Défrichement

l’écrit. Les « cris de Paris » vantaient la qualité de denrées d’une très grande diversité et de services. Les enseignes d’auberges et d’échoppes offraient au regard un code visuel accessible au plus grand nombre ; tandis que les textes annonçant un défrichement, l’arrivée d’un instituteur ou l’ouverture d’une université étaient relayés par une diffusion orale. Il est cependant impossible de mesurer l’impact économique de ces pratiques publicitaires, mais leur efficacité est attestée par de nombreuses

monde caractérisé par une croissance économique aux visages contrastés » Au cours de l’histoire, le monde a connu des périodes de croissance économique comme lors de la mise en place de l’agriculture au néolithique ou encore lors des grands défrichements des 11ème -13ème siècles en Europe qui vont globalement améliorer le niveau de vie des populations. La révolution industrielle initiée par le Royaume-Uni à la fin du 18ème siècle où il réalise son « take off » va entraîner dans son sillage une

de la demande et la détermination des prix- dès fin préhistoire, selon la def de Levi Strauss → rupture vers révol néolithique lors de laquelle, hom = impact de + en + global s/ env → mode de vie nomade chasseurs cueilleurs, invention élevage, défrichement (ress de la Terre) → pr ses besoins primitifs (2min30)- on voit impact de l’homme avec déf par scientifiques de l’anthropocène pour désigner la nouvelle ère géologique née avec la révolution industrielle qui a fait de l’espèce humaine une force

l'exploitation des terres d'Atimaono par des colons venant de France. Il est indispensable que ces colons soient des cultivateurs de métier, capables de manier eux-mêmes la charrue et la pioche, endurcis déjà aux fatigues corporelles que comportent le défrichement et la mise en état des terres. Ils ont, en outre, à construire leur habitation à moins d'être assez à l'aise pour en faire bâtir une qui, pour un ménage sans enfant, ne coûtera pas moins de 3000 F ; enfin l'achat des bestiaux et des animaux de

se trouvent également dans le contexte historique antérieur 1.) Le contexte historique a) le démarrage culturel, social et économique de l’Occident - support démographique (croissance de la population) + développement technique (moulin, défrichement) et commercial (surplus, marchés) b) Le système seigneurial et la féodalité … se renforcent et affirment leur pouvoir - France = mosaïque des pouvoirs  châtelains et pouvoirs régionaux forts, emprise sur l’Eglise locale  Féodalisation

rendements agricoles et par le développement d’une agriculture raisonnée. C. Mise en perspective : l'agriculture, risques et enjeux 1. Les risques sur l'environnement · Les techniques agricoles provoquent des dégradations ou des pollutions : o Les défrichements ou le surpâturage provoquent des ravinements importants; o l'augmentation des effectifs animaux et l'extension des cultures dans des régions sèches favorisent la désertification ; o l'irrigation provoque des problèmes de salinité des sols ; o L'usage

artificialisation de certaines côtes sous l’effet de la littoralisation des populations et des activités, pollution atmosphérique). Ainsi des milieux que l’on considère souvent comme naturels ne le sont pas : -    les terres agricoles résultent de défrichements souvent très anciens et de pratiques culturales ayant de plus en plus d’impact sur leur composition comme sur leur structure (par exemple, tassement progressif sous le poids d’engins très lourds) ; -    le maquis et la garrigue, dans les régions

risques sont prévus et couverts par les assurances. B) Les pays du Sud s'avèrent beaucoup plus démunis : L'exploitation peu rationnelle des ressources conduit à de nouvelles menaces. Exemple les brûlis et les défrichements intempestifs des forêts en Indonésie, au Brésil conduisent à la strérilisation de sols dont la mise en cultures aurait été indispensable pour nourrir une population toujours croissante. L'imminence des catastrophes est ignorée par les populations

variétés sauvages qui pourraient définitivement modifier un écosystème en détruisant la  biodiversité.           PARTIE 3: ​ La Deforestation    La déforestation est le phénomène de régression des surfaces forestières. Elle est le résultat  des actions de déboisement puis de​  défrichement​ , liées à l'agrandissement des​  terres​  agricoles​ ,  à l'exploitation des ressources minières du sous­sol.  e​ La moitié des forêts de la planète ont étés rasées au cours du​  ​ XX​  siècle​ . Selon la​  FAO​ , environ  13 millions d’hectares de forêts disparaissent par an

de plus en plus importantes. Or, les forêts tropicales perdent de leur surface chaque année. Au Brésil, premier producteur mondial de biocarburant, on estime qu'en 2005, la forêt amazonienne aurait perdue une surface équivalente à la Suisse. Ce défrichement abusif participe à la réduction de la biodiversité et des terres appartenant aux diverses peuplades indigènes. De plus, les forêts défrichées sont brûlées ce qui accroît le rejet de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. * Les prix : La hausse