Dégoût

Amanda, une mère monoparentale habitant avec ses deux enfants, Laura et Tom. Ils furent abandonnés par leur père. Tom a ainsi la charge de s’occuper monétairement des besoins de la famille. Il travaille dans une usine de chaussure, travail qui le dégoûte de plus en plus chaque jour. Et le soir, il doit rester à la maison par conviction familiale et morale. Il rêve de quitter la maison, qui devient une prison pour son intellect. Il rêve de partir et de vivre sa vie enfin comme il l’entend, (ce qu’il

aveugle). Otto Dix essaie de dénoncé les effets dévastateurs de la guerre sur l’individu. L’oeuvre est fait pour choquer. Ce croquis créé une atmosphère sordide, qui nous fait sympathisé avec le vétéran-mendiant, mais nous donne un sentiment de dégoût envers les autres personnages et le chien qui symbolise le manque de respect et de support de la société. En tant qu’observateur, cette oeuvre m’a attirée car j’ai bien aimée la dénonciation faite dans ce croquis à travers le choc. Je me suis sentie

2008, page 55. P. Ekman décrit 7 émotions de base (6 + 1 ajouté ensuite), universelle, d’après l’étude de sociétés humaines primitives de Papouasie qui avaient donc peu de contacts avec la culture occidentale. Il s'agit de : la joie, la colère, le dégoût, la tristesse, la surprise, le mépris et la peur. « Les expressions faciales spontanées sont régulées par des règles d'expressions (display rules) (Ekman 1984, Matsumoto, 1988, 2006) Ces règles d'expressions définissent ce qui peut être exprimé

personnage fantastique et les point de suspensions qui suivent insiste à faire s’interroger le lecteur de la réalité des choses. Il n’y a aucunes explications rationnelles à ces faits. De plus, la fin de son portrait fait éprouver au lecteur un certain dégoût. Encore une fois, l’être décrit est bien inhumain : en effet il est comparé à un être « étrangers et froid » puis à un « animal » qualifié de « hostile ». Tous ces qualificatifs n’appartiennent pas à l’enfant du commun des mortels. Un enfant est plein

restais assis sur une chaise, chauffé à la terrasse d’un café (le comble du luxe pour l’homme moderne !), pétrifié par la peur et le dégoût à la fois. La peur de la réaction de l’homme, du regard des gens. Peur de ne ressentir finalement que de la mauvaise compassion pour lui et non pas de l’amour pour mon prochain comme je le pensais, le voulais profondément. Et dégoûté de ne pas bouger le cul de mon assise, de continuer de lui jeter des regards en coin, fuyants, comme si cela pouvait changer quelque

après avoir fêté mes onze ans, je fus victime d'un coup monté. Je jouais du violon depuis quelques années. C'était mon loisir, ma détente, mon hobie, ma passion, et, c'est devenu, suite à ce terrible épisode, ma peur, mon cauchemar, mon plus grand dégoût. Alors que je faisais des progrès étonnants, mes parents, réjouis, voulurent m'inscrire au conservatoire. Je me souviens qu'ils m'avaient dit que j'allais jouer mon plus beau morceau au directeur du conservatoire afin qu'il évalue mon niveau.

(odeur fraîche, odeur aigre, odeur de poussièreauditif : bruit, piétinement, froissementLa description que la femme donne de la scène des lions fait transparaître sa peur et son dégoût « dégoûtante » « la voix […] tendue » Les réponses négatives du mari donnent le sentiment que l’inquiétude n’est pas partagée : le dégoût de la jeune femme se transforme en admiration chez l’homme Avec : - les termes « génie « miracle » L’énumération des adjectifs « effrayante, étonnante, troublante »

conflit entre sensibilité et société. (voir ICI pour plus de précisions sur le roman)   I) Un anti-portrait On verra comment la révolte de la sensualité de Madame de Mortsauf à l’agonie déclenche paradoxalement le dégoût de Félix dans la description qu’il en fait.   1) Le dégoût se marque par un présentatif associé à la négation « ne … plus » montrant l’irrémédiable : « Ce n’était plus ma délicieuse Henriette ». Les adjectifs et les désignations s’opposent. L’adjectif valorisant « délicieuse »

intime d’elle et qui lui provoque des regrets, des remords, de la culpabilité. La contrainte des hommes contre l’infidélité de leur femme c’est donc ça, un sentiment qui nait et ronge au plus profond de la femme et donne même une sensation que l’on se dégoûte soi-même.______ Alors, Hume, reconnait que des contraintes sont tout simplement impossibles à mettre en place, cependant, il en reste une qui ne demande aucun procès en cour de justice et des preuves difficiles à avoir, « Il semble qu’il

Phèdre se fait horreur d'autant plus qu'elle perçoit le dégoût d'Hippolyte vers 678, avec le terme "abhorre", qui est plus fort encore que "détestes" (il représente à la fois la violence, la haine et l'horreur), et qui fait écho avec "encor". Faute de pouvoir obtenir l'amour d'Hippolyte, Phèdre a tenté de s'en faire détester (pour exister aussi pour lui) par son comportement (vers 686), à savoir l'avoir fait chasser par son père. Mais le dégoût d'Hippolyte ne vient pas de ce comportement, il vient