Denise Boucher

nez : droit, long, saillant, proéminent, aquilin (en bec d'aigle), camus (plat et comme écrasé), busqué (d'une courbure accentuée), crochu, écrasé, pointu, en trompette. Les joues : creuses, pâles, veloutées, lisses, pleines, pendantes… La bouche : large, étroite, pincée, rieuse, sensuelle, expressive, charnue. Le teint : pâle, blême, blafard, livide, terreux, cireux, jaunâtre, coloré, frais, rose, clair, éclatant, lumineux, rougeaud, congestionné, cramoisi, rubicond, bronzé, bruni,

Description personnelle. Cette oeuvre représente un visage dont les yeux et la bouche sont formés eux aussi de visages dont les yeux et la bouche sont a leur tour formés de visages. Cela part du même principe que les poupées russes car c'est comme si on emboitait les différentes têtes. Le visage est abstrait, il occupe les trois quart de l'espace. On ne distingue pas vraiment ce qu'est les éléments sur le coté du tableau. Je pense que Salvador Dali n'a presque rien fait autour de l'oeuvre afin que

 Flore de la cavité buccale Environnement favorable : chaud, humide, aliment Mais présence d’enzymes salivaires : lysosomes (coupe la paroi des bactéries Gram +) et lactopéroxidase. Elles ont une action de destruction sur les bactéries de la bouche. Lorsqu’on se brosse les dents on les élimine. Présence de bactéries anaérobies et de bactéries adaptées à vivre dans les infractuosité et sur les surfaces des dents. Colonisation des dents : la plaque dentaire Au départ : film de glycoprotéines

réellement produit comme il le dit Mme le Procureur, Léo se serai plutôt perforé la lèvre, la blessure aurait été différente. Mais Léo dit encore que : Papa fait la course avec le train en voiture, qu'il m'a mis la cigarette dans la bouche, qu'il m'a fait boire de l'alcool... Mais il dit ou fait les gestes pour dire que papa l'a enfermé dans un placard, qu'il lui a mis les mains à la gorge. Papa me fait des misères, maman il faut que tu me protèges. Il est

passé, Mme T. «  entrée mademoiselle, madame » Rire de C. et de moi-même, sourire large et franc de Mme T. Mme T. «  vous êtes belle » Mme T. me regarde avec insistante. Mme T. «  hein, elle est belle ? Et toi aussi » Elle me fait signe de la bouche en avançant ses lèvres qu’elle veut un bisou, j’accepte avec joie et son visage s’illumine, elle embrasse aussi C. Le petit déjeuner est servi, je lui souhaite bon appétit et quitte la chambre, Mme T. continu de fredonner.

vit d’un baiser et meurt d’une larme C'est à cαuse du poids de mes larmes que mes lèvres n'arrivent plus à porter le sourire.. Si je devais donner une partie de mon corps, je ne te donnerais ni mes yeux car je ne pourrais plus te voir, ni ma bouche, car jamais je ne risquerais de ne pas pouvoir sentir la tienne sur la mienne, ni mon nez, car ton odeur me rend dingue. Je te donnerais mon coeur, pour que tu puisse voir à quel point il bat lorsque je te voit. ♥ J'aimerais être une larme pour

il va doubler sa taille en un an. Entre 0 et 3 mois : il a des mouvements réflexes. Il n’a pas conscience que ses membres lui appartiennent. Vers 2-3mois : il se sert de son corps, il est capable de tenir des objets et il les met à sa bouche. La bouche est l’organe le plus développé chez le nourrisson, plus que les mains. A cet âge là, il commence à jouer avec ses mains et ses vêtements. De plus, il commence à sourire. Vers 3-4 mois : il est attentif aux visages ; il va gazouiller et moduler

peut supposer qu’il n’a plus de bras, sa main gauche est en bois. La personne en face qui a l’air d’être âgé a une mâchoire en acier on peut voir que ces jambe son des morceau de bois on suppose qu’il n’a plus de main car il tient ces cartes dans la bouche et il a un support de cartes. La personne de droite qui a l’air assez jeune a un bras droit mécanique la mâchoire est aussi mécanique en acier il n’a pas de jambes il est poser sur un « support » il ne tient pas tout seul. Ici Otto Dix a voulu représenter

moindre mot! ils passent les nuits entières debout, à jeun, lèvres closes. Qu’en arrive-t-il? Que leur langue ne s’épargne pas sur un maître en présence duquel elle est enchaînée. Jadis ils pouvaient converser et devant le maître et avec lui, et leur bouche n’était point scellée; aussi étaient-ils hommes à s’offrir pour lui au bourreau, à détourner sur leurs têtes le péril qui eût menacé la sienne. Ils parlaient à table, ils se taisaient à la torture. Voici encore un adage inventé par ce même orgueil

Résumé : Gwynplaine enfant, a été recueilli par des « comprachicos » dont la spécialité est de déformer physiquement les enfants en bas-âge pour leur donner une forme comique. Pour Gwynplaine, cela a résulté en la déformation de son visage, sa bouche en particulier, qui le fait ressembler à un monstre au rire perpétuel. Gwynplaine est abandonné sur un plage anglaise, il recueille Déa, fille aveugle de 6 mois qui agonisait sous sa mère morte de froid. Dans la nuit noire, leur périple les conduit