Deflation

la crise définit la période de récession elle-même. * 3 types de cycles : * KONDRATIEV s’appuie sur des séries statistiques des prix de 1770 à 1920 pour établir ses cycles de 50-60 ans. Inflation et faible taux d’intérêt en phase A et déflation et fort taux d’intérêt en phase B. 1790-1814 (A) 1814-1849 (B) 1849-1873 (A) 1873-1896 (B) 1896-1920 (A). On peut difficilement prolonger l’analyse à cause de la stagflation mais les taux d’intérêt restent révélateurs et il n’y a pas de vraie phase

rien à écrire et rien à noter. Créé Nathalie Manseau Page 2 sur 17 Étape 2: Identifier le vocabulaire économique présent dans le document (pondération de 20 points du total). Retranscrire la liste des concepts ici (maximum 15 concepts): 1. Déflation 2. Croissance 3. Plan de relance 4. Politique monétaire 5. Dette publique 6. PIB 7. Assouplissement quantitatif 8. Gouverneur de la banque du Japon 9. Exportations 10.Monnaie Étape 3: Identifier le sujet du texte (pondération de 20 points

cherche à maintenir la parité or de la monnaie, ce qui implique des politiques de déflation pour maintenir la parité du franc (on revalorise la monnaie en opérant une réduction de la masse monétaire, ce qui a tendance à faire baisser les prix et augmenter la valeur de la monnaie). Ces politiques déflationnistes doivent maintenir la compétitivité des économies (surtout face à la GB qui dévalue dès 1931). La déflation de Laval est très impopulaire et favorise l’arrivée au pouvoir de la gauche en 1936

plusieurs gros emprunteurs ? signal du retournement des anticipations de profit à la baisse ? la défiance se généralise et l'offre de financement chute. L'assèchement de l'offre de crédits bancaires ? contraction de l'offre de monnaie et donc de déflation. Les investisseurs ne peuvent plus renouveler leurs crédits et sont amenés à brader leurs actifs dans l'urgence afin de faire face aux remboursements. Cet Accroissement des ventes ? baisse des prix, qui réduit la valeur de l'actif des débiteurs.

risquent de générer des situations de stagnation, voire de déflation : celle-ci se traduit par la baisse de la production, des revenus, de la demande et des prix dans une spirale auto-entretenue génératrice d'un chômage de masse. Mais la forte progression de l'endettement public et l'incapacité des États à réduire le déficit budgétaire rendent problématique la mise en œuvre de politiques de relance qui permettraient de conjurer ce risque de déflation. Notions clés Fluctuations économiques. Dépression

risquent de générer des situations de stagnation, voire de déflation : celle-ci se traduit par la baisse de la production, des revenus, de la demande et des prix dans une spirale auto-entretenue génératrice d'un chômage de masse. Mais la forte progression de l'endettement public et l'incapacité des États à réduire le déficit budgétaire rendent problématique la mise en œuvre de politiques de relance qui permettraient de conjurer ce risque de déflation. Notions clés Fluctuations économiques. Dépression.

contraire à la stabilité des prix. Ainsi, pendant la période qui s’étale entre 99 et 2002, l’objectif de la BCE était d’avoir une inflation entre 0 et 2%. Mais il convient de noter que ni l’inflation ni la déflation ne serait compatible avec la stabilité des prix. En effet, l’inflation tout comme la déflation entraîne des distorsions du système des prix qui fausse les décisions économiques. Ainsi, des anticipations à la hausse des prix conduiraient à préférer le présent au futur et de dépenser avant que

Troisième étage la crise économique et sociale plus de bourse plus de banque pleins de gens ruine perte de la confiance plus de banque=plus d’investissement plus de bourse= plus d’investisseur effondrement de la production explosion du chômage crise de déflation effondrement des prix on est dans une crise et les prix continue a augmenter. 4ème étage la crise américaine devient mondiale les USA sont en moteur depuis 14a18 maintenant ce n’est plus le moteur. Tout le monde va s’enfermer a la maison Le résultat

d’accentuer les inégalités. ‘Les critiques de la BCE font valoir que les politiques mises en place pour lutter contre l’inflation ont pour effet de limiter la croissance.’ http://www.lafinancepourtous.com/Decryptages/Mots-de-la-finance/Inflation-deflation-stagflation-recession * Sur le commerce extérieur :Inflation – hausse des prix des produits nationaux – baisse de la demande étrangère – déficit de la balance commerciale. | * Les ‘gagnants’ de l’inflation sont les emprunteurs (la

commercial (c'est-à-dire un montant d'importations de biens supérieurs au montant des exportations), qui est de 8 milliards de francs (Poincaré) en 1929, et de 11,8 milliards en 1931. Le cercle vicieux de la déflation bloque ainsi tout espoir d'une sortie rapide de la crise. La notion de déflation correspond à une conjoncture économique dans laquelle la demande se contracte par rapport au volume de biens et de services produits, provoquant une baisse des prix et des revenus. Elle caractérise donc