Demi Douleurs Leibniz

paradoxes ; l’un d’eux serait de savoir comment l’homme peut aspirer à ce qu’il désire le plus, c’est-à-dire le bonheur, la paix de l’âme ou encore l’absence de troubles, si il est par essence un être de désir et si le désir est justement manque et douleur ? Nous tenterons d’apporter une réponse au problème posé en nous demandant : qu’est ce que le désir ? Est-il possible et bénéfique de le maîtriser ? Comment ôter de sa définition la notion de souffrance ? PREMIERE PARTIE Penser désir, c’est penser

civilisation. Auteur d’une œuvre dense et diverse, il s’est particulièrement illustré dans le genre du conte philosophique, auquel il a su donner ses lettres de noblesse. C’est d’ailleurs en 1759, en réaction contre les philosophies optimistes de l’Allemand Leibniz qu’il choisit de publier Candide. Dans ce conte philosophique précisément, Voltaire met en scène le périple du héros éponyme, qui, chassé du paradis de Thunder-Ten-Tronckh va à la découverte du vaste monde où il constate que, contrairement à ce que

serez bien vieille, au soir à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz chantant mes vers, en vous émerveillant :  Ronsard me célébrait du temps que j’étais belle.  Lors vous n’aurez servante oyant telle nouvelle, Déjà sous le labeur à demi sommeillant, Qui au bruit de Ronsard ne s’aille réveillant, Bénissant votre nom de louange immortelle. Je serai sous la terre, et fantôme sans os  Par les ombres myrteux je prendrai mon repos ; Vous serez au foyer une vieille accroupie, Regrettant

formes (des sphères) et les mouvements (tous circulaires) sont parfaits. Ces derniers sont d’ailleurs éternels. Nul n’a jamais observé de planète s'arrêter ou même modifier son orbite.      La science allait mettre plus d’un millénaire et demi, non sans douleur et sans errements à s’émanciper de ces deux carcans et à soulever le voile.    Par une ironie de l’histoire, mais aussi parce que c’est en son sein que se trouvaient les personnages cultivés, c’est de l’église que proviendra tout à la fois

mort sui s’accumule en trois phrases arrivant jusqu’à 30 000 : la juxtaposition rend compte de la rapidité et de l’atrocité des combats. * L’ironie par l’antiphrase « du meilleur des mondes », « la raison suffisante », critique du système de Leibniz selon lequel rien n’arrive sans raison déterminable, la réalité atroce est niée par un vocabulaire théorique. * Si l’homme est absent du côté de celui qui donne la mort remplacée par les instruments de la guerre grâce à la métonymie, les victimes

de leurs poèmes. Nous allons présenter ceux-ci : -«Le désastre de Lisbonne ».Dans ce poème, Voltaire s’engage socialement et dénonce la catastrophe qui touche alors Lisbonne en 1755, qui aurait fait environ 30000 morts, il critique l’optimise de Leibniz, nous avons choisi ce poème pour démarrer l’anthologie poétique car il nous donne une première approche de l’engagement au fil du temps. -« Melancholia », Ce poème traite quand à lui du travail des enfants au XIXème Siècle. Victor Hugo est révolté

Il raconte comment une femme «  une étrangère » dont il ne donne pas le nom, mais dit : «  étrangère de Mantinée » lui a enseigné la généalogie de l’amour (récit donc mythe). D’abord, selon un mythe Eros n’est pas un dieu c’est plutôt une sorte de demi dieu « un démon » (daïmon). Et dit l’étrangère, ce démon est l’enfant de la pauvreté et de l’invention. Comme cette généalogie est obscure, l’étrangère va l’expliquer à Socrate : l’amour, dit elle, est l’enfant de la pauvreté parce qu’il est désir

sans fin. Ainsi l’homme, égocentrique et égoïste, chercherait toutes choses pouvant accomplir une joie et un plaisir éphémère. Dans cette perpétuelle quête de bonheur, son essence même serait le désir, ce moteur immortel le conduisant au dit-objet. Leibniz par« Le désir est l’inquiétude produite par l’absence d’une chose, inquiétude qui est l’aiguillon de l’action » ne fait que confirmer cette supposition. Ce désir met alors l’homme au défit de trouver cette chose incertaine, indéterminée et complexe

nature. Il donne un argument p 1424 = la science elle-même (pure naturalisme comme la physique) est obligé d’accepter en son sein des traces métaphysique non-exprimé, maitriser et approfondie ; des obscurités ( en particulier la notion de Force). Cf. Leibniz et la monade = il y a une identification entre la force et l’accès de la métaphysique. Pour Schopenhauer, pour toucher le fond de la réalité métaphysique, le passage du corps est fondamentale. Ex: « la naturalisme en vogue aujourd’hui …etc ». La science

vertus qu'elle n'a point ; mais si elle sait que je crois en elle, elles les aura. Plus ou moins ; mais il faut essayer ; il faut croire. Le peuple, méprisé, est bientôt méprisable ; estimez-le, il s'élèvera. La défiance a fait plus d'un voleur ; une demi-confiance est comme une injure ; mais si je savais la donner toute, qui donc me tromperait ? Il faut donner d'abord. » ALAIN JE DOIS SYNCHRONISER MA PAROLE AVEC CELLE DES AUTRES “...Cela fait partie de mon bonheur de donner mes soins à ce que