Deflation

ne parvient que momentanémment à renouer avec la croissance. II) L'échec des politiques françaises A) Des politiques déflationnistes infructueuses et impopulaires 1) Une orientation déflationniste générale. En france comme ailleurs, c'est la déflation qui prévaut dans le cadre des théories libérales pour favoriser la baisse des prix afin que le marché puissent ajuster l'offre et la demande. Il s'agit aussi d'équilibrer le budget de l'Etat, et il faut aussi freiner les dépenses. Les gouvernements

via un commerce également tourné vers l'intérieur favorisant la consommation des ménages et la relance économique. POLITIQUE MONETAIRE La politique monétaire du Japon est donc celle d'une inflation volontaire pour compenser la tendance à la déflation. La Banque du Japon, récemment devenue indépendante suite à une réforme en 1999, met en place une politique de taux d'intérêt zéro et un système d'assouplissement quantitatif, en relevant le taux de l'argent au jour le jour à 0,25% et définit pour

Que se passe-t-il ? par suite de rumeurs, les Américains apeurés vendent toute leurs actions.6) Quelle va être la conséquence pour les entreprises ? ils licencient en masse, elles perdent l’aide des banques qui font faillite.7) Qu’est-ce que la déflation ? une diminution des prix, de la consommation, de la production 8) En quoi consiste une réponse « protectionniste » ? protège le marché intérieur contre l’inflation, càd qu’ils limitent les importations et essaye de consommer américains.Suite a la

de banques (exemple : banque Baring au Royaume-Uni en 1893) – l’apparition du chômage.  → Elle trouve ses origines dans : la concurrence internationale de plus en plus accrue – la pénurie d’or qui s’observe dans le monde et qui créée alors une déflation (réduction de la masse monétaire en circulation ; ce qui a pour effet une baisse des prix et des salaires) – la surproduction (les productions augmentent alors que les produits se vendent moins) – l’arrêt des inventions et innovations – l’action

l'imposition. On fait attention à la dépense publique. Cette politique est conduite en Grande-Bretagne et en France également. Des textes de Pierre Laval, en France, décide de diminuer de 10 % toutes les dépenses de l'État. Cette politique de déflation échoue partout et ne fait que creuser une dépression qui est déjà liée à l'insuffisance de la monnaie et du crédit. De même, dans un premier temps, les états vont partout pratiquer le protectionnisme, soit en élevant les droits de douane, soit en

sur l’activité 40 économique et l’évolution des prix ? 39 47 ENCADRÉS 5.2 Les critères de convergence 5.1 La marche vers la monnaie unique, l’euro 5.3 L’élaboration et les caractéristiques de l’IPCH 5.4 Une marge de sécurité contre la déflation 51 54 60 5 Chapitre 5 La politique monétaire de la BCE 48 5.1 Un bref aperçu historique 5.2 Le cadre institutionnel 50 5.7 Les projections macroéconomiques de la zone euro 5.9 La valeur de référence retenue par la BCE pour la croissance

le monde. En outre, il est utilisé par les Etats pour revaloriser de nombreuses prestations sociales et le salaire minimum. On reproche toutefois à cet indice des prix de sous estimer le niveau réel de la huasse des prix. C-Déflation et désinflation La déflation caractérise la baisse continue du niveau général des prix (ex : ce phénomène s’est produit pendant la grande crise des années 30). La plupart du temps, elle est associée à une récession économique avec hausse du chômage. La désinflation

monétaire. De même les compagnies d’assurances mettent à profit le décalage entre le paiement des primes par leurs clients et le remboursement des sinistres. III) Les limites de la création monétaire 3.1 Il faut se garder de l’inflation et de la déflation. Formellement la quantité de monnaie que peut créer un système bancaire ne doit pas excéder la valeur du volume de la production qui sera présentée à l’échange, • Si la création de monnaie est excessive le pouvoir d’achat de chaque unité monétaire

croissance soit supérieur au taux d’inflation. On estime que durant cette période le taux de croissance annuel moyen de la production française a été de 5% contre 4% pour l’inflation. Enfin, lutter contre l’inflation peut amener un phénomène de déflation, c’est à dire une baisse globale du niveau des prix, ce qui rend inefficace les politiques monétaires de l’état car cela baisse encore plus les taux d’intérêts, or ceux ci ne peuvent être négatif. De surcroit, les agents économiques endettés vont

augmenter la production et donc l’emploi mais cela fait augmenter les prix. La déflation : La demande est inférieure à l’offre, on produit plus que ce que l’on achète. Donc les prix sont bas mais la production diminue donc le chômage augmente. Cela n’est pas très grave d’avoir un peu d’inflation (un peu plus de gens qui veulent acheter que de gens qui produisent) donc les gens achètent vite. Mais quand il y a de la déflation, les prix baisses de plus en plus donc les gens n’achètent pas tout de suite