Dépolitisation

mode de désignation que les membres du Conseil constitutionnel. C'était exactement le mode de désignation des membres de la Haute Autorité. Pour la CNCL, le mode de désignation était différent, exclusivement politique. On avait des éléments de dépolitisation. Mais quand on faisait les calculs, tout le monde savait que la CNCL allait refléter la majorité politique. On a du mal à couper l'audiovisuel du pouvoir politique. D'ailleurs, la loi de 1986 avait pour objet essentiel de remplacer la Haute Autorité

vertus politiques d'internet, ce qui n'était pas possible et qui est rendu possible. 2 paquets de 3 points de vue, toute chose égale par ailleurs et relativement. - Au silence de certains (80 /90 % qui ne postent pas de commentaires.) - À la dépolitisation, (au narcissisme) - À la vie privée et à son épanchement S’opposent trois points vertueux : - l'égalité - la subjectivité - la porosité (possibilité de se lire pas mal entre nous) D'autres points vertueux - coopérations faibles :

de socialisation. Tous les travaux récusent un citoyen totalement libre: la socialisation est le résultat d'un processus continu à partir d'une socialisation primaire correspondant à l'enfance. Doit-on voir dans la crise de participation une dépolitisation des citoyens ? C'est plutôt une évol: décalage entre les d poli et l'o poli qui leur est proposée: la société éclate en minorité: les citoyens expriment des d "post-modernes": on est entrée dans une démocratie d'interpellation; rapport bcp plus

comme de simples collaborateurs ou exécutants de la volonté des gouvernants, en arguant de leur dépendance hiérarchique vis-à-vis de leur Ministre. Sans doute leur poids est-il différent d'un pays à l'autre. Mais là où prévaut le principe d'une dépolitisation de l'administration jusqu'aux échelons les plus élevés, en France plus qu'aux États-Unis par exemple, ils jouissent d'une réelle stabilité de carrière qui leur permet de survivre aux alternances politiques. De ce fait, ils participent efficacement

Jean-Marie Brohm n’y a aucune fatalité à ce que la critique sociologique se limite à la contestation et à la dénonciation” (Boudon & Bourricaud 2002, VII). Cette précision était aussi un singulier aveu de la neutralisation axiologique et de la dépolitisation de la critique sociologique : “La critique se donne pour objet la théorie ou plutôt les théories elles-mêmes : elle en scrute et analyse les imperfections, incertitudes et failles, mais aussi les réussites” (Boudon & Bourricaud 2002, VIII). La

est en recul. En 1978, les moins de quarante ans déclaraient un pourcentage d’intérêt de 50 %. En 1997, ce dernier n’est plus que de 41 %, contre 51 % chez les quarante ans et plus. Si l’ensemble de ces évolutions se poursuit, la tendance à la dépolitisation devrait se manifester de manière encore plus visible dans l’avenir. Retraite et Société n° 35 3 Une scène familiale pacifiée, au prix de l’indifférence politique La famille est un lieu d’apprentissage, mais aussi d’échanges, où se façonnent

plus besoin du politique. La réalité devient nôtre, pourquoi la changer ? Car c’est bien, comme l’explique M.J. Mondzain "cette résistance au réel qui suscite la pensée et qui incite les humains à se rassembler.” La télévision engendre donc une dépolitisation du monde. L’individu-e est réduit-e à l’état de client-e et de spectateur/rice, comme l’avait pressenti Guy Debord dans Commentaires sur la Société du spectacle lorsqu’il écrivait "celui qui regarde toujours pour savoir la suite n’agira jamais

que il y a des alternatives au capitalisme. Dans la science fiction on pense des sociétés que l’on est incapable de penser dans la réalité Ex: Harry Potter, Stars Wars. La télévision devient un objet d’interaction. C’est donc une période de dépolitisation de la société. Les années 80 marquent ce qu’on peu appeler un tournant paradigmatique qui va ensuite s’incarner chez les individus, le renversement des représentations collectives contemporaines c’est qu’il n’existerai pulse société = la société

qui, à chaque fois, est défait de son propre parti, mais n'en perd pas moins son audience auprès de ses partisans qui le suivent aussi bien dans ses traversées de désert que dans sa structure. Au-delà des erreurs stratégiques des islamistes, la dépolitisation de la société algérienne n'a pas permis l'enracinement du débat politique et de polémiques idéologiques comme ce fut le cas dans les années soixante-dix et quatre-vingt. Ce désert politique a affecté tous les courants de pensée et ont réduit l'action

« l'agir   communicationnel ».   Pb   de  dégénérescence de l'espace public du fait d'une trop grande massification de la parole publique qui réduit  finalement la force critique. Ce discours est celui de la triple fin :  − fin des idéologies, dépolitisation − fin des classes, avec l'idée de moyennisation − fin du politique Mac Luhan va lui penser les « réseaux », notamment la notion de village global : image du système  nerveux humain : tout est message, y compris le média, le canal de diffusion