Demanda

a peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu’au bord et qu’il fut impossible d’y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : “Est-ce que ce pot est plein ?”. Tous répondirent : “Oui”. Il attendit quelques secondes et ajouta : “Vraiment ?”. Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur

son problème " il se demanda : qu'ai-je donc ce soi? Et il se mit à chercher dans son souvenir quelle contrariété avait pu l 'atteindre, comme on interroge un malade pour trouver la cause de sa fièvre" métaphore "grain du chagrin" le grain = le début des problèmes pierre se pose des questions. Réflexion = autoanalyse " cherchait" "résonnait" " comprendre" champs lexicale de la réflexion les verbes sont en début de paragraphe anaphore des verbes " demandait" demanda" " cherchait" " posa"

tournant à gauche, ils pénétrèrent dans une espèce de jardin couvert, que deux grandes fontaines de mauvais goût rafraîchissaient. Sous des ifs et des thuyas en caisse, des hommes et des femmes buvaient sur des tables de zinc. " Encore un bock ? demanda Forestier. Oui, volontiers. " Ils s'assirent en regardant passer le public. De temps en temps, une rôdeuse s'arrêtait, puis demandait avec un sourire banal : " M'offrez-vous quelque chose, monsieur ? " Et comme Forestier répondait : " Un verre

revendre à des groupes de rebelles qui attendaient une bonne occasion pour contre-attaquer. Dans une journée paisible, Philippe discutait avec ses amis et sa bien-aimée dans la cour de l'école : - Tu as récupéré des informations intéressantes hier ? demanda l'un des garçons. - Combien de fois devrais-je te le dire ? Je ne les donne pas sans avoir une rançon à côté. - Allez quoi, supplia un autre, juste une. Nous aussi on veut se battre contre les Templiers ! - Ce n'est pas à nous de le faire ! Intervint

étaient démêler et tombait en rafale sur ses épaules, un trait d'eye liner dorer était posé sur ses paupières et ses habits allait plutôt bien ensembles malgré leur extravagance. Cela lui allait très bien pensa Harry. « -Qu'est-ce que tu fais? lui demanda-t-il. -J’écris une lettre a Dean. répondis-t-elle avec un grand sourire et regard plus rêveur encore que d'habitude. -Mais il vient de partir ! s’exclama-t-il, étonner. -Il m'en a envoyé une ce matin. dit-elle avec un sourire plus timide comme

Les citadins, stupéfaits et sans idée, ne répondirent pas. Elle reprit son souffle et continua. « Moi et mon mari ne pouvons pas avoir d'enfant ; nous sommes seuls... Nous le garderions...Voulez-vous ? » La mère commença à comprendre. Elle demanda : « Tu veut m'prendre mon Kevin ? Tu peut rêver ma fille ! » Alors M. Delacour intervint : «  Ma femme s'est mal expliquée. Nous voulons l'adopter, mais il reviendra vous voir. S'il tourne bien, comme tout porte à le croire, il sera notre héritier

est ce possible ? - Euh, attendez ... Elle chercha son agenda et regarda si elle n'avait pas de rendez vous cet après midi. Rien ! Elle releva la tête. - Non, c'est bon, je suis diponible. Connaissez vous les raison de ce rendez vous ? demanda t'elle - Et bien, je n'ai pas tout compris. C'est a propos d'une nouvelle chansons, un duo, je crois ... Mais la n'est pas la question, il vous attendra donc a 15 : 30, immeuble " High Song Records ", troisième étage. Au revoir, et bonne journée

gamin se faufila comme une anguille à l’intérieur. Clary admira le mouvement de ses épaules et sa façon de rejeter ses cheveux en arrière. Nonchalant, voilà l’adjectif que sa mère aurait employé pour le décrire. — Il t’a tapé dans l’œil, pas vrai ? demanda Simon d’un ton résigné. Clary le gratifia d’un coup de coude dans les côtes, mais ne répondit pas. Le club était noyé sous des panaches de fumée artificielle. Des spots colorés éclairaient la piste de danse d’une féerie de bleus et de verts acidulés

Dantès demanda alors à s'asseoir au gouvernail. Le timonier, enchanté d'être relayé dans ses fonctions, consulta de l'œil le patron, qui lui fit de la tête signe qu'il pouvait remettre la barre à son nouveau compagnon. Dantès ainsi placé put rester les yeux fixés du côté de Marseille. — Quel quantième du mois tenons-nous ? demanda Dantès à Jacopo, qui était venu s'asseoir auprès de lui, en perdant de vue le château d'If. — Le 28 février, répondit celui-ci. — De quelle année ? demanda encore

et dormirent à poings fermés. Mais le lendemain matin l’un dit : " Comme nous sommes bien ici ! –Et les deux autres de renchérir. -Et si je demandais la chambre pour huit jours. -D'accord. " L’un d’entre eux descendit . " Vous avez bien dormi ?, demanda à la maîtresse de maison " " Oui, nous avons bien dormi, nous sommes bien ici. Pourrions-nous avoir la chambre pour huit jours? " Elle le regarda un moment. " Oui, vous avez l’air sérieux. Vous pouvez rester huit jours." "En effet, nous sommes fatigués