Deflation

et plus la phase d’expansion dure longtemps. Mais après la phase d’expansion vient la phase de dépression. « La seule cause de la dépression c’est l’essor » selon JUGLAR et repris par SCHUMPETER. Les prix et les profits ont tendance à diminué = déflation et baisse du profit. Une nouvelle phase d’expansion ne débutera qu’avec l’émergence de nouvelles innovations. QRC 1) Baisse du tendancielle du taux de profit ? 2) Les marginalistes et les courants ? 3) l’explication du chômage chez les marginalistes

L’agriculture peine à écouler ces produits. La crise devient aussi sociale avec la montée du chômage. La réponse inadaptée des politiques doc. 2 p. 127 + définition de déflation p. 126. Quelle politique gouvernementale aggrave la crise ? De quelle politique économique déjà vue est-elle l’antithèse ? Les politiques de déflation sont mises en place par les gouvernements de droite (Tardieu/Laval 31-32, comme de gauche 32-34 Herriot, Daladier (radicaux) puis de droite à nouveau de 34-36), ces politiques

sur les taux des prêts accordés par les banques et le taux d’épargne des ménages. La mission principale de la BCE consiste a maintenir la stabilité des prix au sein de la zone euro. L’objectif est de lutter contre l’inflation mais aussi éviter la déflation, ce qui est aujourd'hui dans notre économie plutôt rare. Les conséquences de l’inflation sur l’économie et les différents acteurs de la société (consommateurs, entreprises, emprunteurs et épargnants) dépendent surtout du niveau du taux

conjoncture américaine ▪ Propagation internationale : les chocs déflationnistes ▪ Escalade protectionniste, ruptures monétaires, crises financières ▪ Les politiques de déflation et l'approfondissement de la dépression ▪ Les inégalités de la reprise • 4. Le retour des crises ou les « vingt médiocres » ▪ Une crise larvée (1968-1973) ▪ Chocs pétrolier et monétaire

opportunités d'investissements privés et donc par la stagnation économique. L'évolution économique depuis 1945 est en totale opposition avec les thèses de la théorie de la stagnation. Les 50 dernières années sont une période d'inflation et non de déflation, de forts investissements et de pénurie et non de surabondance de capital, de prospérité et non de stagnation. Les pessimistes des « stagnationnistes » semble cependant cooroboré à l'époque par les indicateurs économiques les plus directement

optimistes et s’endettent juste qu’au moment ou le taux d’endettement > possibilité de remboursement. Ils ne peuvent plus payer leurs dettes ce qui d’éclanche une crise économique marquée par une chute de l’I productif la C est faible soit la déflation par la dette. Quand les prix (travail) sont tombés bas, une phase d’expansion se met en place. Cette idée est reprise par Eugène Minsky à travers le paradoxe de la tranquillité. On a l’impression que tout va bien alors que tout va dysfonctionner

économies, des risques liés à l’inflation ou encore une croissance économique jugée insuffisante. I Les déséquilibres monétaires 1.1 L’inflation : définition et mesure Doc 1 page 158 1°) Inflation est la hausse durable du niveau général des prix. Déflation  est la baisse du niveau général des prix. Désinflation est un ralentissement de l’inflation 2°) Un indice des prix qui reflète correctement l’évolution des prix est nécessaire : l’indice des prix sert à déterminer le pouvoir d’achat, a calculer

........................................................ 10 Sanctions, remises en ordre et retour aux fondamentaux du capitalisme ....... 12 Baisse des prix et croissance.................................................................... 13 Déflation ou reprise de l’inflation ?............................................................ 14 Se préparer au vieillissement de l’Europe .............................................. 16 Une évolution de la structure de la consommation et un accroissement

surproduction où le manque de débouchés conduit à une déflation généralisée : la production, mais aussi les prix, les salaires, les revenus diminuent, créant une dépression économique. Dans des économies où le salariat se généralise, le chômage et la baisse des salaires appauvrissent la population ouvrière déjà proche du seuil de subsistance. Des effets d'entraînement peuvent alors apparaître et conduire l'économie sur la pente de la déflation. B. Elles sont de plus récurrentes et rendent l'économie

PIB = Somme VAB Le PIB nominal est la somme des biens finals produits multipliés par le prix courant (inflation incluse) : somme des valeurs Le PIB réel est la somme des biens finals multipliées par le prix constant (déflation) Optique production : Somme des valeurs ajoutées brutes générées + impôts sur les produits – subventions sur les produits Optique dépense : Somme des emplois finaux intérieurs de biens et de services, soit consommation finales