D'entre les morts

de dormir convenablement et donc de récupérer un peu de temps de sommeil et de fatigue. Ils n’avaient aucuns lits, aucuns bancs et beaucoup d’entre eux ne dormaient ou sur la paille etpar terre. Après les batailles, les cadavres des soldats n’étaient pas déplacés. Quand un soldat mourrait les rescapés ne pouvaient pas l’enterrer ; il y’avait énormément de morts entassés dans lestranchés, ainsi, cette odeur se mélangeait à celle de fosse septique et les soldats vivaient dans ce climat. Il n’y avait

péchés. Illustration avec un retable de Van der Weyden, Le dernier jugement. c) Une troisième possibilité : le purgatoire Définition du purgatoire, une invention de l’Eglise où, après le jugement individuel, le mort va se laver de ses péchés avant d’entrer au paradis. Avec la création du purgatoire, le paradis se fait de plus en plus inaccessible. Notion de communion des saints. II) Le salut : l’objectif du chrétien a) Le rôle de l’Eglise Mention des sacrements qui rythment la vie du fidèle, notamment

La famille Inquisitio se trouvait dans la cuisine de leur maison en Normandie, lorsqu’ils entendirent à la radio que les allemands venaient d’entrer en France. « Mais qu’est-ce que l’on va faire ? C’est impossible ! On nous avait annoncé qu’ils ne seraient là pas avant 3 mois ! » dit Suzanne « Il va vite falloir trouver une solution. On ne peut pas rester ici, surtout en étant juifs ! » dit Jacques A ce moment là, ils entendirent que quelqu’un toquait à la porte. Joseph, le père, décida d’aller

internés à vie. À la fin de la guerre, le nombre total de morts s’élevait à 9 millions dont plus de 2 millions d’Allemands, presque 1,5 million de Français, 1,8 million de Russes, 750 000 Britanniques, et 650 000 Italiens. Proportionnellement à sa population, la France est le pays où les pertes ont été les plus importantes. Ce bilan ne correspond pas seulement aux tués sur les champs de bataille ; il inclut également des soldats morts chez eux, gravement atteints par des maladies telles que la

à vie. À la fin de la grande guerre, le nombre total de morts s’élevait à 9 millions dont plus de 2 millions d’Allemands, presque 1,5 million de Français, 1,8 million de Russes, 750 000 Britanniques, et 650 000 Italiens. Proportionnellement à sa population, la France est le pays où les pertes ont été les plus importantes. Ce bilan ne correspond pas seulement aux tués sur les champs de bataille ; il inclut également des soldats morts chez eux, gravement atteints par des maladies telles que la

nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954, une vague de rébellion prend place en Algérie. Des attentats, des attaques à main armée, des sabotages ainsi que des incendie ont lieu sur tout l'ensemble du territoire Algérien, tout cela fera environ 15 morts mais des millions de dégâts. Pour la France, ces événements sont des actions terroristes qui doivent être punis par la loi. On dit alors que c'est la ''Toussaint Sanglante'', c'est ce qui va marqué le début de la guerre. Le FLN veux négocier sont indépendance

historiens et même des artistes. • La société française se déchire entre « dreyfusards » et « anti-dreyfusards ». La presse et les débats publics sont d'une grande violence. Des émeutes antisémites éclatent un peu partout dans le pays, faisant plusieurs morts. Le gouvernement cherche alors à rétablir le calme, fût-ce au prix d'une révision du jugement, qui est cassé par la Cour de cassation au terme d'une enquête impartiale et minutieuse. La défense républicaine :  Au lendemain de l'affaire Dreyfus, le

Angleterre. Ils étaient aussi soumis à la déportation dans les camps d'extermination. Les unités mobiles d’extermination assassinèrent des dizaines de milliers de Tsiganes dans les territoires de l'est occupés par les Allemands. En outre, des milliers d’entre eux furent tués dans de nombreux camps d'extermination comme celui d'Auschwitz qui est connu de tous pour symboliser le génocide des Juifs, ce fut aussi le camp dans lequel furent exterminés la plupart des Tsiganes. Les nazis les incarcérèrent aussi

sembler désuète n’empêche pas qu’elle continue de faire problème, et particulièrement quand l’un des fondateurs de la modernité joue à la questionner. Entre 1907 et 1913, un conte d’Apollinaire (« L’Obi­tuaire ») est devenu poème (« La Maison des morts »), par simple découpe de la prose en « vers libres » : exemple extrême d’auto-réécriture, où le même énoncé (à très peu près), transformé typographiquement, produit un texte à la fois identique et autre ; ce qui pose avec acuité le problème de la

relâche, faisant tourner la lourde roue du temps, vieille toupie débridée mais éternellement sous contrôle. Les fils pendent, le Marionnettiste n'est pas loin : nous avons tous la corde au cou. Je ne suis qu'un voleur. Je ne suis que l'un d'entre eux. Le cœur léger, les jambes fortes portant le poids du spleen, cloué sur la croix du désir, je reste attaché et ne peux toucher les nuages. Le bout de mes doigts reste froid, désespérément bleus, insensibles. Mais les nuages ont porté le soir