Démence précoce

l’équilibre avec chutes. Elle vit en institution depuis neuf ans. Son médecin traitant avait constaté chez Madame G. un amaigrissement et une altération de l’état général, elle ne pouvait plus vivre à son domicile. En effet, Madame G. souffre de démence de type Alzheimer. Elle est entrée en institution pour altération de l’état général avec dénutrition dans un contexte social difficile ( logement insalubre). Depuis son entrée en institution, l’état de santé de Madame G. s’est déradé. A l’heure

avoir l’impression d’avoir disputé un match de boxe tellement elle avait de « bleus ». A) Les conséquences des heurts…… Parmi ces patientes, Mme D. âgée de 99 ans, mesurant 1.60m pour 45 kgs, est entrée en maison de retraite depuis le 06/05/1998 pour démence sénile avec troubles de la marche et chutes à répétition. Ses antécédents médicaux sont une hémorragie digestive consécutive à une oesophagite et hernie hiatale, des troubles du transit avec fécalome et une hypothyroïdie. D’aspect frêle, aux cheveux

atteinte de la maladie et son partenaire en soins. - Sa découverte Aloïs Alzheimer Neuropsychiatre allemand (Markbreit, 1864 - Breslau, 1915) Le 25 novembre 1901, est internée une femme de 48 ans, Auguste D., présentant des signes de démence. A cette époque, la démence des sujets âgés est considérée par la plupart des psychiatres comme normale et liée au temps. Alzheimer interroge et examine cette patiente encore jeune, relevant systématiquement les détails de son histoire clinique. En 1906, Auguste

des troubles du comportement chez son épouse qui n’ont cessé d’évoluer. À ce jour, Mme R. présente des troubles du comportement provoqués probablement par une démence de type maladie d’Alzheimer. La maladie d’Alzheimer est une encéphalopathie dégénérative, c’est-à-dire une dégénérescence des tissus de l’encéphale qui conduit la démence (détérioration mentale). Les signes cliniques caractéristiques de la maladie d’Alzheimer sont : Une perte de mémoire ou amnésie. Mme R. perd régulièrement ses lunettes

souplesse, avec profondeur, et soudain leur pensée, touchant l'écueil de leur folie s'y déchirait en pièces, s'éparpillait et sombrait dans cet océan effrayant et furieux, plein de vagues bondissantes, de brouillard, de bourrasques, qu'on nomme « la démence ». Certes, je me croyait fou, absolument fou, si je n'étais conscient, si je ne connaissais parfaitement mon état, si je ne le sondant en l'analysant avec une complète lucidité, je ne serais donc, en somme, qu'un halluciné raisonnant. Un trouble

domicile. Leurs origines professionnelles sont très variées. Les pathologies sont principalement liées à la vieillesse (maladie de Parkinson, d’Alzheimer, diabètes…). Certains résidents souffrent de troubles de l’humeur et du comportement, de démence à des degrés divers et autres troubles mentaux. La difficulté sera d’établir un dialogue avec des résidents qui en temps normal ne se parle pas ou peu, et de faire sortir certains qui ne prennent part à aucune activité. L’objectif de mon animation

Son état s’étant dégradé ainsi que ses capacités d’autonomie, sa fille, vivant en métropole, a souhaité qu’elle soit hospitalisée. Mme M. a donc été évaluée en consultation mémoire au CHD de … où l’équipe de dépistage a posé le diagnostique de démence de type ALZHEIMER probable. Mme M. est suivie sur le plan médical par le médecin du service de l’EHPAD, qui ajuste chaque mois le traitement chiomiothérapeutique en fonction des états de l’humeur de Mme M. (anxiolytiques, neuroleptiques, antidépresseur…)

REACTION FACE A UN PATIENT VIOLENT ATTEINT DE DEMENCE DE TYPE ALZHEIMER SOMMAIRE I – Introduction II – Exposé A – Description de la situation de soin B – Idées principales ressorties C – Questionnement professionnel a) Connaissance des pathologies b) Réaction face à la violence ponctuelle c) Réaction face à la violence répétée III - Conclusion I - INTRODUCTION Ce thème m’a intéressé car c’est une situation récurrente dans beaucoup d’institutions

folie. Is1.1 : Le premier voyage que le personnage principal engendre est au mont St-Michel. Lors de la montée du mont, le narrateur fut accompagné par un moine, ce dernier lui a permis par une bonne argumentation d’effectuer l’écartement de la démence par rapport à l’existence d’êtres invisibles. Preuve : « ‘’ Le vent … l’avez-vous vu, et pouvez-vous le voir? Il existe, pourtant ‘’».p.74-75 186-190 Explication : Au sommet de la montagne, le moine tente d’expliquer par un simple exemple que

Démence… a) Etymologie : Etymologiquement, le mot « démence » est issu du latin « dementis » signifiant « sans esprit », « sans âme » (préfixe privatif « de » et substantif « mens » et désignant ceux ayant perdu la raison. Dès l’antiquité, la démence prend donc le sens de la conduite, du comportement, de la conviction dépourvue de raison. Mais « dementis » renvoi à l’image d’un corps vide de pensées. De nos jours, nombreux sont ceux à qualifier les personnes démentes de « momies, d’ombres