur-profit » est aujourd’hui la plus couramment employée. Elle traduit l’idée qu’une partie des entreprises est contrainte sur la demande, et une autre partie sur les

(rendements croissants) et la production de masse qui lui sont associées, dans les années 1950 et 1960, qui ont permis une hausse de la productivité et une hausse des salaires réels. W = salaire nominal (ce que l’on gagne) W/P = salaire réel c’est à dire déflaté : pouvoir d’achat. Exemple : W0 = 1000 W1 = 1100 Inflation 15% Conséquence : hausse du salaire nominal, baisse du salaire réel. Historiquement, l’amélioration de la productivité s’est généralement accompagnée d’une baisse des prix

le niveau de vie de deux pays, il ne suffit pas de comparer les revenus en utilisant les taux de change observés. En effet, le niveau des prix (notamment des denrées alimentaires, des loyers, etc..) est différent d'un pays à l'autre Il faut donc déflater les revenus par l'indice du coût des paniers de consommation. Cette technique - qui peut être assez complexe - conduit à la construction d'indices de parité du pouvoir d'achat thèse selon laquelle le taux de change "normal" entre deux pays devrait