Défrichement

par ordre d’importance : le riz, la banane, le taro （芋头）le manioc,（木薯） le maïs, les légumes. Dans le pratique des cultures vivrières, il y a une division entre l’homme et femmes. L’homme se charge de la préparation du champ, c’est-à-dire le défrichement du terrain, l’abattage des gros arbres, le brûlis, la fabrication des clôture, bref des gros travaux. Les travaux de finition relèvent de la compétence de la femme. Par exemple, semer, sarcler(除草), surveiller les jeunes pousses(发芽) et récolte

fait surtout de la suppression progressive de la jachère, du développement des défrichements et de l'introduction de nouvelles cultures comme la pomme-de-terre. L'amélioration du réseau routier permet de développer les possibilités de stockage et entraîne la spécialisation agricole de certaines régions. l'augmentation de la population entraîne une véritable "soif de terres", ce qui explique le développement des défrichements. L'augmentation de la production est surtout le fait de la supression de la

Baie en est un exemple criant : un site protégé et idyllique pour de nombreuses espèces que quelques politiques veulent sacrifier sur l’autel du profit… Tous ces espaces relèvent du domaine privé ou public de l’Etat, or beaucoup de défrichements et remblaiements sont encore opérés dans l’illégalité ; Si la pollution domestique constitue un grave fléau, le scandale du non traitement des déchets hospitaliers a matérialisé un risque sanitaire grave, d’autant plus important qu’il n’est

et l’artisanat. Ainsi des milliers de « petits hauts fourneaux » sont construits partout pour produire de l’acier en quantité, les barrages ou les routes sont réalisés par des milliers de travailleurs équipés seulement de paniers d’osier, les défrichements sont réalisés avec de simples houes… 3- La rupture avec l’URSS Ce slogan signifie que le pays doit faire progresser au même rythme l’agriculture et l’industrie et utiliser à la fois des techniques évoluées dans la grande industrie

diffusion agricole générale. Les campagnes se sont, effectivement, développées grâce aux progrès des techniques agricoles (assolement triennal, charrue, irrigation, sélection des cultures) et grâce à la conquête de nouvelles terres agricoles (grands défrichements des XIe-XIIIe siècles, exploitation des marais). Elles fournissent à la ville nom seulement les hommes (artisans, marchands...) et les capitaux nécessaires à l'essor, mais aussi le ravitaillement (nourriture, bois...). Aux XIe-XIIIe siècles, la

démographique ancien Le taux de natalité est élevé : il s’explique par l’absence de contraception, par le message chrétien qui encourage la natalité et par les progrès agricoles qui permettent de produire plus donc de nourrir plus d’hommes (charrue, défrichements des forêts...) ; Le taux de mortalité est tout aussi important (et pratiquement au même niveau) : il s’explique par la faiblesse de l’hygiène et les difficultés de la médecine à soigner, par les guerres, par les périodes de disette et/ou de famine

qu’on ne peut pas faire prospérer l’une sans développer l’autre. L’agriculture est importante parce que cela fournit << les matières premières indispensables à l’industrie >>. C’est pourquoi les grands travaux d'irrigation et de défrichement sont entrepris, la technique de croisement des races animales se développe ainsi que l’utilisation des outils agricoles mécaniques permettent de moderniser l’agriculture comme jamais auparavant. De plus, l’industrialisation favorise aussi le

déplace sur les terrains idéologique et économique en raison de l’équilibre de la terreur qui donne aux Soviétiques un relatif sentiment de sécurité : course à l’espace vitrine des modèles (Spoutnik en 57), modernisation de l’agriculture (projet de défrichement des « terres vierges » du Kazakhstan) dans le but de rattraper les E-U pour 1980

qui diminuent, du prix des carburants qui augmente … De plus, une part croissante de cette production est soustraire à la consommation humaine. VIII Produire mieux, une exigence Produire plus est possible mais il faut poursuivre les défrichements accentuer la révolution productiviste, multiplier les OGM ? Le respect de l'environnement impose de produire mieux et donc d'adopter une agriculture durable utilisant moins de chimie et d'énergie mais fournissant des produits de qualité.

entre 1991 et 1997. Les petits paysans avaient un espoir de voir leur sort s’améliorer avec le nouveau président Lula. Aujourd’hui déçus, ils reprennent leurs manifestations. Un mode de mise en valeur qui compromet le développement durable. Défrichements incontrôlés, fragilité des sols, maladies, parasites, difficultés à construire des routes en milieu humide ou absence de débouchés pour les productions sont des limites de la déforestation au Brésil. Ces problèmes ont largement été débattus à la