Demoiselles Des Lumières

“Portée ou influence de l’œuvre”. 1814 : Francisco de Goya, El très de mayo Francisco_de_Goya_El_tres_de_mayo_1814 1830 : Eugène Delacroix, La liberté guidant le peuple Delacroix_la-liberte-guidant-le peuple_1830_ 1907 : Pablo Picasso, Les demoiselles d’Avignon Cette toile n’est pas comme les autres exemples donnés engagée, mais elle est un jalon marquant dans l’ensemble de l’œuvre de Picasso. On y retrouve l’influence des arts premiers dans le traitement de certains visages rappelant les masques

partie centrale. Cette partie centrale est occupée par le cheval blessé à mort, pièce maîtresse du tableau. La composition forme approximativement un triangle dont la base est le guerrier mort, et le sommet de ce triangle est signalé par une source de lumière. Une volonté d’équilibre entre le panneau de gauche et le panneau de droite. La base du tableau laisse une impression d’enchevêtrement de pattes et de corps. Pourquoi est-ce un tableau monochrome ? Les premières études de Guernica furent réalisées

de peintre, il invente une touche libre et expressive. Il va être en quelque sorte le précurseur de l’impressionnisme. [Peintre de peintre : c’est une peinture qui vit, qui bouge, qui évolue, qui s’invente, qui a de la force.] Les Ménines (demoiselles d’honneurs), 1656, huile sur toile, 318x276 cm. Il y a un miroir, il reflète le roi et la reine qui sont en train de ce faire peindre par Vélasquez. C’est comme si on se trouvait à leur place et que c’est nous que Vélasquez peinait. En réalité

harmonieuse. En proposant une vision idyllique du primitif naïf, bon vivant, en osmose avec la nature qui le fait vivre, le dix-huitième siècle exprime son désir d’un bonheur simple et traduit aussi ses angoisses. Ce siècle dit des « Lumières » s’interroge sur les fondements de la société dans laquelle ils vivent, il remet en cause certains de ces principes, fustige l’ethnocentrisme. Par ethnocentrisme, on entend un préjugé qui consiste à ne juger une autre culture que par

2. Description : 1.Le sujet : Ce tableau dépeint une grande pièce du palais de l'Alcázar de Madrid du roi Philippe IV d'Espagne dans laquelle se trouvent plusieurs personnages de la cour. La jeune infante Marguerite-Thérèse est entourée de demoiselles d'honneur, d'un chaperon, d'un garde du corps, d'une naine, d'un nain et d'un chien. Derrière eux Vélazquez se représente lui-même en train de peindre, regardant au-delà la peinture, comme s'il regardait directement l'observateur de la toile3. Un

beauté, aux formes géométriques et le manque total de perspective. Les couleurs dominantes du tableau sont le noir, le gris et le blanc, surement pour donner l'effet d'un journal. Les regards des personnages et des spectateurs sont attirés par la lumière se trouvant au plafond. Le tableau a des proportions gigantesques pour mettre en valeur l'importance du sujet ! En détail: -Le taureau: Le taureau représente la force, mais il est aussi le symbole de l'Espagne. Quand on le regarde on voit qu'il

biographie: Pablo Ruiz Picasso, né le 25 octobre 1881 à Málaga en Espagne et il est mort le 8 avril 1973 à Mougins, en France, est un peintre, dessinateur et sculpteur. Il est l'un des plus importants artistes du XXe siècle grâce à ses deux œuvres Les Demoiselles d’Avignon en 1907 et par Guernica en 1937. il est considéré comme le fondateur du cubisme. Tant par ses apports techniques et formels que par ses prises de positions politiques. Il a produit 50 000 œuvres dont environ 8 000 tableaux2. Contexte historique :Nous

chargé de bruits – la ville n'est pas loin- » Cette approche de la ville est associé par des parfums de vigne et de bière mais aussi par le bruit de celle-ci. Le poète oppose la ville artificielle à la nature. La ville n'est liée qu'aux bruits et la lumière violente « tapageurs » et « lustres éclatants » L'importance des sensations y est sollicité surtout à travers les cinq sens, notamment par l'ouïe (V.3) « tapageurs » et (V.7) « chargé de bruits » le poète n'entend que beaucoup de bruits désagréables

quelconque bar infâme et délabré, la musique retentissait à s’en exploser les tympans. Les effluves de rhum vous faisaient tourner la tête dès que vous entriez et au premier pas vous étiez pris d’assaut pas de charmantes demoiselles plus ivres les unes que les autres. La lumière était légèrement tamisée, d’une couleur brunâtre, mais aussi grisée par les fumées de cigares et autres fumettes. Autour de la piste centrale, plusieurs tables et bancs étaient disposés. De simples planches de bois tenues

vous, avec l'humilité de celui qui propose face à celui qui achète, avec l'humilité de celui qui possède face à celui qui désire ; et je vois votre désir comme on voit une lumière qui s'allume, à une fenêtre tout en haut d'un immeuble, dans le crépuscule ; je m'approche de vous comme le crépuscule approche cette première lumière, doucement, respectueusement, presque affectueusement, laissant tout en bas dans la rue l'animal et l'homme tirer sur leurs laisses et se montrer sauvagement les dents. Non