Denouement Tragique Mme Bovary

se consacre uniquement à l'écriture. Il fait un grand voyage en 1849–1850 en Orient puis à Carthage en 1858, paysages qui nourriront plusieurs de ses romans et nouvelles. Ses voyages sont entrecoupés par le procès intenté contre son livre Madame Bovary, qui lui apportera la célébrité. Flaubert connaît les tentations de la vie mondaine parisienne, il est reçu par Napoléon III et son épouse, mais il ne se voue qu'à une seule vie, celle dédiée à la Littérature, à l'Ecriture. Il écrira sans cesse et

pour Aristote, le mode propre à la tragédie doit être celui de l'idéalisation= héros montré hors de la quotidienneté du spectateur - tragédie doit susciter crainte ou pitié= conflit entre Bien et Mal - le méchant n'est aucunement exclu de la scène tragique - pour Aristote, l'œuvre d'art a pour fonction de susciter un plaisir de nature esthétique à travers la représentation du réel « ce que le poète doit produire c'est le plaisir qui, par la représentation, provient de la pitié et de la frayeur. »

Canuts », 1831 - Hugo, « Le manteau impérial », Les Châtiments - Emmanuel, « Hymne de la liberté », Jour de colère Annexe : Sartre, Qu’est-ce que la littérature ? HATIER Annabac 2006 La poésie engagée (corpus 8, p. 323) - Aubigné, « Misères », Les Tragiques - La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables VIII - Hugo, « Chanson », Les Châtiments - Eluard, Liberté, « Poésie et vérité », Au rendez-vous allemand NATHAN Interro des lycées 2008 Page 4 sur 37 Sonia LE PAPE – 2009-2010 Poésie et imaginaire

Canuts », 1831 - Hugo, « Le manteau impérial », Les Châtiments - Emmanuel, « Hymne de la liberté », Jour de colère Annexe : Sartre, Qu’est-ce que la littérature ? HATIER Annabac 2006 La poésie engagée (corpus 8, p. 323) - Aubigné, « Misères », Les Tragiques - La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables VIII - Hugo, « Chanson », Les Châtiments - Eluard, Liberté, « Poésie et vérité », Au rendez-vous allemand NATHAN Interro des lycées 2008 Poésie et imaginaire (STG – sept 2007) - Baudelaire

plus prometteur. � Georges Duroy se révèle très vite être un véritable séducteur. Analysez le rapport qu’il entre- tient avec chacune des femmes qu’il rencontre (la prostituée des Folies-Bergère, Madeleine Forestier, Clotilde de Marelle, Laurine, Mme Walter). Duroy sait séduire les femmes. La prostituée des Folies-Bergère, Rachel, lui fait bien comprendre qu’il lui a plu au chapitre 1, et Duroy n’a pas de mal à négocier le tarif à un louis (l. 502-503, p. 27). Au chapitre 4, il parvient même à

l’on peut schématiser de la façon suivante : Une situation initiale « stable » Un élément perturbateur qui établit une rupture dans le quotidien Des péripéties et des épreuves dans un parcours « initiatique » Une situation finale un dénouement heureux qui rétablit une situation « stable » Si le schéma narratif du conte est simple et même stéréotypé, en revanche, c’est un récit à interpréter. Il parle au conscient comme à l’inconscient des lecteurs et auditeurs, et s’ancre puissamment

l’on peut schématiser de la façon suivante : Une situation initiale « stable » Un élément perturbateur qui établit une rupture dans le quotidien Des péripéties et des épreuves dans un parcours « initiatique » Une situation finale un dénouement heureux qui rétablit une situation « stable » Si le schéma narratif du conte est simple et même stéréotypé, en revanche, c’est un récit à interpréter. Il parle au conscient comme à l’inconscient des lecteurs et auditeurs, et s’ancre puissamment

il brûle d’amour par lequel il est à la fin vaincu et auquel il s’abandonne entièrement. Stendhal n’a jamais assuré que son personnage principal lui appartenait par cette sorte de filiation littéraire qui fera s’écrier à Flaubert : «  Mme Borary c’est moi ». Et cependant, si l’auteur du Rouge a si bien pu animer d’un grand suoffle de vie romanesque les pâles héros de faits divers de la Gazette des tribunaux, c’est qu’il a pétri, en particulier, le catactère de Julien Sorel de souvenirs

parcours diabolique du personnage. Notre extrait se présente sous la forme d’un récit et d’un discours : un tableau de la « passion » de Renart après sa capture par le limaçon Tardif, et un dialogue entre Grimbert et Fière qui nous achemine vers le dénouement de l’épisode, c’est-à-dire la libération du goupil. Nous étudierons donc d’abord le récit, qui, par son pathétique, favorise l’identification au « héros », puis le jeu codé des discours, étrangement suspects au regard de la morale. Nous analyserons

a pris pour point de départ non la qualité du reflet artistique par rapport à la "réalité" mais la question de la genèse des œuvres, des conditions sociales de leur apparition. Son ouvrage majeur, Le Dieu caché, sous-titré "Etude sur la vision tragique dans les Pensées de Pascal et dans le théâtre de Racine", est paru en 1959, c'est-à-dire avant la vague du structuralisme littéraire. Il y énonce ainsi sa thèse majeure : Toute grande œuvre littéraire ou artistique est l'expression d'une vision