D'elles

voit aussi et les décrit l.7 : « Autour d’elle tous les regards étaient fixes » les lecteur ne sait que seulement ce que Gringoire pense, on ne sait pas ni ce que la jeune gitane ni ce que les personnes autour pensent, le lecteur ne voit que ce qui Gringoire voit l.3 : « (…) tant il fut fasciné ». On peut voir que cette scène utilise principalement le sens de la vue par le champ lexical de celle-ci l.3 : « (…) éblouissante vision », l.7-8 : « Autour d’elle tous les regards étaient fixes (…) », toute

de la mythologie, aurait léché les yeux de Cassandre et lui aurait conféré son pouvoir de prophétesse. Le chœur lui-même parle de Pythie, au vers 1255. Mais Cassandre ne peut pas être considérée totalement comme une Pythie, car elle parle parfois d’elle à la première personne, ce qui est caractéristique de la Sibylle, comme au vers 1097, quand elle dit «  Par ces témoins je me laisse convaincre ». La prophétesse, selon l’étymologie de ce mot, signifie « celle qui parle à la place du dieu », et Cassandre

politique. A l’origine de ce courage, il y a donc une croyance en des idéaux. Lorsque l’anabaptiste Thomas Münzer mène la révolte des paysans en Saxe entre la fin du XVème siècle et le début du XVIème siècle, il a une croyance véritable et sûre d’elle-même en ce pour quoi il agit. Il prend des risques et est même exécuté pour avoir trop cru en son idéal. C’est donc un héros qui, semble-t-il, fait preuve d’un authentique courage politique. De même, le cardinal de Retz, qui mène la Fronde

ne plus pouvoir aimer. Elisa perd toute raison de vivre : elle ne peut vivre un seul jour sans l’amour de Gilles. Elle se questionne alors sur le but de sa vie. Elle n’en voit aucun. Elle se rend compte qu’elle n’est rien et qu’il n’y a rien autour d’elle. Elle était l’amour de Gilles et rien d’autre. Maintenant elle ne sait plus si elle aime. Son cœur est fané à force d’endurer. Elle va mettre fin elle-même à son calvaire. Sans se soucier de Gilles. Son suicide est l’unique instant du récit où Elisa

moi ! »(21). Cet épithète (« perfide ») marque la colère d'Hermione consternée du double jeu de celui qu'elle aime. Prise d'une fureur froide, elle finit par menacer celui qu'elle appelait « Maître » quelques instants avant. Cette fois, elle parle d'elle à la troisième personne, devenant une menace pour lui (« crains encor d'y trouver Hermione » au vers 31) · La violence de la passion : La passion, d'abord, s'exprime dans une déclaration d'amour très claire, voire impudique (vers 1, 10 ou 13). Hermione

« quel besoin cherchez-vous à satisfaire en vous rendant dans un institut de beauté ? ». * Besoin de prendre soin de soi En effet, 30% des femmes interrogées et fréquentant un institut de beauté ont répondu vouloir tout d’abord prendre soin d’elle. Friandes des soins du corps (massages, gommages, masques etc), leur but est de se faire plaisir et de se détendre après une journée de travail par exemple. * Besoin de se plaire 40% des femmes de notre échantillon ont affirmé que leur besoin

sienne ». II- Une mort pathétique A) Un couple uni -Jusqu’à son dernier souffle, Manon va donner des gestes d’amour à Des Grieux * L’amour et l’abnégation (sacrifice) ont pris possession d’elle au point que son dernier acte est un don, une preuve ultime de son attachement : « Je reçus d’elle des marques d’amour, au moment même qu’elle expirait ». La mort survient dans le calme du « silence » et dans la douceur des gestes à peine esquissés (« Le serrement de ses mains » -Les attentions

vous portais déjà tous les deux dans mes bras, toi et Oreste. ») . Cette femme est résignée et accepte la fatalité. Quand se présente l’opportunité de tuer son mari, elle n’hésite pas. Elle n’est rien d’autre qu’une opportuniste et c’est ce qui fait d’elle une femme qu’on aime car n’importe qu’elle personne aurait réagit pareil face au destin qu’elle aurait voulu évité. Clytemnestre nous inspire donc de la pitié et de l’affection. En effet on ne peut qu’éprouver de la compassion pour cette femme

en aimant. Ballade en rêve. Recueil : Chair. J'ai rêvé d'elle, et nous nous pardonnions Non pas nos torts, il n'en est en amour, Mais l'absolu de nos opinions Et que la vie ait pour nous pris ce tour. Simple elle était comme au temps de ma cour, En robe grise et verte et voilà tout, (J'aimai toujours les femmes dans ce goût), Et son langage était sincère et coi. Mais quel émoi de me dire au débout : J'ai rêvé d'elle et pas elle de moi. Elle ni moi nous ne nous résignions À plus

quitté. II. Une mort pathétique : A) Un couple uni : Les gestes d’amour de Manon : nous avons vu la douceur et la résignation touchantes de l’héroïne. L’amour, l’abnégation ont pris possession d’elle au point que son dernier acte est un don, une preuve ultime de son attachement : « Je reçus d’elle des marques d’amour, au moment même qu’elle expirait ». La mort survient dans le calme du « silence » et dans la douceur des gestes à peine esquissés (« Le serrement de ses mains »). Les deux amants