Déjà-vu

respectives, puis la fonction que l’on peut lui donner. Tout d’abord, les personnages en eux-mêmes, leurs attitudes et surtout les codes sociaux qu’ils observent sont tout à fait représentatif d’une certaine classe sociale et d’une époque particulière. Déjà d’un point de vue extérieur, on peut voir que les personnages des deux textes font partie d’un groupe social élevé ; ils vont à un bal, et sont vêtus de leurs habits de soirée, les tissus sont précieux : chez Tolstoï la mère est habillée d’une « robe

surnommé «  La Joconde », est exposé au Musée du Louvre où sa notoriété attire chaque année près de 7 millions de visiteurs qui se pressent pour le découvrir et l’admirer. Ce tableau, réalisé par le Maître, entre 1503 et 1506, fascine l’homme depuis déjà cinq siècles et pourtant le mystère plane encore. Dali l’a affublée d’une moustache, Duchamp en a fait une traînée et voila qu’aujourd’hui on la soupçonne d’être un homme ! Encore plus qu’un portrait parfait, La Joconde est une véritable énigme

lectures et éventuellement votre expérience de spectateur, vous vous demanderez de quelles ressources spécifiques dispose le théâtre pour représenter les conflits, les débats, les affrontements qui peuvent exister dans les rapports humains ". J'ai déjà ma problématique : " Qu'apportent les scènes d'affrontement ? Le théâtre n'est-il qu'un lieu de confrontation ? Ainsi que mon plan : I- une pièce de théâtre, un lieu de confrontation A- Le théâtre, lieu d'oppositions B- Un lieu de heurts

qu’elle apparait ? Si plusieurs peintre représentent le même objet, on aura à faire à plusieurs apparences de la même réalité (ex : 5 apparence de trousse). Ce que Socrate affirme est différent : il dit que la trousse représentée par les peintres est déjà une apparence de trousse et non pas une trousse véritable. Le peintre n’imite donc pas le réel mais l’apparence. On comprend que dans la caverne de Platon, les peintres reproduiraient les ombres projetées sur la paroi de la caverne. Ils englueraient

chaque fois qu'elle ne se plaignait pas d'autre part, car elle était également juive. Sa santé n'était pas bonne non plus et je peux vous dire aussi dès le début que c'était une femme qui aurait mérité un ascenseur. Je devais avoir trois ans quand j'ai vu Madame Rosa pour la première fois. Avant, on n'a pas de mémoire et on vit dans l'ignorance. J'ai cessé d'ignorer à l'âge de trois ou quatre ans et parfois ça me manque. Il y avait beaucoup d'autres Juifs, Arabes et Noirs à Belleville, mais Madame Rosa

aperçus que le sujet que nous avions choisi n’était pas abordable et que nous ne trouvions pas d’approches intéressantes. Nous avons donc complètement changé de sujet et avons décidé d’étudier le thème de la confiance dans le travail en équipe. Au vu de nos recherches et lectures diverses sur le sujet, nous avons envisagé une première problématique : La confiance comme facteur déterminant de la performance collective : l’étude du travail en équipe. Après un travail plus approfondi, nous avons

L’Amant, de Marguerite Duras ; étude de l’incipit. 1 Un jour, j'étais âgée déjà, dans le hall d'un lieu public, un homme est venu vers moi. Il s'est fait connaître et il m'a dit : « Je vous connais depuis toujours. Tout le monde dit que vous étiez belle 5 lorsque vous étiez jeune, je suis venu pour vous dire que pour moi je vous trouve plus belle main- tenant que lorsque vous étiez jeune, j'aimais moins votre visage de jeune femme que celui que vous avez maintenant, dévasté.

homme qu'elle crut d'abord ne pouvoir être que Monsieur de Nemours, qui passait par-dessus quelques sièges pour arriver où l'on dansait. Ce prince était fait d'une sorte qu'il parut difficile de n'être pas surprise de le voir quand on ne l'avait jamais vu, surtout ce soir-là, où le soin qu'il avait pris de se parer augmentait encore l'air brillant qui était dans sa personne ; mais il était difficile aussi de voir Madame de Clèves pour la première fois sans avoir un grand étonnement. Monsieur de Nemours

plaisir, j’ai donc prit contact avec elle par téléphone. Je lui ais seulement expliquer que j’avais besoin de son point de vu pour un sujet. Un peu réticente elle m’a dis qu’elle ne savait pas si elle aurait su me répondre. Je l’ais donc rassurer en lui disant que sa n’était pas un interrogatoire, sa traiterai d’un sujet du quotidien et qu’il s’agissait de me donner son point de vu et qu’il n’y avait pas de bonnes ou mauvaises réponses. J’ai fais le choix de ne pas préalablement lui donner le sujet

chasser le tramway. A Paris, le tramway est diabolisé et considéré dans certains médias comme « Le Monde » comme « tortillard brinquebalant, ferraillant, lent, avec ses rails glissants et dangereux ». Derrière les médias, de puissants lobbies font déjà pression sur la STCRP (Société des transports en commun de la région parisienne) : les lobbies de Renault, Citroën et Panhard pour ne citer qu’eux. Ils sont même qualifiés comme « plus forts en France que dans d’autres pays », selon le président de