D'entre les morts

Léopold II, se partagèrent des territoires africains. En effet, 90% des territoires africains étaient sous influence d'un pays européen. En outre, les pays européens cherchaient également à étendre leur domination en Asie . Pour la majeure partie d'entre-eux, ce "nouvel impérialisme" était une bataille pour la richesse, la grandeur du pays,. Néanmoins, cette course aux territoires engendra de graves tensions diplomatiques comme, par exemple, la crise de Fachoda en 1898 (entre les Britanniques et

premiers voyageurs et devient même un poncif de la littérature du XVIII° siècle (Fontenelle, Nouveaux dialogues des morts, Montesquieu, Lettres persanes, Diderot, Supplément au voyage de Bougainville...). Les textes que nous proposons ici sont issus de ces deux sources et servent de support à une analyse des procédés requis pour l'écriture du dialogue délibératif : dans chacun d'entre eux, sauvages et civilisés s'affrontent en un débat verbal que les genres didactique, romanesque ou théâtral mettent

en arrière-plan les caractéristiques du paysage de la région : des falaises calcaires qui encadrent les méandres encaissés de la Loue (un affluent du Doubs qui traverse la ville d'Ornans). A partir de la Révolution, du fait du nombre croissant de morts, l'exiguïté des sites et les préoccupations pour l’hygiène entraînent l'exurbanisation des cimetières, traditionnellement implantés autour de l'église du village. Dans le tableau c'est précisément dans ce nouveau cimetière à l'écart de la ville que

compter les dégâts matériels et géographiques, des dégâts psychiques et physiques graves sont à déplorer. Par exemple, des dizaines de milliers de soldats sont morts dans les tranchées. Ceux qui s’en sont sortis sont pour beaucoup revenus avec de graves blessures et ont ainsi été appelés les « gueules cassées ». De plus, 500 000 d’entre eux sont morts à leur retour, suite aux blessures endurées pendant la bataille. On peut donc dire que le bilan des tranchées est très lourd, tant du point de vue matériel

peut pardonner pour autrui, le pardon perd alors toute sa valeur. Or sont morts les seuls en droit de pardonner ou non les crimes commis. (p.55) - De l’ingratitude de l’oubli : p.56 (bas) - Signification morale du refus d’entrer en contact avec l’Allemagne -> cf. A. Neher ; « la vie sans les raisons de vivre ne mérite pas d’être vécue. […] Il n’y a pas de réparations pour l’irréparable » (p.59) - « Les morts ont besoin de notre fidélité […] Le passé a besoin qu’on l’aide, qu’on le

belle est parti avec Olivier, l’amoureux de Madeleine, sœur de Joseph. Pour eux, la guerre va durer quatre longues années d’une horreur sans nom : des conditions de vies épouvantables, les tranchées, les bombardements, des centaines de milliers de morts, des suicides, des désertions, des mutilations volontaires. Ils vont connaître Verdun et le Mont Kemmel, batailles sanglantes. Le village continue à vivre. La nature suit le rythme des saisons. Le travail est là avec le manque d’hommes pour le faire

sportifs à peines plus âgés que les jeunes amateurs semble déraisonnable. Être aussi jeune, riche adulé et encensé par les fans et les médias est certainement déstabilisant, ces vedettes vivent dans un autre monde, rien d’étonnant alors que certains d’entre eux prennent la grosse tête et se comportent sur la pelouse comme des enfants gâtés…. Je pense que dépenser autant d’argent apparait comme un véritable gâchis de la part de la société, alors que celle-ci doit affronter des problèmes plus graves comme

panneau est peint un soldat qui en aide un autre, blessé. On peut voir le visage d’un homme. Le ciel est rouge/orangé et quasiment pas de vie. Sur la prédelle, on voit des soldats qui dorment sous des tranchées ou ils sont peut-être dans une tombe, morts. Les principales couleurs sont : le gris et le noir. Mais il y a aussi quelques couleurs plus chaudes comme le rouge et le marron. Analyse de l’œuvre : Otto Dix témoigne de son traumatisme qu’il a vécu pendant la 1er Guerre mondiale en

l'on peut voir sur la photographie du document4 une usine d'armement à Toulouse où hommes, femmes et adolescants sont réquisisionnés pour servir à l'effort de guerre. Les soldats sont enrôlés jusque dans les villages comme en témoigne le monument aux morts de Mellionnec de la photographie du document5b. Enfin, il y a un enrôlement jusque dans les colonies françaises. On peut faire cette constatation à partir du document5a qui montre un tombe musulmane dans un cimetière français. 5)On peut noter que

lors de marches silencieuses devant le gouvernement argentin. Qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il vente, elles ne se sont jamais arrêtées, contre la censure des médias mais aussi devant les militaires, ce sont chaque jeudi après-midi, des dizaines d’entre elles se réunissent accompagnée de leurs proches (mais aussi de touristes intrigués), qu’elles se mettent à tourner en rond. Elles se sont également fait appelés les « Folles » car elles n’avaient pas peur de défier devant les militaires devant le