Dégoût

laquelle il vit un amour passionnel véritable), Mme Sabatier (l'ange, la Madone), Marie Daubrun (célébrée pour ses yeux verts, limpides, "le chat") "Je trouve inutile et fastidieux de représenter ce qui est parce que rien de ce qui ne me plait." Dégoût pour le monde qui l'entoure, la société bourgeoise, profonde déception et mal être permanent, spleen. Evasion dans l'écriture, l'opium, les femmes. Quête d'un Ailleurs, d'un Idéal. Les Fleurs du Mal, 1857 Les Lesbiennes, 1845

guerre ; manque d’hygiène, bataille incessante, mort et par miracle peut être la fin de la guerre avec le sauveur du panneau de droite. Quel est l’effet général produit ? Quels sentiments ressentons-nous ? En regardant ce tableau, je ressens du dégout, tous ces corps ensanglantés et ce champ de bataille à peine définissable ainsi que ces teintes sombres définissent bien les horribles conditions de la guerre. J’ai choisi une autre œuvre d’Otto Dix : Lichtsignale : J’en présente la copie :

utilisés depuis 2000, le taux de jeunes fumeus est 2 fois plus bas qu'en France. Les images abordent diverses thématiques: la beauté .... l'effet sur les autres .... et la santé ... + recours à l'émotion (peur, dégout) qui renforce leur efficacité. Cherche à choqer voir dégouter le fumeur et provoquer une prise de conscience chez lui. Cependant tte les images n'ont pas toute le meme effet; ... La nouvelle campagne antitabac qui fait scandale Cette campagne choc et dérangeante -> lancé

Traviata, ni ce film-plume-ci contre deux quintaux de Lelouch... C'est beau et terriblement efficace. Je l'ai montré à une petite fille qui m'est familière et qui a presque l'âge de celle du film, et j'ai lu dans ses yeux, furtif et flamboyant, le dégoût salutaire des immondices exotiques. Et pourtant, Dieu m'émascule, si possible au laser ça fait moins mal, il s'est trouvé de consternantes badernes pour hurler au scandale. Ces censeurs, que seule la crainte du pléonasme m'interdit de qualifier d'imbéciles

Toujours dans le même paragraphe , des termes comme « boueuse, tuméfiée, dissoutes, perçait, crevé, lambeaux, pourrissaient, putréfaction » sont écrits. Ces détails crus et même choquants sont une autre caractéristique du naturalisme, participent à notre dégoût dans le but de rendre la description impressionnante. Des couleurs sombres à connotation péjorative comme « jaunâtre, noirâtre, verdâtre, rouge sombre » ont aussi leur place dans le paragraphe. Ces précisions permettent des nous représenter visuellement

position de Barrett, soit celle de serviteur. Barrett manipul son maitre car celui-ci semble l’admirer ; l’admiration pourait inciter la présence des miroirs qui sont par une de leur definition le reflet d’une image qui peut invoquer le dégout ou l’admiration. Le dégout serait l’axe dramatique du film : la position soumise de Barett du fait de sa place de seriteur. Cette admiration vient de la similitude des deux hommes ou de l’entretient mutuel de leur égo. L’axe thématique est l’atrait pathologique

Mère et fille sont une seule et même voix au secours d’Oe. : l.42, l.44 B) La douleur et la confusion d’Œdipe - les exclamations l.1 +l.9 témoignent de sa surprise mais l.6 : « Femme » de son dégoût : l’absence d’article fait de Jocaste une étrangère+impératif l.6 exprime clairement son dégoût de l’inceste - l.20-21 : Oe . semble ne plus avoir d’autorité sur sa fille Antigone : doit lui rappeler ses devoirs et finit par céder à ses exigences, sous les conseils de Jocaste (l.25) -

volonté du joueur : celle de gagner. Un supporter est plus enclin à considérer le football comme un art, puisqu'un match de son équipe peut le faire passer par plusieurs sentiments. Il peut ressentir de la combativité, du courage, de l'envie, du dégoût. Il est donc indispensable de penser les joueurs comme des artistes et le football comme un art. Comme dans tout art, tous peintres, sculpteurs, architectes ou autres sont considérés comme professionnels mais pas forcément comme

cauchemar… Dans l’immensité, semés çà et là comme des immondices, les corps anéantis qui y respirent ou s’y décomposent… C’est ça la guerre". Il communique la sensation de dégout et d'horreur que l'on ressent lorsque l'on part a la guerre. Quand il écrit, son but est de faire ressentir au lecteur ce qu'il a ressenti lui-même, la peur et le dégout. On écrit pour instruire une morale comme La Fontaine avec ses fables, il y ajoute une morale a la fin qui de nos jours sont devenus des dictons très connus

des routes dont je ne prévoyais ni la boue ni les pierres, j'ai parcouru les provinces de l'Empire sans trouver tes jardins pleins de femmes semblables à des lucioles, tes femmes dont le corps est lui-même un jardin. Les cailloux des rivages m'ont dégoûté des océans ; le sang des suppliciés est moins rouge que la grenade figurée sur tes toiles ; la vermine des villages m'empêche de voir la beauté des rizières ; la chair des femmes vivantes me répugne comme la viande morte qui pend aux crocs des bouchers