Délire

réalité 2- Altération du fonctionnement mental 3- Hallucinations et délires 4- Perte des limites du « moi » 5- Dysfonctionnement social II/ Les hallucinations 1- Des distorsions perceptives d’origines diverses 2- Classification des hallucinations 3- Les différents types d’hallucinations 4- L’automatisme mental III/ Le syndrome délirant 1- Définition 2- Analyse sémiologique d’un délire IV/ Classification des psychoses selon le DSM-IV 1- Schématiquement

schizophrénie Intro du livre les psychose de l'adulte ( définir psychose et névrose ) Thème choisis : Les schizophrénies La schizophrénie vient de .. (biographie) Le terme «  Schizophrénie » Désigne un groupe de troubles qui se distinguent des délires chroniques , des psychoses aiguês et des psychoses thymiques. La création du terme de «  Schizophrénie » en 1911 revient à Bleuler. En 1911, Bleuler propose le terme de schizophrénie pour désigner des troubles recoupant en grande partie ceux décrits

clinique spécialisée pour malades mentaux. En 1900, après un procès, il obtient de pouvoir sortir librement de l’asile et de publier ses mémoires intitulés Mémoires d’un névropathe, qui exposent en détail les formes de son délire. Le délire de Schreber[modifier]Le délire de Schreber s’articule autour d’un système complexe de relations des êtres à Dieu ; celui-ci est censé pouvoir examiner à tout moment des « nerfs » des individus, métonymies de l’être humain. Schreber est persuadé qu’on le persécute

souhaite s’entretenir avec le véritable chef de service trouvant que | | |vous le regardez bizarrement pour un infirmier » | |Question N°3 Le délire que manifeste Mr B au moment de son hospitalisation est qualifié de | |systématisé

exécutives : manque de planification, d’organisation, de conceptualisation, de discernement… b) Symptômes aigus (dits positifs) Ils s’ajoutent aux fonctions cognitives normales Hallucinations : surtout auditives, mais aussi visuelles, olfactives … Délires : erreurs de jugement, sentiment de persécution, impression d’être constamment espionné, d’être en danger … Langage incohérent et comportement inadapté c) Symptômes déficitaires (dits négatifs) Ils se traduisent par l’absence de comportements spontanés

société, la communication... Ce qui signe toute psychose c’est le délire (nature à thème possible : délire de grandeur, paranoïa, délire d’invention, délire de persécution, délire érotomaniaque (prêter des sentiments amoureux à quelqu’un qui serait dirigé vers nous)). Constuction d’une néo-réalité privative incomprise par les autres chez le sujet. Il n’y a pas de remise en question du sujet, adhésion complète du sujet. Le délire se crée du fait qu’il y ai un clivage du moi avec un mot psychotique

mis en rapport avec la résolution du délire. Cela veut alors dire que suite à l’acte le délire disparait, la construction délirante du sujet s’éteint, mais le terme de résolution laisse entendre que dans ce cas, suite à l’extinction du délire, le sujet ne se trouve pas dans l’état de panique laissé par le vide qui suit les hallucinations. Quel est ce mouvement de l’acte qui permet de faire tomber le délire ? Lacan parle dans ce cas précis de soufflage du délire, comme un paravent couché. Suite à

de Goujet, se bat régulièrement avec Coupeau et, à son tour, commence à boire. Coupeau, pris de crises de délire, fait périodiquement des séjours à Sainte-Anne. Pour survivre, Gervaise en vient à tenter de se prostituer. Lantier, en bon parasite, s'est installé chez les Poisson, l'épicerie qui a remplacé la boutique de Gervaise. Gervaise voit mourir Coupeau à Sainte-Anne - les crises de delire de Coupeau sont un des moments forts du roman. Elle se retrouve pratiquement à la rue, réduite à la mendicité

culpabilité Découragé Se sentir sans possibilité d’aide – Cognitions dépressives “les lunettes sombres” • Biais négatifs • Triade de Beck : passé, présent et futur – Remarque: DEPRESSION PSYCHOTIQUE • Délire congruent à l’humeur: délire de culpabilité, délire de péché, délire de pauvreté et délire hypochondriaque 2. Syndrome 2.1 Présentation clinique • 2. Symptômes affectifs – Tristesse • Se sentir autrement qu’avec un chagrin ordinaire – Perte d’intérêt et de plaisir pour les activités de la

Communication avec la famille, le personnel ou autrui : Mr G. a beaucoup de mal à s’exprimer mais arrive tout de même à se faire comprendre, il n’hésite pas à venir voir les soignants lorsqu’il ressent le besoin de parler. Par moment, Mr G. délire et a des propos incohérents, par exemple : il dit qu’il est jésus, qu’il a écrit des livres, qu’il a créer la plupart des jeux vidéos, etc… ANTECEDENTS : Chirurgicaux : Aucun Médicaux : Chorée de Huntington : dégénérescence neuronale