Denouement Tragique Mme Bovary

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140 4 LE THÉÂTRE ¢ ¢ ¢ ¢ 24. Étudier la comédie et le comique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25. Étudier la tragédie et le tragique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26. Étudier le renouvellement des formes théâtrales du xviie siècle à nos jours . . . 27. Étudier les formes et les enjeux de la représentation

je reviendrai tout à l'heure. Les autres éléments signalétiques méritent d'être relevés : l'absence du nom d'auteur est curieusement compensée par la mise en valeur, de façon assez énigmatique, du « nom » ou plutôt du cryptonyme de la traductrice, Mme de M***, dont la particule et l'aristocratique distance fonctionnent comme caution du titre, garantie de « qualité » et de moralité. Il y a manifestement là un code qui nous échappe, mais que déchiffrait le public de l'époque. Nous soupçonnons cependant

l’indicatif, usage du passé composé, plus-que-parfait et subjonctif présent. “ Soutenu : respect des règles de grammaire et de prononciation, vocabulaire recherché, voire rare. C’est la langue de l’écrit. 3 Discours d’un pédant 1 5 10 15 - Les Bovary viennent d’emménager à Yonville. M. Homais, le pharmacien, leur présente la région. Nous sommes abrités des vents du nord par la forêt d’Argueil d’une part, des vents d’ouest par la côte Saint-Jean de l’autre ; et cette chaleur, cependant, qui à cause

grande muraille noire, crépie grossièrement, qui monte et s’étend audessus de la galerie. Elle promenait sur cette muraille un regard vague, et, muette, elle venait se coucher à son tour, dans une indifférence dédaigneuse. – 15 – Chapitre 2 Mme Raquin était une ancienne mercière de Vernon. Pendant près de vingt-cinq ans, elle avait vécu dans une petite boutique de cette ville. Quelques années après la mort de son mari, des lassitudes la prirent, elle vendit son fonds. Ses économies jointes

devant la grande muraille noire, crépie grossièrement, qui monte et s’étend audessus de la galerie. Elle promenait sur cette muraille un regard vague, et, muette, elle venait se coucher à son tour, dans une indifférence dédaigneuse. – 15 – Chapitre 2 Mme Raquin était une ancienne mercière de Vernon. Pendant près de vingt-cinq ans, elle avait vécu dans une petite boutique de cette ville. Quelques années après la mort de son mari, des lassitudes la prirent, elle vendit son fonds. Ses économies jointes

la grande muraille noire, crépie grossièrement, qui monte et s’étend au-dessus de la galerie. Elle promenait sur cette muraille un regard vague, et, muette, elle venait se coucher à son tour, dans une indifférence dédaigneuse. Chapitre 2 Mme Raquin était une ancienne mercière de Vernon. Pendant près de vingt-cinq ans, elle avait vécu dans une petite boutique de cette ville. Quelques années après la mort de son mari, des lassitudes la prirent, elle vendit son fonds. Ses économies jointes

Lettres modernes Sous la direction de Mme Aline MURA-BRUNEL par Mlle Aurore LOISON. Université de Pau et des Pays de l’Adour, 2006-2008. UNIVERSITE DE PAU ET DES PAYS DE L’ADOUR UFR DES LETTRES, LANGUES ET SCIENCES HUMAINES dumas-00498644, version 1 - 8 Jul 2010 Master 2 : « Discours et représentations » Parcours : « Poétique et histoire littéraire » LOISON Aurore Une vie de Guy de Maupassant ou « l’écriture du vide » Mémoire dirigé par Mme Aline MURA-BRUNEL. Soutenu en mai 2008

Dédicace : Nous dédions cet ouvrage aux personnes dont les noms suivent :        M. et Mme Mbozong Philippe. Dr Denis Pompidou F . Dr Jacques Evouna. M. Tekeng Denis. Telefo Arno. M. Oussalaka Luc. M. Haranga Justin. Remerciements : Nous remercions le bon Dieu tout puissant qui a bien voulu que ce document voit le jour en cette date. Egalement à mes tentes Mme Mbang Marthe et Wako Rosalie. La dissertation littéraire comme projet logique Préface : Je me souviens

de camaraderie. - P441 bonne bouffe mais sale ambiance de merde La douleur de la création : Claude Zola a un sens critique exacerbé et devient un grand dépressif ; Goncourt parle de «moi inquiet, préoccupé » degré tragique chez Claude. «  Avec Claude je veux peindre la lutte de l’artiste comme la nature, l’effort de la création dans l’œuvre d’art, effort de sang et de larmes pour donner sa chair, pour faire de la vie : toujours en bataille avec le vrai et

GISTUCCI, L. Le pessimisme de Maupassant. Lyon : L’office social, 1909. p. 18. 5 DUMESIL, R. Guy de Maupassant. Paris : Librairie Armand Colin, 1933. p. 17. 6 Cf. LACAZE – DUTHIERS, G. Op. cit., p.19. 11 Si Bouilhet7 eût vécu, se plaisait à dire Mme Maupassant, il eût fait de mon fils un poète.8 Revenons maintenant à nouveau dans sa jeunesse, à Etretat où notre écrivain fréquentait le séminaire d’Yvetot, puis le lycée de Rouen où en croyant seulement à la réalité et aux choses flagrantes, il