Demoiselles Des Lumières

‘barbarie’. Il fait donc une œuvre engagée pour l’exposition universelle de Paris de 1937. Analyse de l’œuvre.  Comment Picasso utilise-t-il son tableau pour dénoncer le bombardement de Guernica ? Analyse de la lumière Le fond est noir. Il n’y a qu’une principale source de lumière. Analyse des couleurs Les couleurs dominantes sont des dégradés de blanc et de noir. Les contrastes sont violents. Cela donne une atmosphère pesante. Mais le Noir et Blanc renvoie aussi aux photographies de la

sont modifiés. Ex : « Il regardait la plus jeune des demoiselles Walter et pensait que Suzanne n'était vraiment pas mal. » le discours indirect libre : c'est une formule intermédiaire ; les paroles ne sont pas subordonnées à un verbe de parole, elles s'intègrent avec changement de temps et pronoms, mais le vocabulaire et les marques d'oralité des paroles restent pareilles. Ex : « Il regardait la plus jeune des demoiselles Walter ; elle n'était vraiment pas mal, cette petite Suzanne 

fit pas le moindre geste, continua d'avancer. Le commissaire alluma les phares de route, arrêta la voiture, descendit et se plaça devant elle, l'empêchant de poursuivre. Alors seulement, la dame, nullement effrayée, se décida à le regarder. À la lumière des phares, Montalbano vit qu'elle était très âgée, mais les yeux, d'un bleu intense, presque phospho​rescent, d'une jeunesse intacte, détonnaient avec le reste du visage. Elle portait des boucles d'oreilles précieuses et un splendide collier de perles

“Portée ou influence de l’œuvre”. 1814 : Francisco de Goya, El tres de mayo Francisco_de_Goya_El_tres_de_mayo_1814 1830 : Eugène Delacroix, La liberté guidant le peuple Delacroix_la-liberte-guidant-le peuple_1830_ 1907 : Pablo Picasso, Les demoiselles d’Avignon Cette toile n’est pas comme les autres exemples donnés engagée, mais elle est un jalon marquant dans l’ensemble de l’œuvre de Picasso. On y retrouve l’influence des arts premiers dans le traitement de certains visages rappelant les masques

effet, on ne sait pas d'où vient exactement la source de lumière puisque il y a justement plusieurs sources de lumière : 1)Les volets des fenêtres sont ouverts contrairement à l'oeuvre de Velázquez une lumière qui n'existe pas dans le tableau de Velázquez, arrive et éclaire le plafond (en haut à gauche) 2) une autre provient de l'ouverture de la porte beaucoup plus large que dans le tableau d'origine et la dernière source de lumière provient directement d'en face, de notre côté, nous les spectateurs

mars. En mai, il part avec Fernande Olivier pour Barcelone, puis durant l'été à Gósol, village isolé de haute-Catalogne. Ce séjour aura un impact majeur dans l'œuvre de Picasso. C'est dans ce petit bourg de la province de Lérida qu'il conçoit Les Demoiselles d'Avignon, un tableau qui constitue un évènement capital dans les débuts du cubisme20. Le portrait de Gertrude Stein (New-York, Museum of Modern Art), commencé en hiver, est enfin achevé grâce à une peinture de Cézanne, « Madame Cézanne à l'éventail »

L'objectif n'est donc plus de faire du « bien fait » . Ils y sont d'autant moins obligés que des outils désormais permettent de représenter le réel de façon assez : la technique nouvelle telle que la photographie, et plus encore la cinématographie (1896 Lumières). Voilà donc des outils, des techniques qui permettent de représenter le réel. Le peintre est sans doute moins obligé de représenter le réel même si certains peintres sont fascinés par ces représentations. Né alors une compétition. Les peintres

Commentaire Commenter le texte de Rousseau Ce texte est un extrait de la Lettre XI du roman épistolaire de Jean-Jacques Rousseau, intitulé Julie ou la Nouvelle Héloïse, écrite en 1761 pendant le siècle des Lumières, siècle caractérisé par la volonté nouvelle de « comprendre le monde à la lumière de la raison ». La scène se déroule dans le Valais, en Suisse. Julie d’Etanges, fille noble, et Saint-Preux, un précepteur, tombent amoureux l’un de l’autre, mais le père de la bien-aimée s’oppose à cette

naine regarde au-delà de la toile. Au second plan, l'infante nous regarde du coin des yeux, le visage au 3/4 tourné vers nous. Sa main gauche (à notre droite) est posée délicatement sur sa robe, le petit doigt levé. Elle est entourée par deux demoiselles d'honneurs (les ménines) qui sont de profil par rapport à nous. L'une ,à gauche, lui tend un plateau en or sur lequel est posé un petit pichet rouge et l'autre, à droite, un peu en retrait, fait la révérence. La princesse ne bouge pas, elle est

a brutalité des yeux humains ainsi que des franquistes mais et aussi le symbole de l’Espagne (la corrida) La colombe : représente la paix mais elle est représentée dans l’obscurité. La lumière : œil du peintre ou la lueur d’espoir ou au contraire la bombe. Le fantôme avec la lampe : Le monde faisant la lumière sur le passé. La femme qui tombe : elle tombe d’un immeuble en flamme avec les bras levées en référence au tableau de Goya « Tres de Mayo » La mère : La mère qui hurle avec un enfant mort