Déguisement

Musée, j'avais pour devoir d'y participer. Je sentais le vent frais et la chaleur du soleil sur mon visage. Des foules de personnes recouvrait les rues, j'avais oublié que se tenait le Carnaval ce jour-là, plus tard, la ville serait recouverte de déguisements, de lampions aux milles couleurs et de confettis de toutes formes. Au détour d'une ruelle plus calme, j'avancais quand soudain, le vent plaqua contre mon visage un carré blanc de coton brodé. Aveuglé, je fus d'abord surpris mais je succombais aussitôt

V. II/ L’œuvre. 1/ Les parades. Beaumarchais commence par écrire de courtes pièces comiques, les parades, très à la mode dans les sociétés de l'époque. Les intrigues, assez schématiques, sont prétextes à animer la scène avec des gags, des déguisements, des mots d'esprit, des grivoiseries (propos licencieux = expressions qui portent sur la vie galante et sexuelle) et à faire entendre une langue relativement populaire truffée de calembours (jeux de mots). 2/ Les drames. Par la suite, Beaumarchais

cesse l’habit change la condition sociale qu’il illustre. Est-on ce qu’on porte ? Don César refuse d’être réduit à « un habit » et préfère voler ses manteaux aux riches seigneurs qu’il rencontre au fil de ses aventures. Ruy Blas parle de son déguisement de laquais ou de valet, avant de revêtir celui de ministre pour enfin se libérer de tout habit. Don Salluste se déguise en Ruy Blas pour pouvoir le rejoindre au palais sans être inquiété. La Reine semble porter son habit comme un fardeau car

triomphal, où il est installé sur un char tiré par des fauves et suivi d'une foule en délire (Ovide, Les Métamorphoses.) Sa vie fut fort mouvementée et ses errances multiples : Égypte, Syrie, Grèce et Inde (Ovide, Les Métamorphoses) sous des déguisements variés (en fille, quand il était petit, plus tard en chevreau) pour échapper à la haine tenace d'Héra. Sur son passage il transmet aux hommes sa découverte - l'usage de la vigne - et établit un culte nouveau, fait de transes et de délires orgiaques

scène 6 et il reprend la parole à la scène 9) et sa docilité. Cette scène de jeu relève du badinage par sa gaieté et sa légèreté. En effet il y a une simplicité dans les comportement des personnages (moquerie et familiarité). Cet épisode du déguisement de Chérubin et la découverte du ruban sont un moment éphémère et un intermède amoureux. Cette séquence désigne la place central occupé par Chérubin, semeur de l'amour et du trouble dans la pièce puisqu’il est révélateur des sentiments : il incarne

régie son, se trompant à plusieurs reprises dans la synchronisation des musiques, ce qui renforce le coté intimiste pour le spectateur. Les décors sont inexistants comme il s’agit d’un one woman show, c’est elle-même qui créer les décors avec les déguisements et personnages qu’elle incarne. En conclusion, Karine Dubernet « vous éclate », est un spectacle à voir, 1H00 de rire, que l’on en redemande à la fin. Traitant de sujets d’actualité, durs ou complètement originaux, Karine Dubernet impose son style

lui offre de l'épouser. Cléonte et Covielle, en costume turc, qui viennent pour le contrat, sont présentés à Dorimène et Dorante. M. Jourdain veut imposer le fils du Grand Turc comme époux à Lucile qui accepte, en reconnaissant Cléonte sous son déguisement. Même jeu de scène avec Mme Jourdain qui consent au mariage. En attendant le contrat, nouvel intermède de chants et de danses : Ballet des nations avec six entrées (I, III, V, VI). Source : classiques Larousse

l'idée que le monde est en équilibre instable (à l’instar du classique), il privilégie le mouvement, l'illusion (L’illusion Comique, 1639), l'irrationnel, les décors chargés. Il s'adresse plus à la sensibilité qu'à la raison. Il use de la folie, du déguisement, des intrigues complexes. Les genres et les thèmes s'entremêlent entre tragi-comédies (Le Cid, 1636), pastorales, tragi-comédies pastorales ou pastorales comiques. Il n'y a pas de règles : le style est tout à fait libre. Les dramaturges célèbres

J’ai participé à la Fête du Roi de l’Oiseau qui s’est déroulée du 17 au 21 septembre dans les rues du Puy-en-Velay. Cette fête est en étroite relation avec le thème Art et nature. Eà travers les divers costumes et déguisements qui permettent de recréer l’atmosphère de l’époque et est le reflet de la culture du 16 ème siècle. L’année 2014 fut la 29 ème année que la ville du Puy s’occupe d'organiser cet événement culturel. Cette ville est composée de différentes animations et surtout d'un mélange de

Gothic Lolita?) est une mode vestimentaire japonaise (sans rapport avec la mode gothique). Il convient aussi de préciser qu'il s'agit de tenues vestimentaires à part entière, cela n'a rien à voir ni avec le cosplay, ni, plus généralement, avec le déguisement. Concernant cette mode japonaise, ce qu’il faut savoir, c’est qu’elle s’inspire librement d’Alice au Pays des Merveilles. Mais les jeunes femmes japonaises aiment personnaliser leurs tenues et finalement, un style à part entière est né ! Alors